Ce mardi 18 janvier à Liberté 5 juste après la prière du « timis », une maison a été calcinée par un court circuit provoqué par les délestages. Occasionnant des dommages incalculables. Tout ce qui se trouvait dans la maison a été endommagé. Toutefois, les habitants du domicile en question ont été sains et saufs. « C’est une valeur de plus d’un million qui s’est volatilisée comme ça par la faute de la Senelec », se lamente un membre de la famille dont la maison a fait les frais des coupures d’électricité.
Ce qui a réveillé l’ire des jeunes du quartier qui ont improvisé une manifestation en érigeant des pneus qu’ils ont brûlé pour empêcher le va-et-vient des véhicules. Par conséquent les limiers n’ont pas tardé à rallier les lieux pour rétablir l’ordre. Et ils n’y sont pas allés de main morte.
Ayant droit à une résistance farouches des jeunes qui ont usé de pierres pour en découdre avec les forces de l'ordre, ces dernières étaient obligées d'introduire des bombes lacrymogènes jusque dans les maisons. En effet, des femmes qui ne pouvaient inhaler le gaz lacrymogène sont tombées dans les vapes. « Ce n’est pas normal », fulmine un père de famille dont l’épouse et la fille ont été atteintes.
Des scènes comme celle-ci, les sénégalais risquent d’en vivre encore parce que la question énergétique semble être la bête noire du régime libéral.
Ce qui a réveillé l’ire des jeunes du quartier qui ont improvisé une manifestation en érigeant des pneus qu’ils ont brûlé pour empêcher le va-et-vient des véhicules. Par conséquent les limiers n’ont pas tardé à rallier les lieux pour rétablir l’ordre. Et ils n’y sont pas allés de main morte.
Ayant droit à une résistance farouches des jeunes qui ont usé de pierres pour en découdre avec les forces de l'ordre, ces dernières étaient obligées d'introduire des bombes lacrymogènes jusque dans les maisons. En effet, des femmes qui ne pouvaient inhaler le gaz lacrymogène sont tombées dans les vapes. « Ce n’est pas normal », fulmine un père de famille dont l’épouse et la fille ont été atteintes.
Des scènes comme celle-ci, les sénégalais risquent d’en vivre encore parce que la question énergétique semble être la bête noire du régime libéral.