« C’est seulement la passion, l’amour de la patrie et l’ envie de défendre les couleurs nationales qui nous retiennent dans ce sport. La lutte olympique est la vraie lutte, mais elle n’est pas rémunérée. Or , dans la lutte avec frappe, tu te fais des millions de francs Cfa en un laps de temps. Mon souhait est qu’on donne davantage de place à la lutte olympique au Sénégal pour permettre aux jeunes de pouvoir la pratiquer. Il faudra qu’on y mette les moyens. Il faut qu’on nous permette d’aller faire des stages dans des pays comme la Bulgarie, qui est un pays très développé dans le domaine de la lutte. Il est facile de se blesser dans cette forme de lutte. Ce qui le plus souvent fait fuir les gosses.je demande à l’Etat de soutenir le Cng pour qu’à son tour il œuvre pour la promotion de la lutte libre et gréco. En ce qui me concerne, je crois que je vais faire un break de la lutte simple le temps de voir si les moyens suivront pour que je puisse continuer », a laissé entendre Malal Ndiaye ans Le Quotidien.
Malal Ndiaye: "Je vais faire un break"LERAL.NET Eliminé comme la plupart des athlètes sénégalais inscrits pour ce Londres 2012, Malal Ndiaye souhaiterait faire un break.Rédigé par leral.net le Lundi 13 Août 2012 à 14:13 | | 0 commentaire(s)|
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