‘’Le président de la République a décidé d’accorder sa confiance à la magistrate Seynabou Ndiaye Diakhaté, pour donner un souffle nouveau à l’OFNAC dans le respect strict de sa lettre de mission, des lois et règlements qui gouvernent la République’’, a-t-il expliqué lors d’une conférence.
Pour lui, la nomination de Mme Diakhaté prouve la volonté du chef de l’Etat de maintenir le cap, voire de renforcer la lutte contre la fraude, la corruption et la prévarication des ressources publiques, qu’il a engagée depuis 2012.
Seydou Guèye a cependant déploré le débat installé autour de cette nomination, accusant de confondre ‘’un mandat arrivé à terme non renouvelé avec un limogeage (…).’’
La présidence de la République a rendu publique le 25 juillet dernier un décret annonçant la nomination de la magistrate Seynabou Ndiaye Diakhaté en remplacement de Nafi Ngom Keïta, présidente de l’OFNAC, depuis 2013.
‘’L’argument d’un limogeage de Mme Keïta ne saurait prospérer pour la bonne et simple raison que la règle en l’espèce, c’est que les actes administratifs à caractère individuel produisent immédiatement leurs effets dès leur notification aux intéressés’’, a soutenu Seydou Guèye.
C’est en vertu de cette notification, a-t-il poursuivi, que, durant cette période de huit mois, allant de sa nomination à sa prestation de serment, Nafi Ngom Keïta a perçu le traitement salarial réservé au président de l’OFNAC, en plus de jouir des avantages et prérogatives attachés à cette fonction.
APS
Pour lui, la nomination de Mme Diakhaté prouve la volonté du chef de l’Etat de maintenir le cap, voire de renforcer la lutte contre la fraude, la corruption et la prévarication des ressources publiques, qu’il a engagée depuis 2012.
Seydou Guèye a cependant déploré le débat installé autour de cette nomination, accusant de confondre ‘’un mandat arrivé à terme non renouvelé avec un limogeage (…).’’
La présidence de la République a rendu publique le 25 juillet dernier un décret annonçant la nomination de la magistrate Seynabou Ndiaye Diakhaté en remplacement de Nafi Ngom Keïta, présidente de l’OFNAC, depuis 2013.
‘’L’argument d’un limogeage de Mme Keïta ne saurait prospérer pour la bonne et simple raison que la règle en l’espèce, c’est que les actes administratifs à caractère individuel produisent immédiatement leurs effets dès leur notification aux intéressés’’, a soutenu Seydou Guèye.
C’est en vertu de cette notification, a-t-il poursuivi, que, durant cette période de huit mois, allant de sa nomination à sa prestation de serment, Nafi Ngom Keïta a perçu le traitement salarial réservé au président de l’OFNAC, en plus de jouir des avantages et prérogatives attachés à cette fonction.
APS