Le respect des règles édictées par la religion musulmane, reste-t-elle, une contrainte pour une partie de la jeune génération. Il a été constaté qu’en plein mois de dévotion et de dévouement, une certaine frange de cette jeunesse musulmane trouve le moyen de croiser leur bien-aimé(e). Et, ce constat démontre qu’en ce mois saint, tous les actes ne sont pas aussi saints que le voudraient les religieux. A pareil moment, des rappels à l’orthodoxie sont trop bien présents au niveau des télés, des radios et autres chaînes. Des programmes spéciaux sont déroulés pour s’adapter aux exigences de ce mois béni.
Malgré tout, certains garçons et jeunes filles, continuent de constituer toujours une plaie pour cette société sénégalaise ou le « jom » et le « kersa » constitués les mots d’ordres de bonne conduite. Cette nouvelle tendance ou retrouvailles entre amoureux a été découverte récemment. En fins stratèges, ces amoureux ont changé les heures de rencontre. Et, ils ont choisi les nuits pour passer du bon temps avec l’élu(e) de son cœur. « Rien de plus romantique que de se retrouver tard la nuit à l’aurore pour prendre ensemble le « kheud », premier repas de ramadan », savoure-t-on. .
« Kheud » en amoureux, un petit plaisir
Le « kheud », pris aux environs de 5h à 6h du matin, est le moment de clôture de ces instants volés aux exigences du mois de Ramadan. Faute de pouvoir se voir la journée, la nuit porte chance à ces personnes. Vivant habituellement, seules dans un « appart » , elles invitent leur bande d’amis tard la nuit à l’aurore, pour une partie de plaisir.
A ces heures, tous les chats sont gris, filless et garçons s’entassent dans un petit espace avec tous les moyens nécessaires pour passer du bon temps. Rien ne manque, une bouffe copieuse, les boissons sucrées et l’alcool ornent le décor des tables et coins de l’appart. Entre 1 heure et 5 heures du matin, ils mangent, boivent, fument avant de s’adonner à des pratiques, pas du tout, catholiques. C’est une véritable course à la montre, puisque le « kheud » arrive très vite. Et, il faut en ces courts instants, faire la fête comme si on avait toute la nuit. « Ce sont nos copines qui nous invitent aux heures creuses de la nuit jusqu'au Kheud. Comme, elles ne peuvent pas le faire la journée ou le soir, pour plus de discrétion en ce mois béni, elles organisent des rencontres tard la nuit jusqu'à l’aube. En nous faisant découvrir leur talents culinaires, en même temps, on a la possibilité d’explorer leur corps si parfaits », affirme Mbaye, un fidèle à ses festins.
L’astuce des femmes trompent souvent la vigilance des voisins. Personne ne pourrait imaginer en ce sens la fertilité de l'imagination des filles. « Mon petit ami vient souvent sur invitation au Kheud, passer du bon temps avec moi avant l’heure du « Salatou ». C’est des moments palpitants. Et, une fois habitués à ce petit plaisir, il est difficile de s’en départir », explique Ndèye, une demoiselle, très « galbée ». Elle ne regrette point d’avoir essayé tant de fois, à trouver la bonne compagnie à pareille moment du mois de ramadan.
Si certains le font en groupe, d’autres préfèrent une tête-à-tête entre deux amoureux, pour savourer la fuite du temps. A l’amour comme à la guerre, disent-ils, tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins.
Abstinence la journée, rupture du jeûne la moitié d’une soirée et escapade intime jusqu'à l’aurore. Euskay… Dieu, omniprésent qui peut réagir à chaud, disent certains religieux, garde toujours sa patience. Il laisse souvent, ses créatures tendre vers une destination inconnue. Et, il est certain que les jeunes doivent éviter les petits plaisirs durant le mois de ramadan. Ils ont intérêt à faire taire cette fertilité d’esprit, poussant à chercher à jouir dans l’illégalité, loin de tout regard indiscret des hommes.
O WADE Leral
Malgré tout, certains garçons et jeunes filles, continuent de constituer toujours une plaie pour cette société sénégalaise ou le « jom » et le « kersa » constitués les mots d’ordres de bonne conduite. Cette nouvelle tendance ou retrouvailles entre amoureux a été découverte récemment. En fins stratèges, ces amoureux ont changé les heures de rencontre. Et, ils ont choisi les nuits pour passer du bon temps avec l’élu(e) de son cœur. « Rien de plus romantique que de se retrouver tard la nuit à l’aurore pour prendre ensemble le « kheud », premier repas de ramadan », savoure-t-on. .
« Kheud » en amoureux, un petit plaisir
Le « kheud », pris aux environs de 5h à 6h du matin, est le moment de clôture de ces instants volés aux exigences du mois de Ramadan. Faute de pouvoir se voir la journée, la nuit porte chance à ces personnes. Vivant habituellement, seules dans un « appart » , elles invitent leur bande d’amis tard la nuit à l’aurore, pour une partie de plaisir.
A ces heures, tous les chats sont gris, filless et garçons s’entassent dans un petit espace avec tous les moyens nécessaires pour passer du bon temps. Rien ne manque, une bouffe copieuse, les boissons sucrées et l’alcool ornent le décor des tables et coins de l’appart. Entre 1 heure et 5 heures du matin, ils mangent, boivent, fument avant de s’adonner à des pratiques, pas du tout, catholiques. C’est une véritable course à la montre, puisque le « kheud » arrive très vite. Et, il faut en ces courts instants, faire la fête comme si on avait toute la nuit. « Ce sont nos copines qui nous invitent aux heures creuses de la nuit jusqu'au Kheud. Comme, elles ne peuvent pas le faire la journée ou le soir, pour plus de discrétion en ce mois béni, elles organisent des rencontres tard la nuit jusqu'à l’aube. En nous faisant découvrir leur talents culinaires, en même temps, on a la possibilité d’explorer leur corps si parfaits », affirme Mbaye, un fidèle à ses festins.
L’astuce des femmes trompent souvent la vigilance des voisins. Personne ne pourrait imaginer en ce sens la fertilité de l'imagination des filles. « Mon petit ami vient souvent sur invitation au Kheud, passer du bon temps avec moi avant l’heure du « Salatou ». C’est des moments palpitants. Et, une fois habitués à ce petit plaisir, il est difficile de s’en départir », explique Ndèye, une demoiselle, très « galbée ». Elle ne regrette point d’avoir essayé tant de fois, à trouver la bonne compagnie à pareille moment du mois de ramadan.
Si certains le font en groupe, d’autres préfèrent une tête-à-tête entre deux amoureux, pour savourer la fuite du temps. A l’amour comme à la guerre, disent-ils, tous les moyens sont bons pour arriver à ses fins.
Abstinence la journée, rupture du jeûne la moitié d’une soirée et escapade intime jusqu'à l’aurore. Euskay… Dieu, omniprésent qui peut réagir à chaud, disent certains religieux, garde toujours sa patience. Il laisse souvent, ses créatures tendre vers une destination inconnue. Et, il est certain que les jeunes doivent éviter les petits plaisirs durant le mois de ramadan. Ils ont intérêt à faire taire cette fertilité d’esprit, poussant à chercher à jouir dans l’illégalité, loin de tout regard indiscret des hommes.
O WADE Leral