« Aujourd’hui, c’était pour nous l’occasion de remettre les clés d’une école maternelle qu’on avait démoli pour la reconstruire. Il y a aussi les clés de l’école Darou Rahmane. On a pu construire une école de 12 classes mais nous avons un problème d’enseignants. Les élèves sont encore à la maison », a révélé Racine Talla, devant la presse.
Le maire de Wakhinane Nimzat pose le problème de la territorialisation des politiques publiques. « Avec la politique du ministère de l’Education en matière d’affectation, nous n’avons pas pu obtenir les enseignants pour animer ces classes-là. Sur 12 classes, il y a que deux classes qui fonctionnent. C’est un sérieux problème qui doit être posé sur la table, dans la discussion des territorialisations des politiques publiques », a-t-il dit.
« En santé, les collectivités territoriales peuvent recruter pour les centres de santé, pour les postes de santé et même, pour les hôpitaux. Mais, on ne peut pas faire cela pour les écoles, parce que c’est encadré. N’importe qui ne peut pas être enseignant.
Mais, nous nous disons que l’État délivre des autorisations d’enseigner à des Sénégalais qui répondent aux critères, pour qu’ils aillent enseigner dans les écoles privées, reconnues et autorisées. Ce même schéma peut être mis en œuvre pour que les collectivités territoriales puissent participer aux efforts de l’école, en appuyant sur le recrutement des enseignants », a-t-il plaidé.
Tribune
Le maire de Wakhinane Nimzat pose le problème de la territorialisation des politiques publiques. « Avec la politique du ministère de l’Education en matière d’affectation, nous n’avons pas pu obtenir les enseignants pour animer ces classes-là. Sur 12 classes, il y a que deux classes qui fonctionnent. C’est un sérieux problème qui doit être posé sur la table, dans la discussion des territorialisations des politiques publiques », a-t-il dit.
« En santé, les collectivités territoriales peuvent recruter pour les centres de santé, pour les postes de santé et même, pour les hôpitaux. Mais, on ne peut pas faire cela pour les écoles, parce que c’est encadré. N’importe qui ne peut pas être enseignant.
Mais, nous nous disons que l’État délivre des autorisations d’enseigner à des Sénégalais qui répondent aux critères, pour qu’ils aillent enseigner dans les écoles privées, reconnues et autorisées. Ce même schéma peut être mis en œuvre pour que les collectivités territoriales puissent participer aux efforts de l’école, en appuyant sur le recrutement des enseignants », a-t-il plaidé.
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