Walf Grand-Place : Pourquoi vous avez choisi le métier de batteur et pas celui de chanteur comme votre père ?
Massamba Seck : Il n’est pas exclu que je prenne un jour le micro. Toute ma famille a débuté par les tam-tams. Jusqu’à présent, si vous assistez aux soirées de mon père, vous le voyez se transformer en batteur.
Pourquoi avoir choisi le groupe de votre oncle Ousmane Seck et pas celui de votre père, Mapenda ?
Je tiens à préciser que j’entretiens d’excellents rapports avec mon père. On discute comme des copains. C’est un père exemplaire. J’étais certes dans sa formation qu’est le Takander, mais après la sortie de la cassette qu’il a dédiée à Baye Niass, il a été en tournée européenne. Un voyage auquel je n’ai pas participé. Et c’est avant son retour que mon oncle Ousmane qui créait son « Ous Band » m’a fait appeler. J’ai répondu avec plaisir puisqu’il est un ami.
Votre père ne s’est-il pas senti frustré ?
Du tout, il a compris que c’est son frère. Et puis, j’avoue que pour rien au monde, je ne quitterai Ousmane. Je serai avec lui jusqu’à ma mort. C’est vous dire combien ce qui nous lie est fort. Je me souviens, j’ai été gravement malade, mon papa était en Europe. Ma maman m’a hospitalisé sans un sou. Mais dès qu’il lui a téléphoné Ousmane a réglé tous les frais médicaux. Et s’il ne l’avait pas fait, peut-être que je serai mort. Pour vous dire qu’il m’a sauvé la vie.
A part Ousmane, quels sont vos rapports avec vos autres oncles comme Thione, Assane Ndiaye ?
De bons rapports. Thione, c’est mon papa. Son fils Waly dont je suis l’aîné de deux mois est mon ami. Avant la sortie de son album, on était souvent ensemble. Maintenant que nous sommes tous dans le show-biz, il n’y a rien entre nous. Ce sont les personnes malintentionnées qui tentent de nous diviser. Ils sont tous mes pères.
Vous avez quitté la maison de votre père à l’age de 17 ans, est-ce à dire que vous ne vous entendiez plus avec votre belle mère, Ramatoulaye Ndiaye ?
Ramatoulaye, c’est elle qui m’a élevé et s’est bien occupé de moi. Les gens ont toujours pensé qu’elle était ma maman. On n’a pas de problèmes. Je suis son aîné. C’est comme ça qu’elle m’appelle, d’ailleurs. Pour illustrer ce que je viens de dire, dans son portefeuille, elle a mis ma photo.
Et la nouvelle, Fatou Guewel ?
Fatou est une grand-mère puisqu’elle est parente à ma mère. On s’entend bien. Elle me téléphone souvent pour m’inviter chez elle.
Comment avez-vous vécu en tant qu’artiste le mariage très médiatisé de votre père avec Fatou Guéweul ?
C’est vrai que j’ai eu mal un instant à cause de certains commentaires « vulgaires ». Mais, je me suis dit qu’ils sont artistes et leur vie privée n’est pas facile à préserver. Car, on ne peut empêcher aux gens de spéculer. Disons que Rama et ma mère, Fatou, ma grand-mère.
Et votre maman, il parait qu’elle est comédienne ?
Effectivement, ma mère était danseuse de ballet, puis comédienne à Daaray Kocc. Avec mon père, ils ont eu trois enfants dont deux filles. Elle s’appelle Mame Marième Ndiaye. Je rêve de la ramener dans la maison de mon père et de les amener tous les deux à la Mecque. J’avoue qu’elle a galère dans son foyer. Et mon père me le rappelle souvent. S’ils acceptent, je les remarie. Je prie que ce vœu se réalise. Si j’avais un bâton magique, c’est ce que je ferai tout de suite. En plus de construire une jolie maison pour eux.
Ndeye Awa Lô
Walf Grand-Place.
Massamba Seck : Il n’est pas exclu que je prenne un jour le micro. Toute ma famille a débuté par les tam-tams. Jusqu’à présent, si vous assistez aux soirées de mon père, vous le voyez se transformer en batteur.
Pourquoi avoir choisi le groupe de votre oncle Ousmane Seck et pas celui de votre père, Mapenda ?
Je tiens à préciser que j’entretiens d’excellents rapports avec mon père. On discute comme des copains. C’est un père exemplaire. J’étais certes dans sa formation qu’est le Takander, mais après la sortie de la cassette qu’il a dédiée à Baye Niass, il a été en tournée européenne. Un voyage auquel je n’ai pas participé. Et c’est avant son retour que mon oncle Ousmane qui créait son « Ous Band » m’a fait appeler. J’ai répondu avec plaisir puisqu’il est un ami.
Votre père ne s’est-il pas senti frustré ?
Du tout, il a compris que c’est son frère. Et puis, j’avoue que pour rien au monde, je ne quitterai Ousmane. Je serai avec lui jusqu’à ma mort. C’est vous dire combien ce qui nous lie est fort. Je me souviens, j’ai été gravement malade, mon papa était en Europe. Ma maman m’a hospitalisé sans un sou. Mais dès qu’il lui a téléphoné Ousmane a réglé tous les frais médicaux. Et s’il ne l’avait pas fait, peut-être que je serai mort. Pour vous dire qu’il m’a sauvé la vie.
A part Ousmane, quels sont vos rapports avec vos autres oncles comme Thione, Assane Ndiaye ?
De bons rapports. Thione, c’est mon papa. Son fils Waly dont je suis l’aîné de deux mois est mon ami. Avant la sortie de son album, on était souvent ensemble. Maintenant que nous sommes tous dans le show-biz, il n’y a rien entre nous. Ce sont les personnes malintentionnées qui tentent de nous diviser. Ils sont tous mes pères.
Vous avez quitté la maison de votre père à l’age de 17 ans, est-ce à dire que vous ne vous entendiez plus avec votre belle mère, Ramatoulaye Ndiaye ?
Ramatoulaye, c’est elle qui m’a élevé et s’est bien occupé de moi. Les gens ont toujours pensé qu’elle était ma maman. On n’a pas de problèmes. Je suis son aîné. C’est comme ça qu’elle m’appelle, d’ailleurs. Pour illustrer ce que je viens de dire, dans son portefeuille, elle a mis ma photo.
Et la nouvelle, Fatou Guewel ?
Fatou est une grand-mère puisqu’elle est parente à ma mère. On s’entend bien. Elle me téléphone souvent pour m’inviter chez elle.
Comment avez-vous vécu en tant qu’artiste le mariage très médiatisé de votre père avec Fatou Guéweul ?
C’est vrai que j’ai eu mal un instant à cause de certains commentaires « vulgaires ». Mais, je me suis dit qu’ils sont artistes et leur vie privée n’est pas facile à préserver. Car, on ne peut empêcher aux gens de spéculer. Disons que Rama et ma mère, Fatou, ma grand-mère.
Et votre maman, il parait qu’elle est comédienne ?
Effectivement, ma mère était danseuse de ballet, puis comédienne à Daaray Kocc. Avec mon père, ils ont eu trois enfants dont deux filles. Elle s’appelle Mame Marième Ndiaye. Je rêve de la ramener dans la maison de mon père et de les amener tous les deux à la Mecque. J’avoue qu’elle a galère dans son foyer. Et mon père me le rappelle souvent. S’ils acceptent, je les remarie. Je prie que ce vœu se réalise. Si j’avais un bâton magique, c’est ce que je ferai tout de suite. En plus de construire une jolie maison pour eux.
Ndeye Awa Lô
Walf Grand-Place.