Cette 13e rencontre, animée par des acteurs de l’Environnement dont Aminata Mbow Diokhané, chef du Centre de la qualité de l’air de la Direction de l’Environnement et des Etablissements classés (DEEC) au Ministère de l’Environnement. Elle a axé son intervention sur l’impact de la qualité de l’air sur la Covid-19. Selon elle, la pollution de l’air pourrait occasionner la propagation du virus.
Aminata Mbow Diokhané estime que la pollution de l’air pourrait occasionner la propagation du virus. Elle informe en effet, qu’Il y a effectivement plusieurs études qui sont menées à travers le monde depuis le début de la pandémie, pour faire le lien entre la pollution atmosphérique et la propagation du coronavirus.
C’est le cas notamment, selon Mme Diokhané, pour une ville italienne où il a été noté une évolution extrêmement rapide des cas de coronavirus.
« Il est avéré que les particules fines PM10 et PM25 jouent un rôle de transporteur pour le virus », laisse entendre la cheffe du Centre de la qualité de l’air de la Direction de l’Environnement et des Etablissements classés. En plus, elle signale que ces particules fragilisent les personnes vulnérables et aggravent les symptômes de la Covid-19.
Pis, alerte la panéliste, « selon une étude préliminaire allemande publiée dans la revue Science of Total Environnement, en avril 2020, 78% des décès dus au coronavirus en Europe sont concentrés dans les régions où les niveaux du dioxyde d’azote NO2 sont les plus élevés ».
Aminata Mbow Diokhané estime que la pollution de l’air pourrait occasionner la propagation du virus. Elle informe en effet, qu’Il y a effectivement plusieurs études qui sont menées à travers le monde depuis le début de la pandémie, pour faire le lien entre la pollution atmosphérique et la propagation du coronavirus.
C’est le cas notamment, selon Mme Diokhané, pour une ville italienne où il a été noté une évolution extrêmement rapide des cas de coronavirus.
« Il est avéré que les particules fines PM10 et PM25 jouent un rôle de transporteur pour le virus », laisse entendre la cheffe du Centre de la qualité de l’air de la Direction de l’Environnement et des Etablissements classés. En plus, elle signale que ces particules fragilisent les personnes vulnérables et aggravent les symptômes de la Covid-19.
Pis, alerte la panéliste, « selon une étude préliminaire allemande publiée dans la revue Science of Total Environnement, en avril 2020, 78% des décès dus au coronavirus en Europe sont concentrés dans les régions où les niveaux du dioxyde d’azote NO2 sont les plus élevés ».