Le Directeur national de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest, Ahmadou Al Aminou Lô, n’est pas resté aphone par rapport au prêt de 52 milliards de FCfa, dont bénéficie le personnel de son institution. Ainsi, il précise que l’aspiration d’une personne, une fois adulte, est de trouver du travail, avoir une maison, un véhicule, nourrir sa famille.
Dans cette quête de mieux, le travailleur qui se trouve dans le besoin de trouver une maison, pourrait estimer nécessaire d’emprunter de l’argent pour acheter un véhicule. « Nous, les agents de la Bceao sommes à peu près à 2500 personnes dans les 8 pays. A chaque fois que vous prenez un pays, divisez-le par 2500 personnes », a expliqué le Directeur national pour le Sénégal de la Bceao, Ahmadou Al Aminou Lô.
Ce dernier, s’interroge du coût d’un terrain de 150 mètres carrés et celui, d’une maison à Dakar. « A 30 millions de FCfa, vous pouvez vous dire, je rentre dans ce marché. Prenez 30 millions de FCfa, multipliez-le par 2500 personnes, vous avez 75 milliards de FCfa. Rien qu’une maison. Donc, il y a des idéologies, il y a des gens qui sont venus en conférence sur l’idéologie du Franc Cfa. Ils en ont profité pour donner un appât. Et, c’était un appât grossier », regrette Ahmadou Al Aminou Lô.
La Bceao, estime-t-il, est une institution « transparente » et « indépendante ». « Voyez le directeur national que je suis, si je devais aller dans une banque, demander un prêt. Vous ne pensez pas que cela va vicier mon indépendance vis-à-vis d’elle ? Nous sommes une banque centrale. Nous avons la fonction d’une banque, nous faisons des prêts à nos agents dans la limite de ce qui est permis par nos statuts, pour leur permettre d’être comme tout un chacun : avoir une maison, avoir un véhicule, vivre décemment et garder leur indépendance. Si pour cela, on jette le personnel de la banque centrale en pâture, c’est pitoyable », s’est défendu le Directeur national pour le Sénégal de la Bceao.
O WADE Leral
Dans cette quête de mieux, le travailleur qui se trouve dans le besoin de trouver une maison, pourrait estimer nécessaire d’emprunter de l’argent pour acheter un véhicule. « Nous, les agents de la Bceao sommes à peu près à 2500 personnes dans les 8 pays. A chaque fois que vous prenez un pays, divisez-le par 2500 personnes », a expliqué le Directeur national pour le Sénégal de la Bceao, Ahmadou Al Aminou Lô.
Ce dernier, s’interroge du coût d’un terrain de 150 mètres carrés et celui, d’une maison à Dakar. « A 30 millions de FCfa, vous pouvez vous dire, je rentre dans ce marché. Prenez 30 millions de FCfa, multipliez-le par 2500 personnes, vous avez 75 milliards de FCfa. Rien qu’une maison. Donc, il y a des idéologies, il y a des gens qui sont venus en conférence sur l’idéologie du Franc Cfa. Ils en ont profité pour donner un appât. Et, c’était un appât grossier », regrette Ahmadou Al Aminou Lô.
La Bceao, estime-t-il, est une institution « transparente » et « indépendante ». « Voyez le directeur national que je suis, si je devais aller dans une banque, demander un prêt. Vous ne pensez pas que cela va vicier mon indépendance vis-à-vis d’elle ? Nous sommes une banque centrale. Nous avons la fonction d’une banque, nous faisons des prêts à nos agents dans la limite de ce qui est permis par nos statuts, pour leur permettre d’être comme tout un chacun : avoir une maison, avoir un véhicule, vivre décemment et garder leur indépendance. Si pour cela, on jette le personnel de la banque centrale en pâture, c’est pitoyable », s’est défendu le Directeur national pour le Sénégal de la Bceao.
O WADE Leral