Après son combat avorté contre le show-man Rocky Balboa, son duel tant attendu contre Eumeu Sène n’a finalement pu se tenir la saison passée. Face au leader de Tay Shinger, son objectif après ses victoires sur Balla Gaye 2 puis Modou Lô, serait de conforter son titre.
Bombardier a passé sa deuxième année blanche d’affilée après celle de la saison 2015-2016. Une première pour un roi des arènes en activité. Ses prédécesseurs, Yékini, Tyson et Balla Gaye 2, n’étaient jamais restés toute une année sans disputer au moins une affiche. Après son combat avorté contre le show-man Rocky Balboa, qui a fait couler beaucoup d’encre, celui qui devait l’opposer à Eumeu Sène la saison dernière n’a finalement pu être organisé, au grand dam des férus de lutte.
Et pour cause, en plus d’un problème de date pour la tenue du face-à-face, le promoteur Assane Ndiaye n’avait pas pu s’acquitter de ses obligations financières à l’endroit des deux protagonistes. Pour la saison 2017-2018, l’espoir est permis de voir les deux ténors s’affronter enfin, même si de gros nuages continuent de planer sur cette affiche que tous appellent de leurs vœux.
Bombardier et Eumeu Sène n’ont jusqu’ici pas croisé le fer, en plus de 15 ans de carrière chacun. Aujourd’hui, leur face-à-face s’impose au vu de leur parcours respectif et de leurs dernières performances. Invincible depuis sa déculottée en 2012 contre Tapha Tine, « le géant du Baol »,
Bombardier a réalisé ces dernières saisons, de formidables prouesses. Couronné roi de Bercy après sa victoire-revanche sur Balla Bèye 2 dit Baboye, le colosse de Mbour a touché le Graal en 2014, en venant à bout du roi des arènes, Balla Gaye 2. Un beau succès qui lui a permis de reprendre « son dû », après une décennie de reconquête infructueuse.
Pour rappel, le B 52 a régné une première fois comme roi des arènes à la suite de sa victoire en 2002 aux dépens de Mohamed Ndao dit Tyson. Le Mbourois avait ensuite perdu le titre en faveur de son triple tombeur, Yékini, sa bête noire.
Après la reconquête du trône en juin 2014, Bombardier réalisait la saison suivante, une autre prouesse de taille en prenant le dessus sur le teigneux Modou Lô. Ce succès lui avait permis de conforter son titre.
Des « Vip », excepté son parent Lac de Guiers 2, Eumeu Sène est le seul lutteur qu’il n’a pas encore affronté. Une victoire sur ce dernier lui permettrait de d’enrichir davantage un palmarès déjà impressionnant, mais surtout, de conforter encore plus son statut de roi des arènes.
Il faut néanmoins souligner qu’un éventuel combat opposant le chef de file de l’écurie de Mbour et le porte-étendard de Pikine serait très disputé, vu la détermination du dernier nommé à conquérir le trône. Après une contreperformance contre Modou Lô en 2014, Eumeu Sène s’est relancé de belle manière, en infligeant une deuxième défaite à Balla Gaye 2 lors de la saison 2014-2015. Autoproclamé empereur des arènes, il a toujours rêvé de monter sur le trône. Face à Bombardier, détenteur du titre, il aura l’occasion de réaliser son vieux rêve.
Mais il faudra auparavant qu’un promoteur arrive à monter son affiche tant attendue contre le colosse de Mbour, qui compte poursuivre son règne pour longtemps encore.
Source : Le Soleil
Bombardier a passé sa deuxième année blanche d’affilée après celle de la saison 2015-2016. Une première pour un roi des arènes en activité. Ses prédécesseurs, Yékini, Tyson et Balla Gaye 2, n’étaient jamais restés toute une année sans disputer au moins une affiche. Après son combat avorté contre le show-man Rocky Balboa, qui a fait couler beaucoup d’encre, celui qui devait l’opposer à Eumeu Sène la saison dernière n’a finalement pu être organisé, au grand dam des férus de lutte.
Et pour cause, en plus d’un problème de date pour la tenue du face-à-face, le promoteur Assane Ndiaye n’avait pas pu s’acquitter de ses obligations financières à l’endroit des deux protagonistes. Pour la saison 2017-2018, l’espoir est permis de voir les deux ténors s’affronter enfin, même si de gros nuages continuent de planer sur cette affiche que tous appellent de leurs vœux.
Bombardier et Eumeu Sène n’ont jusqu’ici pas croisé le fer, en plus de 15 ans de carrière chacun. Aujourd’hui, leur face-à-face s’impose au vu de leur parcours respectif et de leurs dernières performances. Invincible depuis sa déculottée en 2012 contre Tapha Tine, « le géant du Baol »,
Bombardier a réalisé ces dernières saisons, de formidables prouesses. Couronné roi de Bercy après sa victoire-revanche sur Balla Bèye 2 dit Baboye, le colosse de Mbour a touché le Graal en 2014, en venant à bout du roi des arènes, Balla Gaye 2. Un beau succès qui lui a permis de reprendre « son dû », après une décennie de reconquête infructueuse.
Pour rappel, le B 52 a régné une première fois comme roi des arènes à la suite de sa victoire en 2002 aux dépens de Mohamed Ndao dit Tyson. Le Mbourois avait ensuite perdu le titre en faveur de son triple tombeur, Yékini, sa bête noire.
Après la reconquête du trône en juin 2014, Bombardier réalisait la saison suivante, une autre prouesse de taille en prenant le dessus sur le teigneux Modou Lô. Ce succès lui avait permis de conforter son titre.
Des « Vip », excepté son parent Lac de Guiers 2, Eumeu Sène est le seul lutteur qu’il n’a pas encore affronté. Une victoire sur ce dernier lui permettrait de d’enrichir davantage un palmarès déjà impressionnant, mais surtout, de conforter encore plus son statut de roi des arènes.
Il faut néanmoins souligner qu’un éventuel combat opposant le chef de file de l’écurie de Mbour et le porte-étendard de Pikine serait très disputé, vu la détermination du dernier nommé à conquérir le trône. Après une contreperformance contre Modou Lô en 2014, Eumeu Sène s’est relancé de belle manière, en infligeant une deuxième défaite à Balla Gaye 2 lors de la saison 2014-2015. Autoproclamé empereur des arènes, il a toujours rêvé de monter sur le trône. Face à Bombardier, détenteur du titre, il aura l’occasion de réaliser son vieux rêve.
Mais il faudra auparavant qu’un promoteur arrive à monter son affiche tant attendue contre le colosse de Mbour, qui compte poursuivre son règne pour longtemps encore.
Source : Le Soleil