Dans ce qu'il est convenu d'appeler l'affaire de la Première dame qui a fait l'objet d'une plainte pour un supposé « enrichissement illicite », Me Mbaye Jacques Diop a pris la défense de Marième Faye Sall. Pour le secrétaire général du Parti pour le progrès et la citoyenneté (Ppc), il n'y a pas d'affaire de la Première dame. « La seule affaire qui existe est le scandale dont s'est rendu coupable un groupe d'aventuriers, affabulés, en parfaits usurpateurs du titre de « marabouts ». Que tout cela est loin des valeurs islamiques ! », s'exclame l'ancien député-maire de Rufisque qui présidait la réunion du bureau politique de son parti. D'après le Ppc, les attaques orchestrées contre l'épouse du chef de l'Etat, vu les réactions d'indignation qu'elles ont soulevées, ont fini par discréditer leurs auteurs.
« Pour une fois dans notre histoire que la Première dame est une authentique Sénégalaise, dans tous les sens du terme, une bande de petits maîtres-chanteurs s'est permise de s'attaquer à son honorabilité, et, ce faisant, semble tenter de la déstabiliser », lit-on dans le document signé par Mbaye Jacques Diop et parvenu à L'As. Le bureau politique du Ppc exprime « ses sentiments de soutien à Madame Sall, l'encourage dans son action sociale de tous les jours et réprouve l'attitude inqualifiable et inacceptable de ceux, irresponsables, qui croient pouvoir jouer et se prévaloir de la religion, à sa seule fin d'assouvir leurs intérêts matériels personnels ».
« Pour une fois dans notre histoire que la Première dame est une authentique Sénégalaise, dans tous les sens du terme, une bande de petits maîtres-chanteurs s'est permise de s'attaquer à son honorabilité, et, ce faisant, semble tenter de la déstabiliser », lit-on dans le document signé par Mbaye Jacques Diop et parvenu à L'As. Le bureau politique du Ppc exprime « ses sentiments de soutien à Madame Sall, l'encourage dans son action sociale de tous les jours et réprouve l'attitude inqualifiable et inacceptable de ceux, irresponsables, qui croient pouvoir jouer et se prévaloir de la religion, à sa seule fin d'assouvir leurs intérêts matériels personnels ».