Quatre (4) pistes ont été identifiées sur le rapport provisoire du projet de code de la presse. À savoir le statut du journaliste, le cadre juridique des media, le financement des media et enfin la presse en ligne. Concernant le statut du journaliste, les textes précisent que : « est journaliste toute personne diplômée d’une école de journalisme reconnue par l’Etat et dont l’activité principale régulière et rétribuée consiste en la collecte, au traitement et à la diffusion de l’information ». Néanmoins, une orientation est préconisée pour les journalistes formés sur le tas, selon toujours le rapport. « Toute personne titulaire d’un diplôme de licence ou équivalent, suivi d’une pratique professionnelle de deux ans dans la collecte, le traitement et la diffusion de l’information au sein d’un organe de communication sociale, sanctionnée par un jury de validation des acquis de l’expérience », d’après le rapport provisoire présenté hier au ministère de la communication.
Selon le ministre de la Communication, M. Moustapha Guirassy, « la presse joue un rôle primordial dans la sécurité d’une nation ». À cet effet, « il est important de revoir le statut du journaliste », renseigne M. Guirassy. S’appuyant sur le rapport provisoire, le ministre de la Communication ajoute : « ce schéma prend en compte la transition dans la mesure où la majorité des journalistes exerçant actuellement dans les rédactions et dépourvus d’un diplôme professionnel ou non, peuvent valablement continuer à exercer ».
Pour rappel, dans la loi en vigueur, qui date de 1996, « est journaliste toute personne puisant l’essentiel de ses revenus dans la collecte, le traitement et la diffusion de l’information ».
Au terme des débats, huit (8) titres ont été retenus par le projet du nouveau code des media, à savoir celui consacré au champ d’application de la règlementation et les différents termes utilisés dans la loi définis, les principes valeurs et objectifs précisés. A cela s’ajoute entre autres le titre qui organise la presse écrite en mettant l’accent sur les différentes étapes de l’activité, notamment la déclaration de parution, le dépôt légal, l’impression, la publication…, des dispositions applicables aux publications étrangères, ainsi qu’aux publications adressées à la jeunesse. Le code parle également du titre qui concerne la communication audiovisuelle.
Sur ce point, il renvoie aux dispositions communes, aux services de communication audiovisuelle tant du secteur public que du secteur privé. Il précise aussi les conditions générales d’accès au service, ainsi que le régime économique devant présider aux modalités de soutien de l’Etat aux entreprises des media. La nouvelle presse dite « online » n’a pas été occultée. Pour cette catégorie, le code a prévu un titre qui consacre la prise en considération de la spécificité des services de presse en ligne et la nécessité d’encadrer et de réguler l’activité.
Sur cette même lancée, la nouvelle réglementation évoque un article qui fixe les dispositions relatives au statut des professionnels et insiste sur les droits et devoirs du professionnel. Le rapport provisoire parle encore de la régulation et de l’autorégulation, prévoit les sanctions administratives et les sanctions pénales, et renvoie aux dispositions transitoires et finales.
Selon le ministre de la Communication, M. Moustapha Guirassy, « la presse joue un rôle primordial dans la sécurité d’une nation ». À cet effet, « il est important de revoir le statut du journaliste », renseigne M. Guirassy. S’appuyant sur le rapport provisoire, le ministre de la Communication ajoute : « ce schéma prend en compte la transition dans la mesure où la majorité des journalistes exerçant actuellement dans les rédactions et dépourvus d’un diplôme professionnel ou non, peuvent valablement continuer à exercer ».
Pour rappel, dans la loi en vigueur, qui date de 1996, « est journaliste toute personne puisant l’essentiel de ses revenus dans la collecte, le traitement et la diffusion de l’information ».
Au terme des débats, huit (8) titres ont été retenus par le projet du nouveau code des media, à savoir celui consacré au champ d’application de la règlementation et les différents termes utilisés dans la loi définis, les principes valeurs et objectifs précisés. A cela s’ajoute entre autres le titre qui organise la presse écrite en mettant l’accent sur les différentes étapes de l’activité, notamment la déclaration de parution, le dépôt légal, l’impression, la publication…, des dispositions applicables aux publications étrangères, ainsi qu’aux publications adressées à la jeunesse. Le code parle également du titre qui concerne la communication audiovisuelle.
Sur ce point, il renvoie aux dispositions communes, aux services de communication audiovisuelle tant du secteur public que du secteur privé. Il précise aussi les conditions générales d’accès au service, ainsi que le régime économique devant présider aux modalités de soutien de l’Etat aux entreprises des media. La nouvelle presse dite « online » n’a pas été occultée. Pour cette catégorie, le code a prévu un titre qui consacre la prise en considération de la spécificité des services de presse en ligne et la nécessité d’encadrer et de réguler l’activité.
Sur cette même lancée, la nouvelle réglementation évoque un article qui fixe les dispositions relatives au statut des professionnels et insiste sur les droits et devoirs du professionnel. Le rapport provisoire parle encore de la régulation et de l’autorégulation, prévoit les sanctions administratives et les sanctions pénales, et renvoie aux dispositions transitoires et finales.