"Nous rappelons que la découverte de gisements de pétrole au large des côtes appartenant aux deux pays était à l’origine du litige entre Sénégal et la Guinée-Bissau, à cela s’ajoutent la découverte de nouveaux gisements off-shore sous Wade. Donc de Senghor à Diouf, en passant par Wade, ce débat était toujours d’actualité. Ce que nous dénonçons, c’est le deal qui entoure cette découverte. Pourquoi Macky s’est précipité pour octroyer à son jeune frère Aliou Sall une licence d’exploitation ? Cela prouve que même si cette découverte est avérée, ce sera une entreprise de la dynastie Faye-Sall. Waid and see, l’avenir jugera", ont prévenu ces jeunes dans un communiqué.
Aussi, l’UJTL clame son indignation face à la "théâtralisation à outrance » du procès de Karim Meissa Wade. En effet, depuis l’enquête préliminaire, en passant par la mise en demeure, jusqu’au mandat de dépôt, les mercenaires en charge du sale boulot criaient urbi orbi que le PDS ne voulait pas que ce procès ait lieu. Une telle démarche se justifiait par un ardent désir de faire passer une culpabilité orchestrée par des bandits de grand chemin. Mais fort heureusement, le temps a joué pleinement sa partition et a mis à nu ce complot historique. Après plus de deux mois de procès, le peuple sénégalais, juge souverain, qui s’appuie sur son intime conviction, a donné un non-lieu total à Karim Wade, valide sa candidature pour 2017, et lui colle l’étiquette de "l’espoir du peuple" qui peut espérer mieux ?
Sur le rapprochement annoncé entre le PDS et l’APR, Toussaint Manga et ses "frères" clament "haut et fort que le PDS n’est nullement intéressé par des retrouvailles politiques avec l’APR". Selon eux, l’ancrage du PDS dans l’opposition ne souffre d’aucune contestation, et tout ce qui nous intéresse c’est d’abréger la souffrance des Sénégalais. L’UJTL salue la bonne foi et la discipline dont a fait preuve le Premier ministre à l’endroit de Maître Wade durant les prières de la Tabaski et de la Korité. Par contre, elle condamne, jusqu’à la dernière énergie, le cinéma de certains responsables du régime qui, "après avoir traité Wade de voleurs de tapis, de tableaux d’arts, ont voulu montrer un autre visage, mais cela ne passera jamais".
Sur un autre point, l’UJTL met en garde Macky Sall qui cherche à organiser la Présidentielle en 2019. En effet, "en choisissant l’année 2016 pour faire le référendum sur la réduction du mandat, Macky cherche des subterfuges pour repousser la Présidentielle de 2017. Son modus operandi, c’est de dire que le contexte économique ne nous permet pas d’organiser deux ou trois élections en l’espace d’un an (référendum, élections législatives et Présidentielle). Qu’il déchante, le peuple a déjà compris son jeu et n’acceptera jamais que ses souffrances puissent aller au-delà de 2017", avertissent Toussaint Manga et Cie.
Aussi, l’UJTL clame son indignation face à la "théâtralisation à outrance » du procès de Karim Meissa Wade. En effet, depuis l’enquête préliminaire, en passant par la mise en demeure, jusqu’au mandat de dépôt, les mercenaires en charge du sale boulot criaient urbi orbi que le PDS ne voulait pas que ce procès ait lieu. Une telle démarche se justifiait par un ardent désir de faire passer une culpabilité orchestrée par des bandits de grand chemin. Mais fort heureusement, le temps a joué pleinement sa partition et a mis à nu ce complot historique. Après plus de deux mois de procès, le peuple sénégalais, juge souverain, qui s’appuie sur son intime conviction, a donné un non-lieu total à Karim Wade, valide sa candidature pour 2017, et lui colle l’étiquette de "l’espoir du peuple" qui peut espérer mieux ?
Sur le rapprochement annoncé entre le PDS et l’APR, Toussaint Manga et ses "frères" clament "haut et fort que le PDS n’est nullement intéressé par des retrouvailles politiques avec l’APR". Selon eux, l’ancrage du PDS dans l’opposition ne souffre d’aucune contestation, et tout ce qui nous intéresse c’est d’abréger la souffrance des Sénégalais. L’UJTL salue la bonne foi et la discipline dont a fait preuve le Premier ministre à l’endroit de Maître Wade durant les prières de la Tabaski et de la Korité. Par contre, elle condamne, jusqu’à la dernière énergie, le cinéma de certains responsables du régime qui, "après avoir traité Wade de voleurs de tapis, de tableaux d’arts, ont voulu montrer un autre visage, mais cela ne passera jamais".
Sur un autre point, l’UJTL met en garde Macky Sall qui cherche à organiser la Présidentielle en 2019. En effet, "en choisissant l’année 2016 pour faire le référendum sur la réduction du mandat, Macky cherche des subterfuges pour repousser la Présidentielle de 2017. Son modus operandi, c’est de dire que le contexte économique ne nous permet pas d’organiser deux ou trois élections en l’espace d’un an (référendum, élections législatives et Présidentielle). Qu’il déchante, le peuple a déjà compris son jeu et n’acceptera jamais que ses souffrances puissent aller au-delà de 2017", avertissent Toussaint Manga et Cie.