«Nous avons voulu que les renouvellements, le congrès, lui-même soient des moments d’animation, de sensibilisation, de retrouvailles entre les militants. Tous ceux qui doutaient de la pertinence et de la date en ont pris pour leur grade. L’avenir du parti socialiste appartient à Dieu. Ce que nous devons faire c’est le préserver. Nous avons beaucoup de chantiers au PS. Il y a une exigence d’unité, de cohésion et de rassemblement. Je vais y veiller parce que je me suis engagé à le faire. Il y a aussi le chantier du rassemblement de gauche ; je vais y travailler également. Et au-delà du parti, au-delà du pays, il y a la sous-région. Le président Senghor avait créé l’inter africaine socialiste et démocratique ; nous allons asseyer de retravailler ce dossier sur la base de restructuration des valeurs socialistes pour faire face au défi de notre temps».
Ferloo
Ferloo