« La loi du plus fort, sera toujours la loi », dit-on. Le climat tendu, régnant ces derniers mois à l’Institut de prévoyance retraite du Sénégal, détient son lot de secrets. D’après une certaine indiscrétion, le président du Conseil d’administration serait derrière tout ce tintamarre des soi-disantes associations de retraités. Racine aurait le pouvoir de « faire », de « défaire » et même, de « déraciner » les plus inamovibles proches du système ou du couple présidentiel. L’ex-Directeur général de l’Ipres, Mamadou Sy Mbengue, décryptant une attaque, visant sa tête, avait accusé Racine Sy d’être derrière les contestataires de sa gestion.
Ainsi, Racine Sy, ayant probablement compris que répondre pourrait lui faire rater ses objectifs., aurait opté pour le silence et l’indifférence, laissant ses combattants « alimentaires » au front. Ces derniers, très virulents, ont fait dans l'acharnement médiatique jusqu’à obtenir la tête de Mamadou Sy Mbengue.
Mais, Racine, déracinant l’ex-Dg n’avait pas prévu l’implication du Chef de l’Etat, Macky Sall dans cette affaire. D’après une certaine indiscrétion, Racine penserait que le Président Sall, en débarquant l’ex-Dg, aurait laissé au Conseil d’administration, le pouvoir de décision pour nommer qui il veut à la tête de l’institution.
S’inscrivant dans une logique de décrispation du climat de tension de la boîte, constate-t-on, Macky Sall a décidé de nommer par décret, un nouveau directeur général. Et, le Pca, ayant constaté un revirement de la situation, une dépossession de ses armes et de son pouvoir de « faire » et de « défaire », aurait activé davantage des associations de retraités, affiliés à des syndicats représentatifs pour s’attaquer maintenant au décret du Président Sall.
« Révolte orchestrée » contre le décret du Chef de l’Etat
C’est ainsi que, suite au communiqué du Conseil des Ministres, en date du 2 octobre 2019, annonçant la révocation du Directeur général de l’Institut de prévoyance retraite du Sénégal (Ipres) et la nomination d’un nouveau Directeur par décret, les délégués du personnel de l’Ipres ont tenu une assemblée générale, lundi 7 octobre 2019. Ladite assemblée générale a enregistré la présence des associations ci-après : Association générale des allocataires de régimes des retraités (AGARR), Association des retraités du Sénégal (ARS), Union nationale des retraités du Sénégal (UNARSEN) Association des retraités du département de Pikine et environs (ARIPAV).
A cette occasion, ces différentes entités, membres des syndicats CNTS, SYNTRASEF et SUTBEF ont considéré en assemblée générale, que la révocation et la nomination du Directeur général de l’Ipres est seulement du ressort du Conseil d’administration. Et, elles estiment que l’autonomie de gestion des Institutions de prévoyance retraite est un acquis, obtenu de haute lutte par des travailleurs
Alors, devant ces considérations, ces associations s’opposent de manière énergique à la mise en application du décret, portant nomination par décret d’un Directeur général à l’Ipres. Suite à cette opposition, elles exigent le retrait dudit décret, disent-elles, pour la préservation de l’autonomie de gestion des institutions sociales.
Seulement, des individus qui auraient été bien au cœur des tractations souterraines et autres tentatives de faire reculer le Président de la République, Macky Sall, s’interrogent sur les raisons pour lesquelles l’actuel Pca, Racine Sy, disposerait d’autant de pouvoirs ? Cette interrogation reste et restera probablement sans réponse. Mais…une chose est sûre, Racine a du cran et ceux qui le connaissent, diraient qu’il est maître dans son art. Et, il aurait toujours, à sa disposition les moyens de sa politique existentielle dans le milieu des affaires. Le prix à mettre… importerait peu. L’essentiel serait d’atteindre ses objectifs comme ils ont été planifiés.
Ainsi, Racine Sy, ayant probablement compris que répondre pourrait lui faire rater ses objectifs., aurait opté pour le silence et l’indifférence, laissant ses combattants « alimentaires » au front. Ces derniers, très virulents, ont fait dans l'acharnement médiatique jusqu’à obtenir la tête de Mamadou Sy Mbengue.
Mais, Racine, déracinant l’ex-Dg n’avait pas prévu l’implication du Chef de l’Etat, Macky Sall dans cette affaire. D’après une certaine indiscrétion, Racine penserait que le Président Sall, en débarquant l’ex-Dg, aurait laissé au Conseil d’administration, le pouvoir de décision pour nommer qui il veut à la tête de l’institution.
S’inscrivant dans une logique de décrispation du climat de tension de la boîte, constate-t-on, Macky Sall a décidé de nommer par décret, un nouveau directeur général. Et, le Pca, ayant constaté un revirement de la situation, une dépossession de ses armes et de son pouvoir de « faire » et de « défaire », aurait activé davantage des associations de retraités, affiliés à des syndicats représentatifs pour s’attaquer maintenant au décret du Président Sall.
« Révolte orchestrée » contre le décret du Chef de l’Etat
C’est ainsi que, suite au communiqué du Conseil des Ministres, en date du 2 octobre 2019, annonçant la révocation du Directeur général de l’Institut de prévoyance retraite du Sénégal (Ipres) et la nomination d’un nouveau Directeur par décret, les délégués du personnel de l’Ipres ont tenu une assemblée générale, lundi 7 octobre 2019. Ladite assemblée générale a enregistré la présence des associations ci-après : Association générale des allocataires de régimes des retraités (AGARR), Association des retraités du Sénégal (ARS), Union nationale des retraités du Sénégal (UNARSEN) Association des retraités du département de Pikine et environs (ARIPAV).
A cette occasion, ces différentes entités, membres des syndicats CNTS, SYNTRASEF et SUTBEF ont considéré en assemblée générale, que la révocation et la nomination du Directeur général de l’Ipres est seulement du ressort du Conseil d’administration. Et, elles estiment que l’autonomie de gestion des Institutions de prévoyance retraite est un acquis, obtenu de haute lutte par des travailleurs
Alors, devant ces considérations, ces associations s’opposent de manière énergique à la mise en application du décret, portant nomination par décret d’un Directeur général à l’Ipres. Suite à cette opposition, elles exigent le retrait dudit décret, disent-elles, pour la préservation de l’autonomie de gestion des institutions sociales.
Seulement, des individus qui auraient été bien au cœur des tractations souterraines et autres tentatives de faire reculer le Président de la République, Macky Sall, s’interrogent sur les raisons pour lesquelles l’actuel Pca, Racine Sy, disposerait d’autant de pouvoirs ? Cette interrogation reste et restera probablement sans réponse. Mais…une chose est sûre, Racine a du cran et ceux qui le connaissent, diraient qu’il est maître dans son art. Et, il aurait toujours, à sa disposition les moyens de sa politique existentielle dans le milieu des affaires. Le prix à mettre… importerait peu. L’essentiel serait d’atteindre ses objectifs comme ils ont été planifiés.