Dans une critique adressée à l'opposition, Ayib Daffé a estimé qu'« ils ne sont pas prêts à affronter les élections et cherchent à les éviter ». Il a également rappelé les « nombreuses tentatives » de l’ancien régime, visant à empêcher la candidature d’Ousmane Sonko, efforts ayant conduit à l'élection de Bassirou Diomaye Faye lors de la dernière présidentielle.
Concernant la coalition Takku-Wallu, Ayib Daffé l'a qualifiée de « contre-nature », évoquant le regroupement du président sortant Macky Sall et de Karim Wade. Il a souligné leur attitude paradoxale, les accusant d'avoir « taxé de corruption » les juges du Conseil constitutionnel, avant de se tourner vers ces mêmes juges, pour statuer sur leur recours.
Ayib Daffé a, par ailleurs, expliqué son retard à la conférence de presse, par sa présence au Conseil constitutionnel, pour répondre à un autre recours émanant de la coalition « MackyKarim », qui reproche à Pastef de ne pas avoir respecté la parité sur sa liste des suppléants. Contestant ces accusations, il a affirmé que « la 25e place est occupée par Ahmadou Bamba Fall, suivi à la 26e place par Khady Guèye, puis à la 27e place par Alioune Badara Badji ». Il a ainsi conclu que cette opposition est « effrayée et désemparée ».
Concernant les investitures au sein de Pastef, Ayib Daffé a souligné que 1 500 personnes avaient manifesté leur volonté de participer aux Législatives, précisant que toutes ne pouvaient être retenues. Il a appelé les militants à se rassembler autour de la liste du parti, pour assurer une majorité confortable à l’Assemblée nationale en faveur du Président Bassirou Diomaye Faye, afin de garantir la mise en œuvre du Projet.
Ce Projet sera présenté le 14 octobre prochain, par le chef de l’État du Sénégal, dans le but de dévoiler la vision du régime pour l’horizon 2025. Il servira de cadre de référence pour les candidats de Pastef, durant la campagne électorale.
Avec Le Quotidien
Concernant la coalition Takku-Wallu, Ayib Daffé l'a qualifiée de « contre-nature », évoquant le regroupement du président sortant Macky Sall et de Karim Wade. Il a souligné leur attitude paradoxale, les accusant d'avoir « taxé de corruption » les juges du Conseil constitutionnel, avant de se tourner vers ces mêmes juges, pour statuer sur leur recours.
Ayib Daffé a, par ailleurs, expliqué son retard à la conférence de presse, par sa présence au Conseil constitutionnel, pour répondre à un autre recours émanant de la coalition « MackyKarim », qui reproche à Pastef de ne pas avoir respecté la parité sur sa liste des suppléants. Contestant ces accusations, il a affirmé que « la 25e place est occupée par Ahmadou Bamba Fall, suivi à la 26e place par Khady Guèye, puis à la 27e place par Alioune Badara Badji ». Il a ainsi conclu que cette opposition est « effrayée et désemparée ».
Concernant les investitures au sein de Pastef, Ayib Daffé a souligné que 1 500 personnes avaient manifesté leur volonté de participer aux Législatives, précisant que toutes ne pouvaient être retenues. Il a appelé les militants à se rassembler autour de la liste du parti, pour assurer une majorité confortable à l’Assemblée nationale en faveur du Président Bassirou Diomaye Faye, afin de garantir la mise en œuvre du Projet.
Ce Projet sera présenté le 14 octobre prochain, par le chef de l’État du Sénégal, dans le but de dévoiler la vision du régime pour l’horizon 2025. Il servira de cadre de référence pour les candidats de Pastef, durant la campagne électorale.
Avec Le Quotidien