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Regrets de jeunes socialistes : « Macky ne nous a pas donné des Ministères, il nous a juste donné des Ministres».


Rédigé par leral.net le Mardi 9 Octobre 2012 à 13:54 | | 6 commentaire(s)|

Regrets de jeunes socialistes : «  Macky ne nous a pas donné des Ministères,  il nous a  juste donné des Ministres».
Après l’exclusion du leader en chef de Convergence Socialiste, Malick Noël Seck, le feu est loin d’être éteint dans la maison socialiste. Selon des infos bien au fait de « Keur Senghor », un groupe de jeunes du Parti Socialiste sont entrain de faire des pieds et des mains pour rompre d’avec, ce qu’ils appellent, la passivité des leaders de la coalition Benno Book Yaakar. Ils sont d’avis que le Présidents Macky ne leur sert que de simples rogatons : « Le Président Macky ne nous a pas donné des Ministères, il nous a juste donné des Ministres. Dans les quelques postes ministériels qu’ils nous donnent, à part le Ministre, nous ne contrôlons prés qu’aucune direction s’y rattachant. Il faut qu’il change dans la manière d’attribuer les postes à ses souteneurs sinon, nous allons quitter la coalition », menacent-ils.



Ibrahima Ngom

( Les News )


1.Posté par Alerte le 09/10/2012 15:35 | Alerter
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"un groupe de jeunes du Parti Socialiste sont entrain de faire..." Tchim ! On dit "un groupe de jeunes du Parti Socialiste est entrain de faire..." EST au lieu de SONT. Mr le kamikaze.

2.Posté par BOUNKATAB le 09/10/2012 17:27 | Alerter
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ARTICLE BIDON ET BETE.

3.Posté par boyelh le 09/10/2012 18:23 (depuis mobile) | Alerter
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aléluha. je n sé kel mouch vs piqué mè le jour où vs arivé a brisè cet entente, c parvenir votr mort politiq. De grace ne cherché pa la petite béte lâ où ell nè pas

4.Posté par Citoyen le 09/10/2012 18:46 | Alerter
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Sauvons nos universités publiques du naufrage.

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l'enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l'UNESCO. Nos instituions d'enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu'à présent, feignent de ne rien savoir (n'ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s'évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d'existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l'inaction de l’État.

En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c'est le début du CHAOS.

A l’État de faire l'état de la gestion de ceux qu'il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d'étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d'enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.

Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je propose des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d'être juge et parti.


Il n'est jamais trop tard pour bien faire un devoir citoyen.

5.Posté par boyelh le 09/10/2012 18:53 (depuis mobile) | Alerter
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nous kaolakois, ns vivon la mêm situation. c dificil mai partageon la vision du prési macky: la patri avan l parti. Pr l intèrè du pays, laisson au prési la latitud d partager lè responsabilité et non dè poste

6.Posté par PAPIPIS le 09/10/2012 22:00 | Alerter
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Bande d hypocrites vous savez mieux que quiconque que cette coaliltion de yam beg beg disparaitra un de ces jours

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