L’ingéniosité et la fertilité des Sénégalais est sans équivoque. Certains décideurs, responsabilisés dans la gestion des affaires étatiques usent régulièrement de subterfuges pour ce faire de l’argent. Seulement, Leral à travers ses enquêtes aurait découvert l’existence « douteuse » d’une entreprise, dûment créée pour intervenir, dit-on, dans la conception et l’exécution des installations, en vue d’assurer la sécurité des personnes et la conservation des biens. « Cossuel est une Association à but non lucratif régie par la loi 68-08 du 26 mars 1968 portant code des obligations civiles et commerciales et enregistrée sous le récépissé n°109831 du 25 février 1999. ».
Ainsi, le comité sénégalais pour la sécurité des usagers de l’électricité (Cossuel), ayant comme Directeur Général, un certain Mamadou Lamine Dia et dont son Siège social est niché à 42, Rue Wagane Diouf, s’exerce sous les formes suivantes: Vente de formulaires d’attestation de conformité ; contrôle de conformité des installations électriques basse tension et l’attribution de visa d’attestation de conformité.
Seulement, il a été constaté que cette entreprise s’est rapprochée des banques pour lever un montant de 2 milliards de FCfa. Alors que son chiffre d’affaires mensuel est de 30 millions de FCfa. Maintenant, ce qui intrigue, c’est comment et quand le remboursement de ces montants se fera.
Vu l’énormité des attributions dans ses missions et objectifs, une telle entreprise n’est elle pas, uniquement créée dans le but de tirer profit de la Senelec. Puisqu'il a été révélé que la Chef de département stratégie et communication, dépense à elle seule, 100 millions de FCfa/mois pour la communication de Cossuel pour seulement, 3 agences à Dakar.
L’autre fait, les sénégalais, censés être les destinataires de cette société de validation des installations, ne semblent pas, être bénéficiaires à large échelle de ses services. Encore, l’intégration dans son Conseil d’administration des membres d’une organisation de défense des consommateurs semble être un astuce pour étouffer la contestation de sa légitimité.
Quoi qu’il en soit, les fonds contractés avec l’usage des contrats signés avec la Senelec, une société publique devraient être expliqués aux Sénégalais. Sinon, des sous...risqueraient de s’envoler sans trace dans l’air. Et, l’économie nationale en pâtirait gravement.
Leral
Ainsi, le comité sénégalais pour la sécurité des usagers de l’électricité (Cossuel), ayant comme Directeur Général, un certain Mamadou Lamine Dia et dont son Siège social est niché à 42, Rue Wagane Diouf, s’exerce sous les formes suivantes: Vente de formulaires d’attestation de conformité ; contrôle de conformité des installations électriques basse tension et l’attribution de visa d’attestation de conformité.
Seulement, il a été constaté que cette entreprise s’est rapprochée des banques pour lever un montant de 2 milliards de FCfa. Alors que son chiffre d’affaires mensuel est de 30 millions de FCfa. Maintenant, ce qui intrigue, c’est comment et quand le remboursement de ces montants se fera.
Vu l’énormité des attributions dans ses missions et objectifs, une telle entreprise n’est elle pas, uniquement créée dans le but de tirer profit de la Senelec. Puisqu'il a été révélé que la Chef de département stratégie et communication, dépense à elle seule, 100 millions de FCfa/mois pour la communication de Cossuel pour seulement, 3 agences à Dakar.
L’autre fait, les sénégalais, censés être les destinataires de cette société de validation des installations, ne semblent pas, être bénéficiaires à large échelle de ses services. Encore, l’intégration dans son Conseil d’administration des membres d’une organisation de défense des consommateurs semble être un astuce pour étouffer la contestation de sa légitimité.
Quoi qu’il en soit, les fonds contractés avec l’usage des contrats signés avec la Senelec, une société publique devraient être expliqués aux Sénégalais. Sinon, des sous...risqueraient de s’envoler sans trace dans l’air. Et, l’économie nationale en pâtirait gravement.
Leral