Le premier à l’attaquer, c’est le colonel Malick Cissé qui n’y est pas allé du dos de la cuillère pour rappeler Youssou Ndour à l’ordre. « Il devrait rebaptiser son mouvement Fekke Ma Ci Bollée en l’appelant Fécca Ma ci Bollé (Je danse, donc je participe.) Cela veut dire tout simplement que sans la musique, Youssou Ndour n’existe pas. Je pense que ces troubadours n’ont qu’à rester à leur place. Le pays est hiérarchisé, classifié. Chacun a son rôle. Un musicien doit rester musicien, un troubadour doit rester troubadour. Tout le monde a le droit de jouer sa partition, bien entendu, mais dans les limites de leurs possibilités et de leur savoir-faire », assène le Colonel qui s’oublie un moment pour s’en prendre au chanteur. Il ne sera pas le seul.
Le « fou du village », Farba Senghor pour ne pas le nommer prend le relais pour prédire au roi du mbalax une mort certaine. « Sache que le terrain politique n’est pas le Thiossane. Si tu descends dans l’arène politique tu es un homme mort », lâchait le chargé de la propagande du Parti démocratique sénégalais.
Vu la ténacité de You face aux attaques des politiciens professionnels, il est jugé nécessaire de lui envoyer la bombe « Demba Dia ». Le rocker qui a rejoint les Fal 2012 pour réélire Wade dégaine et vide son chargeur sur son homologue. A l’en croire, Youssou Ndour veut régler ses comptes avec le Pape du sopi. Le leader du Mac est convaincu que si You en veut à Wade, c’est parce qu’il a été mis sur la touche du Festival mondial des arts nègres.
Contrairement à ses ouailles, Me Wade semble beaucoup plus prudent sur la question. Dans un entretien avec RFI et France24, le président de la République souhaite bonne chance au chanteur. Il n’en dit pas plus.
Pas plus tard qu’hier, son directeur de Campagne, Me Souleymane Ndéné Ndiaye raille Youssou Ndour de la laide des manières. Pour le premier ministre, le boss de Futurs médias n’a pas les aptitudes de diriger un pays. Pour ne rien arranger à ces assauts répétitifs contre le chanteur, le magazine Dakar Match, mensuel du groupe CD média qui appartient à Cheikh Diallo, proche de Karim évente un deal entre Youssou Ndour et ce dernier. Il ne se passe un jour sans que les libéraux trouvent un moyen de descendre l’auteur de « Fékké maci bolé » dont la candidature a pour mérite d’attirer l’attention de la communauté internationale sur la menace que constitue la candidature d’Abdoulaye Wade pour la paix sociale. Et ceci, le camp présidentiel l'a bien compris. C'est ce qui explique toute cette armada mobilisée pour casser le chanteur et ses ambitions politiques.
Le « fou du village », Farba Senghor pour ne pas le nommer prend le relais pour prédire au roi du mbalax une mort certaine. « Sache que le terrain politique n’est pas le Thiossane. Si tu descends dans l’arène politique tu es un homme mort », lâchait le chargé de la propagande du Parti démocratique sénégalais.
Vu la ténacité de You face aux attaques des politiciens professionnels, il est jugé nécessaire de lui envoyer la bombe « Demba Dia ». Le rocker qui a rejoint les Fal 2012 pour réélire Wade dégaine et vide son chargeur sur son homologue. A l’en croire, Youssou Ndour veut régler ses comptes avec le Pape du sopi. Le leader du Mac est convaincu que si You en veut à Wade, c’est parce qu’il a été mis sur la touche du Festival mondial des arts nègres.
Contrairement à ses ouailles, Me Wade semble beaucoup plus prudent sur la question. Dans un entretien avec RFI et France24, le président de la République souhaite bonne chance au chanteur. Il n’en dit pas plus.
Pas plus tard qu’hier, son directeur de Campagne, Me Souleymane Ndéné Ndiaye raille Youssou Ndour de la laide des manières. Pour le premier ministre, le boss de Futurs médias n’a pas les aptitudes de diriger un pays. Pour ne rien arranger à ces assauts répétitifs contre le chanteur, le magazine Dakar Match, mensuel du groupe CD média qui appartient à Cheikh Diallo, proche de Karim évente un deal entre Youssou Ndour et ce dernier. Il ne se passe un jour sans que les libéraux trouvent un moyen de descendre l’auteur de « Fékké maci bolé » dont la candidature a pour mérite d’attirer l’attention de la communauté internationale sur la menace que constitue la candidature d’Abdoulaye Wade pour la paix sociale. Et ceci, le camp présidentiel l'a bien compris. C'est ce qui explique toute cette armada mobilisée pour casser le chanteur et ses ambitions politiques.