Pourtant, à toutes ces autorités, « il leur revient de droit et de devoir de prendre toutes les mesures adéquates pour, dans un premier temps, geler la pose de tout nouveau panneau publicitaire, ensuite procéder à la dépose systématique des supports publicitaires installés en des endroits inappropriés ou gênants et en fin aérer les espaces en répartissant ces supports sur des distances normées. », comme le soutient Abdourahmane Amat.
Dakar est caractérisé comme étant une ville ayant un statut de carrefour international. A ce titre, la ville de Dakar ne mérite pas cette anarchie caractérisée. D’où ces questions légitimes posées par notre compatriote Abdourahmane Amat : « Malheureusement les panneaux publicitaires poussent comme des champignons au bénéfice exclusif de qui, avec la complicité de qui et pourquoi une telle faveur ?
Qui sont derrière ces hommes et ces femmes qui bafouent l’autorité publique impunément ? Allez savoir. » Idem pour le Gouverneur et le Préfet de Dakar Notre compatriote indexe : « Il reste qu’il faille remarquer qu’une rumeur persistante fait état donc de l’octroi des autorisations d’exploitation de panneaux publicitaires à une kyrielle d’individus issus de différents secteurs qui vont des patrons de la Presse aux hommes politiques (ou à leur entourage) en passant par les stars de la musique, les fils des marabouts, les étrangers pistonnés au sommet de l’Etat, etc.
Subitement tous ces décideurs sensés arbitrer et contrôler ce secteur se retrouvent partiaux et donc passifs dans le combat de moralisation et de réglementation par rapport à l’implantation des panneaux publicitaires dans la ville de Dakar. » Et de poursuivre : « Les populations ont l’obligation morale et la responsabilité de soutenir le combat à mener par les autorités de la République pour qu’’un toilettage se fasse afin de pérenniser et conserver un cadre de vie décent.
Ce combat concerne aussi et, particulièrement, les premiers magistrats de la ville en l’occurrence les Maires de Dakar qui n’ont pas le droit de se taire parce que tout simplement élus pour défendre et protéger les intérêts de leurs mandants. »
Kritik Hebdo
Dakar est caractérisé comme étant une ville ayant un statut de carrefour international. A ce titre, la ville de Dakar ne mérite pas cette anarchie caractérisée. D’où ces questions légitimes posées par notre compatriote Abdourahmane Amat : « Malheureusement les panneaux publicitaires poussent comme des champignons au bénéfice exclusif de qui, avec la complicité de qui et pourquoi une telle faveur ?
Qui sont derrière ces hommes et ces femmes qui bafouent l’autorité publique impunément ? Allez savoir. » Idem pour le Gouverneur et le Préfet de Dakar Notre compatriote indexe : « Il reste qu’il faille remarquer qu’une rumeur persistante fait état donc de l’octroi des autorisations d’exploitation de panneaux publicitaires à une kyrielle d’individus issus de différents secteurs qui vont des patrons de la Presse aux hommes politiques (ou à leur entourage) en passant par les stars de la musique, les fils des marabouts, les étrangers pistonnés au sommet de l’Etat, etc.
Subitement tous ces décideurs sensés arbitrer et contrôler ce secteur se retrouvent partiaux et donc passifs dans le combat de moralisation et de réglementation par rapport à l’implantation des panneaux publicitaires dans la ville de Dakar. » Et de poursuivre : « Les populations ont l’obligation morale et la responsabilité de soutenir le combat à mener par les autorités de la République pour qu’’un toilettage se fasse afin de pérenniser et conserver un cadre de vie décent.
Ce combat concerne aussi et, particulièrement, les premiers magistrats de la ville en l’occurrence les Maires de Dakar qui n’ont pas le droit de se taire parce que tout simplement élus pour défendre et protéger les intérêts de leurs mandants. »
Kritik Hebdo