«Pour éviter la femme victime des relations incestueuses ou victime d’un viol suivi de grossesse, la prison ou le cimetière, il faut à notre pays, une loi devant les permettre de subir un avortement médicalisé», se défend le Président du Groupe Parlementaire BBY Moustapha Diakhaté.
« D’autant plus, martèle-t-il, le Sénégal a signé des conventions internationales dans ce sens qui sont supérieures aux lois nationales. Il (Sénégal) doit donc respecter sa signature en adoptant une loi autoriser un avortement médicalisé, conformément au protocole de Maputo».
C’est pourquoi il a invité ses collègues députés, les membres de la société civile, … pour l’adoption d’une loi autorisant l’avortement médicalisé aux femmes victimes de viol suivi de ou d’inceste suivi de grossesse pour les éviter ou la prison ou le cimetière.
Il a défendu cette position lors de la célébration du 40ème anniversaire de l'Association des Femmes Juristes où il recevait un prix de décerné par ladite association pour son combat à la promotion et la protection des droits des femmes et des enfants. Le président du groupe parlementaire BBY , Moustapha Diakhaté, a, toutefois, fait savoir que 'la loi sur la légalisation de l’avortement en cas d'inceste ou de viol n'est pas encore parvenue à l’Assemblée nationale'.
Ferloo
« D’autant plus, martèle-t-il, le Sénégal a signé des conventions internationales dans ce sens qui sont supérieures aux lois nationales. Il (Sénégal) doit donc respecter sa signature en adoptant une loi autoriser un avortement médicalisé, conformément au protocole de Maputo».
C’est pourquoi il a invité ses collègues députés, les membres de la société civile, … pour l’adoption d’une loi autorisant l’avortement médicalisé aux femmes victimes de viol suivi de ou d’inceste suivi de grossesse pour les éviter ou la prison ou le cimetière.
Il a défendu cette position lors de la célébration du 40ème anniversaire de l'Association des Femmes Juristes où il recevait un prix de décerné par ladite association pour son combat à la promotion et la protection des droits des femmes et des enfants. Le président du groupe parlementaire BBY , Moustapha Diakhaté, a, toutefois, fait savoir que 'la loi sur la légalisation de l’avortement en cas d'inceste ou de viol n'est pas encore parvenue à l’Assemblée nationale'.
Ferloo