Le 29 juillet dernier, après une dispute, sa copine lui avait notifié sa décision de se séparer de lui. Voulant la retenir, Moussa Ndao, ayant épuisé tous ses arguments, a pensé pouvoir user du chantage. C'est ainsi qu'il réussit à convaincre la fille de venir chez lui « pour récupérer un portable qu'il lui a acheté ». Il avait déjà planqué dans un coin de la chambre une caméra miniature en marche, rapporte « Le Populaire ». « Quand elle est venue, j’ai entretenu des rapports sexuels avec elle et je regrette de l’avoir fait », dit-il devant la barre. Il a ainsi filmé tous leurs ébats sexuels. Après avoir assouvi sa libido, il a montré la vidéo à la fille en exigeant qu’elle lui rende tous les cadeaux qu’il avait achetés pour elle. Ne s'arrêtant pas en si mauvais chemin, il dit à F. S. que si elle le quitte, il publierait sur le net la vidéo de leurs ébats.
Désorientée, la fille s'en est ouverte à une de ses copines plus mature qui lui a conseillé de ne pas céder au chantage et de déposer une plainte. Ce qui a été fait. Moussa Ndao a été ainsi arrêté et envoyé en prison.
Devant la barre, il a juré qu'il aime la fille plus que tout au monde. Le Procureur, estimant que sa culpabilité ne souffre d'aucune contestation, a requis une peine de deux ans pour le délit de divulgation d’images à caractère personnel et 6 mois pour celui de tentative d’extorsion de fonds. L'avocat du prévenu a reconnu que son client a fauté certes, mais juste à cause de son esprit enfantin et il regrette son acte. Il a donc plaidé pour une application bienveillante de la loi. Reste à savoir ce que le juge va décider le 27 août prochain.
Désorientée, la fille s'en est ouverte à une de ses copines plus mature qui lui a conseillé de ne pas céder au chantage et de déposer une plainte. Ce qui a été fait. Moussa Ndao a été ainsi arrêté et envoyé en prison.
Devant la barre, il a juré qu'il aime la fille plus que tout au monde. Le Procureur, estimant que sa culpabilité ne souffre d'aucune contestation, a requis une peine de deux ans pour le délit de divulgation d’images à caractère personnel et 6 mois pour celui de tentative d’extorsion de fonds. L'avocat du prévenu a reconnu que son client a fauté certes, mais juste à cause de son esprit enfantin et il regrette son acte. Il a donc plaidé pour une application bienveillante de la loi. Reste à savoir ce que le juge va décider le 27 août prochain.