…De Njomboor et…
Les deux rédacteurs soulignent que «l’argent, il n’est pas allé le trouver chez les Occidentaux (qui lui auraient imposé beaucoup de conditionnalités) mais auprès des monarchies du Golfe». Selon eux, «il a très bien joué en réussissant le coup de la décennie : prendre la présidence en exercice de l’Organisation du Conseil islamique (Oci) (sic) lors de son 11e Sommet tenu à (Ndakaaru) les 13 et 14 mars 2008. Le Sommet lui fut attribué en 2004. Soit 4 ans seulement après son arrivée au pouvoir. Contrairement à son prédécesseur (Njol) Diouf qui réunit le 16e Sommet de l’Oci, les 9, 10 et 11 décembre 1991, à (Ndakaaru), (Wax waxeet) en a profité largement pour se remplir les poches. Il a commencé par créer l’Anoci (Agence nationale de l’Organisation de la conférence islamique) en juin 2004, quelques mois après l’attribution du 11e Sommet au (Sunugaal)». «L’objet de l’Anoci, poursuivent les journalistes, est sans équivoque : préparer l’organisation du Sommet islamique de 2008 et conduire la construction d’infrastructures hôtelières sur la Corniche Ouest à (Ndakaaru)».
…De Rimka
Poursuivant, ils soulignent : «(Wax waxeet) ayant trimé pendant un quart de siècle dans l’opposition avec en prime deux séjours en prison, a de la suite dans les idées en nommant son fils, (Rimka), président de cette institution (…) (Rimka) n’a pas fait dans la dentelle. En 4 années d’existence, 2004 à 2008, les pays du Golfe ont financé pour 432 milliards de F Cfa (650 millions d’euros) de travaux. La famille du président en a profité pour se sucrer, pour s’enrichir au détriment du trésor public (Sunugaal) qui devra rembourser l’argent obtenu à cette occasion car il s’agit des prêts et non des dons (…)». Selon Afrique Education, «devenu multimilliardaire en très peu de temps, le fils du président (sunugaalien) n’a plus qu’une seule ambition : succéder à papa à la tête du pays, ce qui n’est pas du goût des (Sunugaaliens) qui le lui ont montré quand il a voulu devenir le maire de (Ndakaaru). Malgré les billets de banque qu’il distribuait aux électeurs, il a été battu à plate couture, y compris dans son propre bureau de vote. Son projet de remplacer son père n’a aucune chance d’aboutir».
La rédaction
Les deux rédacteurs soulignent que «l’argent, il n’est pas allé le trouver chez les Occidentaux (qui lui auraient imposé beaucoup de conditionnalités) mais auprès des monarchies du Golfe». Selon eux, «il a très bien joué en réussissant le coup de la décennie : prendre la présidence en exercice de l’Organisation du Conseil islamique (Oci) (sic) lors de son 11e Sommet tenu à (Ndakaaru) les 13 et 14 mars 2008. Le Sommet lui fut attribué en 2004. Soit 4 ans seulement après son arrivée au pouvoir. Contrairement à son prédécesseur (Njol) Diouf qui réunit le 16e Sommet de l’Oci, les 9, 10 et 11 décembre 1991, à (Ndakaaru), (Wax waxeet) en a profité largement pour se remplir les poches. Il a commencé par créer l’Anoci (Agence nationale de l’Organisation de la conférence islamique) en juin 2004, quelques mois après l’attribution du 11e Sommet au (Sunugaal)». «L’objet de l’Anoci, poursuivent les journalistes, est sans équivoque : préparer l’organisation du Sommet islamique de 2008 et conduire la construction d’infrastructures hôtelières sur la Corniche Ouest à (Ndakaaru)».
…De Rimka
Poursuivant, ils soulignent : «(Wax waxeet) ayant trimé pendant un quart de siècle dans l’opposition avec en prime deux séjours en prison, a de la suite dans les idées en nommant son fils, (Rimka), président de cette institution (…) (Rimka) n’a pas fait dans la dentelle. En 4 années d’existence, 2004 à 2008, les pays du Golfe ont financé pour 432 milliards de F Cfa (650 millions d’euros) de travaux. La famille du président en a profité pour se sucrer, pour s’enrichir au détriment du trésor public (Sunugaal) qui devra rembourser l’argent obtenu à cette occasion car il s’agit des prêts et non des dons (…)». Selon Afrique Education, «devenu multimilliardaire en très peu de temps, le fils du président (sunugaalien) n’a plus qu’une seule ambition : succéder à papa à la tête du pays, ce qui n’est pas du goût des (Sunugaaliens) qui le lui ont montré quand il a voulu devenir le maire de (Ndakaaru). Malgré les billets de banque qu’il distribuait aux électeurs, il a été battu à plate couture, y compris dans son propre bureau de vote. Son projet de remplacer son père n’a aucune chance d’aboutir».
La rédaction