« Nous ne pouvons pas accepter qu’il n’y ait aucun stock de médicaments ; les patients en pâtissent et depuis longtemps. Les médicaments font vraiment défaut. On n’est pas en mesure d’assurer l’approvisionnement de césarienne complète », a fustigé Mme Seynabou Kâ, sage-femme d’Etat en service dans ladite structure de santé.
« Tendre une ordonnance de 52 mille francs à quelqu’un dont la femme va accoucher à cause d’un manque de médicaments écorne même notre image. Car, la césarienne est gratuite », a-t-elle regretté. Elle révèle qu’avec ce manque de kits, sa structure est en train d’enrichir les officines privées avec les ordonnances.
« Parfois on a des urgences avec des patients qui saignent mais on n’a aucun kit de² césarienne pour s’en occuper », a-t-il ajouté, soulignant que les agents de l’hôpital sont « très inquiets » à quelques jours du Gamou.
Leral.net
« Tendre une ordonnance de 52 mille francs à quelqu’un dont la femme va accoucher à cause d’un manque de médicaments écorne même notre image. Car, la césarienne est gratuite », a-t-elle regretté. Elle révèle qu’avec ce manque de kits, sa structure est en train d’enrichir les officines privées avec les ordonnances.
« Parfois on a des urgences avec des patients qui saignent mais on n’a aucun kit de² césarienne pour s’en occuper », a-t-il ajouté, soulignant que les agents de l’hôpital sont « très inquiets » à quelques jours du Gamou.
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