Depuis hier, des jeunes Sénégalais, ayant pris les embarcations de fortune, atterrissent à l’Aéroport international, Blaise Diagne de Diass. Il s’agit cette fois, d’un rapatriement intelligent, contrairement au régime d’Abdoulaye Wade, qui les avait transportés par des vols spéciaux et débarqués à Saint-Louis dans un Camp militaire. Cette fois-ci, le régime de Macky Sall, préoccupé par un second mandat, semble-t-il, a appris des erreurs du passé des libéraux. Les rapatriements s'effectue dans la pus grande discrétion.
Ainsi, il organise les retours cette fois-ci, par des groupes de 10 personnes. Présentement, la source de Leral, informe que des jeunes, en provenance de l’archipel espagnol des Iles Canaris ont foulé le sol de l’Aibd. Et même certains d’entre eux, sont en train de joindre leurs parents pour leur annoncer la « mauvaise nouvelle ». Et certains des parents contactés, cherchent présentement à leur trouver des moyens de transport pour rentrer.
Tandis que d’autres sur l’Ile, qui ne sont pas encore dans les avions, restent injoignables depuis quelques heures. Alors que depuis leur arrivée sur l’Ile, ils avaient la possibilité de communiquer avec les parents, établis au Sénégal. Soudainement, depuis que l’Etat a commencé ce rapatriement intelligent, les parents peinent à avoir des nouvelles de leurs fils.
Avec l’arrivée des premières vagues, certains parents de clandestins guettent le retour de leurs fils avec un cœur meurtri. Puisqu’il y a des parents qui, disent-ils, avaient fait des sacrifices, en vendant des biens afin de payer le ticket du voyage. Le rapatriement serait pour ces derniers, un investissement à perte…un espoir perdu.
Seulement, ceux qui font l’objet de rapatriement aujourd’hui, avaient regagné l’Ile, il y a de cela, un mois. Ils avaient embarqué à bord d’une pirogue, transportant 147 personnes. Cette même embarcation, prenant son départ vers Kayar, avait été suivie par une autre, avec presque le même effectif. Bien avant ces deux embarcations, Leral à travers sa source, a découvert que d’autres pirogues avaient antérieurement, pris le départ au niveau de cette localité des pêcheurs « Lébou ».
A retenir que récemment, une des pirogues, ayant pris le départ à Fass Boye, vers Mboro, fait partie de ce lot d’embarcations, organisées par des jeunes pêcheurs, en situation de détresse. Heureusement, ces derniers, à court d’eau ont été secourus, lorsqu’ils naviguaient au gré des vagues pendant plus de 48 heures sur les eaux mauritaniennes. L’embarcation avait à son bord 7 filles et un nombre non précisé d’enfants mineurs. Ils tentaient de gagner illégalement l’archipel espagnol des Iles Canaries.
De même, des interpellations de convoyeurs avaient été faites par la Gendarmerie de Kayar. Certains parmi eux, croupissent présentement, à la prison de Thiès.
Début juin dernier, 53 autres migrants illégaux, quasi entièrement des Sénégalais, avaient été arrêtés par la gendarmerie mauritanienne au large de Nouadhibou alors qu’ils se dirigeaient vers les Iles Canaries.
Trois semaines plus tard, un autre groupe de 9 Sénégalais et un Béninois avaient également été appréhendés à Nouadhibou par ces mêmes gendarmes mauritaniens pour les mêmes motifs.
Cette situation de reprise des embarcations de fortune semble symboliser une volonté manifeste d’aller à l’aventure des jeunes Sénégalais, désespérés. Les autorités étatiques devraient davantage améliorer la situation de l’emploi pour mieux motiver les jeunes à rester au pays. Sinon…
O WADE Leral
Ainsi, il organise les retours cette fois-ci, par des groupes de 10 personnes. Présentement, la source de Leral, informe que des jeunes, en provenance de l’archipel espagnol des Iles Canaris ont foulé le sol de l’Aibd. Et même certains d’entre eux, sont en train de joindre leurs parents pour leur annoncer la « mauvaise nouvelle ». Et certains des parents contactés, cherchent présentement à leur trouver des moyens de transport pour rentrer.
Tandis que d’autres sur l’Ile, qui ne sont pas encore dans les avions, restent injoignables depuis quelques heures. Alors que depuis leur arrivée sur l’Ile, ils avaient la possibilité de communiquer avec les parents, établis au Sénégal. Soudainement, depuis que l’Etat a commencé ce rapatriement intelligent, les parents peinent à avoir des nouvelles de leurs fils.
Avec l’arrivée des premières vagues, certains parents de clandestins guettent le retour de leurs fils avec un cœur meurtri. Puisqu’il y a des parents qui, disent-ils, avaient fait des sacrifices, en vendant des biens afin de payer le ticket du voyage. Le rapatriement serait pour ces derniers, un investissement à perte…un espoir perdu.
Seulement, ceux qui font l’objet de rapatriement aujourd’hui, avaient regagné l’Ile, il y a de cela, un mois. Ils avaient embarqué à bord d’une pirogue, transportant 147 personnes. Cette même embarcation, prenant son départ vers Kayar, avait été suivie par une autre, avec presque le même effectif. Bien avant ces deux embarcations, Leral à travers sa source, a découvert que d’autres pirogues avaient antérieurement, pris le départ au niveau de cette localité des pêcheurs « Lébou ».
A retenir que récemment, une des pirogues, ayant pris le départ à Fass Boye, vers Mboro, fait partie de ce lot d’embarcations, organisées par des jeunes pêcheurs, en situation de détresse. Heureusement, ces derniers, à court d’eau ont été secourus, lorsqu’ils naviguaient au gré des vagues pendant plus de 48 heures sur les eaux mauritaniennes. L’embarcation avait à son bord 7 filles et un nombre non précisé d’enfants mineurs. Ils tentaient de gagner illégalement l’archipel espagnol des Iles Canaries.
De même, des interpellations de convoyeurs avaient été faites par la Gendarmerie de Kayar. Certains parmi eux, croupissent présentement, à la prison de Thiès.
Début juin dernier, 53 autres migrants illégaux, quasi entièrement des Sénégalais, avaient été arrêtés par la gendarmerie mauritanienne au large de Nouadhibou alors qu’ils se dirigeaient vers les Iles Canaries.
Trois semaines plus tard, un autre groupe de 9 Sénégalais et un Béninois avaient également été appréhendés à Nouadhibou par ces mêmes gendarmes mauritaniens pour les mêmes motifs.
Cette situation de reprise des embarcations de fortune semble symboliser une volonté manifeste d’aller à l’aventure des jeunes Sénégalais, désespérés. Les autorités étatiques devraient davantage améliorer la situation de l’emploi pour mieux motiver les jeunes à rester au pays. Sinon…
O WADE Leral