Ndèye Mbacké a constaté que, depuis les indépendances, sous Léopold Sédar Senghor, les populations de Thiès sont toujours promptes à se dresser contre le pouvoir central. Ndèye Mbacké estime qu'il est temps que Thiès se départisse du statut de ville anti-pouvoir si elle veut se mettre sur la voie de l'émergence. Après une opposition farouche aux régimes de Senghor, Diouf et Me Wade, dit-elle, il est temps de s'arrêter. A l'en croire, de bonnes perspectives s'étaient dessinées dans ce sens à la veille de la Présidentielle de 2012, mais l'appétit aveugle et démesuré d'Idrissa Seck pour le pouvoir a tout chamboulé. "Refusez cette tyrannie qui ne nous honore pas", a-t-elle lancé, selon L'As, aux militants présents au meeting tenu au quartier Aiglon.
Par ailleurs, elle juge, d'après nos confrères, qu'il est prématuré de demander à Macky Sall de tout régler en deux ans. "Il faut lui accorder le second mandat pour pouvoir véritablement le juger objectivement", estime-t-elle. Elle déclare qu'elle s'investit déjà dans les chantiers de la réélection en menant un travail politique de proximité pour rétablir la confiance des populations. Pour elle, Thiès n'est pas encore une ville acquise par la majorité présidentielle pour la simple raison qu'elle y est victime de divisions et de comportements fractionnistes. Il s'y ajoute que l'APR y est minée par un sectarisme qui ne fait que nuire au travail politique sur le terrain. Aussi, harangue-t-elle : "Nous devons nous retrousser les manches pour rassembler toutes les troupes, rétablir une bonne communication entre la base et le sommet pour inverser définitivement la tendance".
Par ailleurs, elle juge, d'après nos confrères, qu'il est prématuré de demander à Macky Sall de tout régler en deux ans. "Il faut lui accorder le second mandat pour pouvoir véritablement le juger objectivement", estime-t-elle. Elle déclare qu'elle s'investit déjà dans les chantiers de la réélection en menant un travail politique de proximité pour rétablir la confiance des populations. Pour elle, Thiès n'est pas encore une ville acquise par la majorité présidentielle pour la simple raison qu'elle y est victime de divisions et de comportements fractionnistes. Il s'y ajoute que l'APR y est minée par un sectarisme qui ne fait que nuire au travail politique sur le terrain. Aussi, harangue-t-elle : "Nous devons nous retrousser les manches pour rassembler toutes les troupes, rétablir une bonne communication entre la base et le sommet pour inverser définitivement la tendance".