D’après les radars de leral.net, des appels d’une tête de liste nationale d’une coalition qui a actuellement le vent en poupe, ont été interceptés entre Paris et Dakar, avec une discussion de 30 minutes portant sur une stratégie d’action à mettre en œuvre pour cette dernière semaine de campagne.
Cette discussion aurait abordé avec un interlocuteur français, les évènements du 25 juillet 1995 à Paris (attentat du métro Saint Michel) et ses répercussions sous la présidence de Jacques Chirac.
Pour rappel; le 25 juillet à 17h30, une bouteille de gaz bourrée d’écrous avait explosé dans le RER parisien à la gare Saint-Michel - Notre-Dame. Le bilan final fut de 8 morts et 117 blessés et a été mis sur le compte du Groupe Islamique armé d’Algérie.
Toujours selon la même source, cette même discussion aurait également ouvert une parenthèse sur ses rapports de cette tête de liste nationale avec un maire de l’opposition traité dans la conversation de « petit écervelé », à qui on allait faire porter le chapeau en cas de pépins.
Le plus cocasse est que dans une autre discussion interceptée, un maire de l’opposition aurait garanti à cette tête de liste nationale de cette coalition; la venue de Bissau-guinéens et de Cap-verdiens pour l’évènement de ce mardi.
Toujours, dans ce même rapport, il y est mentionné qu’un « dépôt d’armes blanches » se trouverait à Dakar, près d’un immeuble quelque part entre Sandaga et l’avenue Petavin.
Enfin, toujours d’après nos radars, un grand patron de presse aurait également consenti à débourser 50 millions FCFA, via un transfert d’argent local, afin de participer à cette manifestation.
Autant de faits qui alertent sur une menace imminente sur la sécurité publique du Sénégal.
Pour rappel, selon l’article 80 du code pénal (Loi n° 99-05 du 29 Janvier 1999), « Tout individu qui aura reçu, accepté, sollicité ou agréé des dons, présents, subsides, offres, promesses, ou tous autres moyens, en vue de se livrer à une propagande de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves, à jeter le discrédit sur les institutions politiques ou leur fonctionnement, ou à inciter les citoyens à enfreindre les lois du pays, sera puni d'un emprisonnement d'un an au moins et de cinq ans au plus, et d'une amende double de la valeur des promesses agréées ou des choses reçues ou demandées sans que ladite amende puisse être inférieure à 100.000 francs. Les coupables pourront en outre être frappés d'interdiction de séjour. Il ne sera jamais fait restitution des choses reçues, ni de leur valeur; elles seront confisquées au profit du Trésor. » Reste maintenant à savoir la réalité de ces menaces. Wait and see.
Cette discussion aurait abordé avec un interlocuteur français, les évènements du 25 juillet 1995 à Paris (attentat du métro Saint Michel) et ses répercussions sous la présidence de Jacques Chirac.
Pour rappel; le 25 juillet à 17h30, une bouteille de gaz bourrée d’écrous avait explosé dans le RER parisien à la gare Saint-Michel - Notre-Dame. Le bilan final fut de 8 morts et 117 blessés et a été mis sur le compte du Groupe Islamique armé d’Algérie.
Toujours selon la même source, cette même discussion aurait également ouvert une parenthèse sur ses rapports de cette tête de liste nationale avec un maire de l’opposition traité dans la conversation de « petit écervelé », à qui on allait faire porter le chapeau en cas de pépins.
Le plus cocasse est que dans une autre discussion interceptée, un maire de l’opposition aurait garanti à cette tête de liste nationale de cette coalition; la venue de Bissau-guinéens et de Cap-verdiens pour l’évènement de ce mardi.
Toujours, dans ce même rapport, il y est mentionné qu’un « dépôt d’armes blanches » se trouverait à Dakar, près d’un immeuble quelque part entre Sandaga et l’avenue Petavin.
Enfin, toujours d’après nos radars, un grand patron de presse aurait également consenti à débourser 50 millions FCFA, via un transfert d’argent local, afin de participer à cette manifestation.
Autant de faits qui alertent sur une menace imminente sur la sécurité publique du Sénégal.
Pour rappel, selon l’article 80 du code pénal (Loi n° 99-05 du 29 Janvier 1999), « Tout individu qui aura reçu, accepté, sollicité ou agréé des dons, présents, subsides, offres, promesses, ou tous autres moyens, en vue de se livrer à une propagande de nature à compromettre la sécurité publique ou à occasionner des troubles politiques graves, à jeter le discrédit sur les institutions politiques ou leur fonctionnement, ou à inciter les citoyens à enfreindre les lois du pays, sera puni d'un emprisonnement d'un an au moins et de cinq ans au plus, et d'une amende double de la valeur des promesses agréées ou des choses reçues ou demandées sans que ladite amende puisse être inférieure à 100.000 francs. Les coupables pourront en outre être frappés d'interdiction de séjour. Il ne sera jamais fait restitution des choses reçues, ni de leur valeur; elles seront confisquées au profit du Trésor. » Reste maintenant à savoir la réalité de ces menaces. Wait and see.