Selon le communiqué issu de cette rencontre, lors des délibérations, qui se sont déroulées dans une atmosphère démocratique et constructive, un consensus à minima a pu être dégagé. Deux points clés ont émergé des discussions :
• Un accord pour repousser les délais de dépôt des dossiers de candidature de 72 heures à une semaine, offrant ainsi plus de temps aux partis politiques et coalitions pour régulariser leurs candidatures.
• L'absence de consensus sur la question du casier judiciaire, qui demeure une pierre d'achoppement entre les différentes parties.
À l’issue de la rencontre, le Ministre de l’Intérieur, le Général Jean Baptiste TINE, a pris note des conclusions et a promis de consulter les autorités supérieures pour rendre compte des résultats obtenus. Cependant, peu de temps après, un communiqué officiel du ministère a annoncé le rejet de ce consensus par lesdites autorités, provoquant la désapprobation du Comité Ad-hoc de facilitation.
Ce dernier a tenu à exprimer sa gratitude envers le Ministre de l’Intérieur ainsi que tous les leaders politiques présents, saluant la bonne tenue des concertations. Le Comité s’est réjoui du consensus minimal obtenu, qui, selon lui, aurait pu restaurer un climat de confiance et contribuer à des élections sereines. Toutefois, il s’est également dit préoccupé par le rejet de cet accord par les autorités compétentes, après les efforts conjoints de la société civile et des instances publiques.
Le Comité a lancé un appel à l’ensemble des parties prenantes pour qu’elles poursuivent le processus électoral dans un esprit serein et républicain, afin de garantir une démocratie apaisée et mature.
Les principaux membres du Comité, parmi lesquels Alioune Tine, Pr. Babacar Gueye, Babacar Fall, Abdoulaye Fofana Seck et Alain Ayadokoun, ont réaffirmé leur engagement en faveur d’élections transparentes et consensuelles, tout en espérant que les discussions se poursuivront dans un cadre plus serein.
• Un accord pour repousser les délais de dépôt des dossiers de candidature de 72 heures à une semaine, offrant ainsi plus de temps aux partis politiques et coalitions pour régulariser leurs candidatures.
• L'absence de consensus sur la question du casier judiciaire, qui demeure une pierre d'achoppement entre les différentes parties.
À l’issue de la rencontre, le Ministre de l’Intérieur, le Général Jean Baptiste TINE, a pris note des conclusions et a promis de consulter les autorités supérieures pour rendre compte des résultats obtenus. Cependant, peu de temps après, un communiqué officiel du ministère a annoncé le rejet de ce consensus par lesdites autorités, provoquant la désapprobation du Comité Ad-hoc de facilitation.
Ce dernier a tenu à exprimer sa gratitude envers le Ministre de l’Intérieur ainsi que tous les leaders politiques présents, saluant la bonne tenue des concertations. Le Comité s’est réjoui du consensus minimal obtenu, qui, selon lui, aurait pu restaurer un climat de confiance et contribuer à des élections sereines. Toutefois, il s’est également dit préoccupé par le rejet de cet accord par les autorités compétentes, après les efforts conjoints de la société civile et des instances publiques.
Le Comité a lancé un appel à l’ensemble des parties prenantes pour qu’elles poursuivent le processus électoral dans un esprit serein et républicain, afin de garantir une démocratie apaisée et mature.
Les principaux membres du Comité, parmi lesquels Alioune Tine, Pr. Babacar Gueye, Babacar Fall, Abdoulaye Fofana Seck et Alain Ayadokoun, ont réaffirmé leur engagement en faveur d’élections transparentes et consensuelles, tout en espérant que les discussions se poursuivront dans un cadre plus serein.