Depuis que le président Wade a « imposé » Mamadou Diop Decroix comme coordonnateur de l’Alliance sopi pour toujours, qui réunit des partis favorables à sa réélection, les contestations fusent de partout dans le camp de ses partisans. Ils lui reprochent la violation du principe de la rotation de ce poste, comme convenu.
Dans les rangs de l’opposition, on vérifie également qu’il y’a des ententes impossibles, parce que contre-nature. Car, Talla Sylla, qui veut d’un candidat unique pour l’opposition la plus représentative, a fini par geler ses activités au sein de Benno. Un des leaders de cette coalition, Macky Sall, rame à contre-courant des partisans de la « candidature unique ». Ce que soutient le Parti socialiste, sans l’avouer directement. Le responsable de ses jeunesses, Barthélemy Dias, a fait écho à Macky Sall. Ce que dit le petit maure, c’est sous la tente qu’il l’a appris, dit l’adage. Et puisque « jamais deux sans trois », la coalition des « non-alignés », est également en lambeaux.
Son coordinateur, le professeur Hamidou Diallo, a décidé de geler ses activités. Car, selon ses proches, qui soulignent qu’il pourrait même démissionner, ce non moins secrétaire général du Bloc pour le renforcement de la démocratie au Sénégal « en dépit d’être le seul à produire intellectuellement et l’un des rares à mettre la main à la poche, est considéré comme la bête à abattre ». Des « dinosaures », comme l’ex-maire de Dakar, Mamadou Diop, veulent sa place.
Avec le retrait de M. Diallo, c’est le leader du Front pour l’émergence et la prospérité, Lat Diop, qui risque d’en pâtir, pour qui sait que celui-ci plaidait pour qu’il soit le candidat des non-alignés. Mais, les déchirures des différentes coalitions du landernau politique sénégalais attestent que les unions contre-nature finissent toujours par éclater. Elles démontrent ainsi que la vocation d’un parti politique demeure la conquête du pouvoir. Il est vrai que les coalitions sont pour les partis à faible représentativité, le chemin le plus court pour se faire remorquer et exister. Les politologues ont, donc, de la matière à réflexion.
XIBAR.NET
Dans les rangs de l’opposition, on vérifie également qu’il y’a des ententes impossibles, parce que contre-nature. Car, Talla Sylla, qui veut d’un candidat unique pour l’opposition la plus représentative, a fini par geler ses activités au sein de Benno. Un des leaders de cette coalition, Macky Sall, rame à contre-courant des partisans de la « candidature unique ». Ce que soutient le Parti socialiste, sans l’avouer directement. Le responsable de ses jeunesses, Barthélemy Dias, a fait écho à Macky Sall. Ce que dit le petit maure, c’est sous la tente qu’il l’a appris, dit l’adage. Et puisque « jamais deux sans trois », la coalition des « non-alignés », est également en lambeaux.
Son coordinateur, le professeur Hamidou Diallo, a décidé de geler ses activités. Car, selon ses proches, qui soulignent qu’il pourrait même démissionner, ce non moins secrétaire général du Bloc pour le renforcement de la démocratie au Sénégal « en dépit d’être le seul à produire intellectuellement et l’un des rares à mettre la main à la poche, est considéré comme la bête à abattre ». Des « dinosaures », comme l’ex-maire de Dakar, Mamadou Diop, veulent sa place.
Avec le retrait de M. Diallo, c’est le leader du Front pour l’émergence et la prospérité, Lat Diop, qui risque d’en pâtir, pour qui sait que celui-ci plaidait pour qu’il soit le candidat des non-alignés. Mais, les déchirures des différentes coalitions du landernau politique sénégalais attestent que les unions contre-nature finissent toujours par éclater. Elles démontrent ainsi que la vocation d’un parti politique demeure la conquête du pouvoir. Il est vrai que les coalitions sont pour les partis à faible représentativité, le chemin le plus court pour se faire remorquer et exister. Les politologues ont, donc, de la matière à réflexion.
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