
Ils accusent Saër Niang d’avoir engendré un climat social délétère et installé "l’iniquité et la non transparence dans la boite". Ils reprochent également à leur patron d’avoir consommé présentement ses indemnités de précarité, recruté un de ses amis de Tigo dans un flou totale. "Tout au long du processus, de la confection de la fiche de poste et de la détermination du profil jusqu’au recrutement proprement dit, tout a été fait dans un flou artistique". Et alors que le recrutement des cadres dans la boite se fait via un processus d’appel d’offres à la concurrence formalisé, "pour le recrutement des enquêteurs, la procédure a été réalisé à l’interne et personne ne sait comment le recrutement a été opéré", dénoncent les contestataires. Interpellé par nos confrères, Saër Niang botte en touche ces accusations et se dit être victime d’attaques gratuites. "Aucune faute ne peut m’être reprochée dans ma gestion, je dis bien aucune. La preuve, vous allez parcourir toute la note, tout est attaque personnelle".