Jeunes pêcheurs sénégalais arborant un bandeau rouge pour exprimer leur mécontentement.
La pêche sénégalaise, qui dépend à 89 % du savoir-faire artisanal, ne fait plus recette. La baisse régulière de la production dans la première moitié des années 2000 a toutefois été enrayée. En 2010, les quantités pêchées atteignent un peu moins de 450 000 tonnes (+ 2 % par rapport à 2009). L’année écoulée est aussi un bon cru pour le chiffre d’affaires, en hausse de 60 % par rapport à 2008 (grâce à la croissance des ventes de poulpe, un produit à haute valeur ajoutée), à 165 milliards de F CFA (251,5 millions d’euros)
jeune afrique
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