Selon le président du Conseil régional de l’épargne public et des marchés financiers (Crepmf), les deux chantiers structurant qui étaient mis en avant dans le cadre des réformes du marché financier de l’Uemoa sont aujourd’hui réalisés et opérationnels. Pour Mamadou Ndiaye qui intervenait dans l’émission « Le point » de la Rts, les Petites et moyennes entreprises (Pme) de l’Union peuvent dorénavant lever des Fonds sur le marché et que la bourse en ligne qui constituait le second chantier est maintenant opérationnelle et sécurisée.
Source : https://www.lejecos.com/Mamadou-Ndiaye-president-d...
« En 2017 le cap était donné et il fallait engager un certain nombre d’axes de réformes qui, au terme devaient donner beaucoup de poids au marché financier dans le système financier de manière générale » a dit d’emblée le patron du Crepmf. Et d’ajouter : « nous avons essayé dans la mesure du possible avec les moyens du bord d’engager ces réformes et fort heureusement comme vous l’avez indiqué au bout de trois (03) ans, elles commencent à se faire sentir ». Pour preuve, M. Ndiaye brandit l’appui que les bailleurs de fonds ont accepté d’apporter à ces réformes qui, selon lui, témoigne justement de leur pertinence mais également qui permettrait de reprofiler ce marché pour lui permettre de jouer pleinement son rôle.
A ce stade, argue-t-il, on peut dire qu’au moins les deux (réformes) qui étaient mises en avant à savoir la création du troisième compartiment de la Bourse des valeurs mobilières (Brvm) dédié aux Petites et moyennes entreprises (Pme) -le premier chantier structurant auquel on s’est attelé et qui a été bouclé en 2017- et la bourse en ligne sont réalisés. En effet, aujourd’hui , au plan réglementaire ce troisième compartiment existe et les préparatifs sont très bien avancés avec la Brvm et deux cohortes de trente (30) Pme sont déjà identifiées et se préparent pour pouvoir se positionner sur ce troisième compartiment.
Aujourd’hui, selon M. Ndiaye, les Pme peuvent aller lever des Fonds sur le marché financier régional et que les acteurs qui doivent les accompagner ont été agréés. En ce sens, il déclare qu’ « on a une dizaine de listing sponsors qui sont des acteurs agréés qui ont pour mandat d’accompagner les Pme qui veulent aller sur la bourse.
Le second chantier reste la bourse en ligne et là également, avance le patron du Crepmf , le régulateur n’a pas intérêt à bloquer un chantier structurant contrairement comme « l’a indiqué un article de presse ». Il explique en ce sens qu’il fallait s’entourer de toutes les garanties au plan sécuritaire parce que, souligne-t-il, dès que vous parlez de transaction en ligne, il faut maîtriser cette infrastructure technologique qui permet, à distance, de pouvoir intervenir via les canaux de transmission.
« Là, il fallait qu’on ait le plateau technique qui soit à point et que le régulateur ou bien ceux qui sont chargés d’assurer la surveillance de ces transactions maîtrisent parfaitement ce plateau technique », explique Mamadou Ndiaye. Qui signifie enfin que c’est cela qui a retardé les travaux avant de noter que les acteurs étaient impatients mais aujourd’hui au plan réglementaire cette architecture de bourse en ligne est opérationnelle et sécurisée depuis 2018.
Bassirou MBAYE
A ce stade, argue-t-il, on peut dire qu’au moins les deux (réformes) qui étaient mises en avant à savoir la création du troisième compartiment de la Bourse des valeurs mobilières (Brvm) dédié aux Petites et moyennes entreprises (Pme) -le premier chantier structurant auquel on s’est attelé et qui a été bouclé en 2017- et la bourse en ligne sont réalisés. En effet, aujourd’hui , au plan réglementaire ce troisième compartiment existe et les préparatifs sont très bien avancés avec la Brvm et deux cohortes de trente (30) Pme sont déjà identifiées et se préparent pour pouvoir se positionner sur ce troisième compartiment.
Aujourd’hui, selon M. Ndiaye, les Pme peuvent aller lever des Fonds sur le marché financier régional et que les acteurs qui doivent les accompagner ont été agréés. En ce sens, il déclare qu’ « on a une dizaine de listing sponsors qui sont des acteurs agréés qui ont pour mandat d’accompagner les Pme qui veulent aller sur la bourse.
Le second chantier reste la bourse en ligne et là également, avance le patron du Crepmf , le régulateur n’a pas intérêt à bloquer un chantier structurant contrairement comme « l’a indiqué un article de presse ». Il explique en ce sens qu’il fallait s’entourer de toutes les garanties au plan sécuritaire parce que, souligne-t-il, dès que vous parlez de transaction en ligne, il faut maîtriser cette infrastructure technologique qui permet, à distance, de pouvoir intervenir via les canaux de transmission.
« Là, il fallait qu’on ait le plateau technique qui soit à point et que le régulateur ou bien ceux qui sont chargés d’assurer la surveillance de ces transactions maîtrisent parfaitement ce plateau technique », explique Mamadou Ndiaye. Qui signifie enfin que c’est cela qui a retardé les travaux avant de noter que les acteurs étaient impatients mais aujourd’hui au plan réglementaire cette architecture de bourse en ligne est opérationnelle et sécurisée depuis 2018.
Bassirou MBAYE
Source : https://www.lejecos.com/Mamadou-Ndiaye-president-d...