Le leader de la RDS, par ailleurs porte-parole de la Cap 21 est formel. Le M23 est une vraie nébuleuse derrière laquelle des lobbies homosexuels étrangers ultra puissants tirent des ficelles pour faire tomber le régime du président Wade. Si Mame Mactar Guèye refuse de mettre tous les œufs dans le même panier, reconnaissant qu’au sein de ce mouvement il y a des hommes de valeur, il se veut néanmoins sans équivoque : « le M23 est infiltré par des lobbies homosexuels étrangers puissants qui veulent faire tomber le président Wade ». Et le patron du RDS de poursuivre, « c’est loin d’être des accusations gratuites. Nous avons la preuve de ce que nous avançons et nous allons d’ailleurs faire le tour des différents foyers religieux, y compris l’Eglise, pour fournir ces éléments de preuve ». Cela motive en partie, la décision des leaders de la Cap 21 de traquer, désormais, les membres du M 23 qui ont décidé de se rendre auprès des chefs religieux dans une campagne d’intoxication contre la candidature du chef de l’Etat. Et Mame Mactar Guèye sait de quoi il parle.
Lui qui est le vice-président de l’ONG Jamra au sein duquel il a toujours lutté avec son défunt frère Abdou Latif Guèye, pour le respect des valeurs islamiques au Sénégal, depuis 25 ans. Et il n’y va pas par quatre chemins pour dénoncer le comportement curieux d’un Alioune Tine, aujourd’hui à la tête du M23 , qui avait pris fait et cause pour l’homosexuel Pape Mbaye dont, on se le rappelle, il s’était occupé des modalités de son exil aux USA. Justement, selon Mame Mactar Guèye, ces lobbies étrangers homosexuels passent par certaines ONG qu’ils financent pour infiltrer les mouvements politiques, contre le régime en place. En effet, rappelle Mame Mactar Guèye, « il y a un projet de convention portant dépénalisation universelle de l’homosexualité qui est toujours en étude à l’organisation onusienne et qui tarde à être validé, faute de signatures suffisantes». Et le vice-président de l’ONG Jamra de préciser que « seuls 66 pays sur les 192 que compte l’ONU ont paraphé ce document, ce qui est encore loin du quorum ».
Toutefois, précise-t-il, « 5 pays africains que sont la Guinée-Bissau, le Cap-Vert, le Gabon, le Centrafrique et l’Ile-Maurice, ont déjà signé le document. Maintenant la bataille de ces lobbies, à travers des intermédiaires véreux à qui il est proposé beaucoup d’argent, est d’amener le président sénégalais, pour tout ce qu’il représente comme modèle et symbole en Afrique, à signer ce projet pour créer ainsi un effet d’entraînement chez ses pairs, comme quand ils l’avaient suivi lorsqu’il avait rejeté le fameux projet des APE ». Chiffres à l’appui, le porte-parole de la Cap 21, révèle que pas moins d’un milliard et demi de nos francs sont proposés à ces ONG si elles arrivent à faire signer cette fameuse convention au président sénégalais. Et de se réjouir que jusque-là, « Me Wade a catégoriquement refusé d’accéder à la demande de ces groupes de pervers ». Toutefois, poursuit-il, « ces mêmes personnes ont juré de lui faire payer ce refus, et la plupart de ces lobbies ont aujourd’hui infiltré le M23 pour faire tomber Wade », avant de marteler : « nous en avons les preuves ». Dans tous les cas, le patron de la Raddho, Alioune Tine, qui a été d’ailleurs désavoué par une bonne partie de la société civile sénégalaise, a pris à bras le corps le combat du M23 qu’il dirige. Mais, prévient Mame Mactar, « ces personnes sans scrupules, nous trouverons sur leur chemin. Car ce pays où reposent Serigne Ahmadou Bamba, Limamoulaye, ou encore El Hadji Malick Sy, ne sera jamais une terre de libertinage et de débauche, à la solde d’organisations lugubres, perverses et immorales ».
Bassirou Seck
le messager
Lui qui est le vice-président de l’ONG Jamra au sein duquel il a toujours lutté avec son défunt frère Abdou Latif Guèye, pour le respect des valeurs islamiques au Sénégal, depuis 25 ans. Et il n’y va pas par quatre chemins pour dénoncer le comportement curieux d’un Alioune Tine, aujourd’hui à la tête du M23 , qui avait pris fait et cause pour l’homosexuel Pape Mbaye dont, on se le rappelle, il s’était occupé des modalités de son exil aux USA. Justement, selon Mame Mactar Guèye, ces lobbies étrangers homosexuels passent par certaines ONG qu’ils financent pour infiltrer les mouvements politiques, contre le régime en place. En effet, rappelle Mame Mactar Guèye, « il y a un projet de convention portant dépénalisation universelle de l’homosexualité qui est toujours en étude à l’organisation onusienne et qui tarde à être validé, faute de signatures suffisantes». Et le vice-président de l’ONG Jamra de préciser que « seuls 66 pays sur les 192 que compte l’ONU ont paraphé ce document, ce qui est encore loin du quorum ».
Toutefois, précise-t-il, « 5 pays africains que sont la Guinée-Bissau, le Cap-Vert, le Gabon, le Centrafrique et l’Ile-Maurice, ont déjà signé le document. Maintenant la bataille de ces lobbies, à travers des intermédiaires véreux à qui il est proposé beaucoup d’argent, est d’amener le président sénégalais, pour tout ce qu’il représente comme modèle et symbole en Afrique, à signer ce projet pour créer ainsi un effet d’entraînement chez ses pairs, comme quand ils l’avaient suivi lorsqu’il avait rejeté le fameux projet des APE ». Chiffres à l’appui, le porte-parole de la Cap 21, révèle que pas moins d’un milliard et demi de nos francs sont proposés à ces ONG si elles arrivent à faire signer cette fameuse convention au président sénégalais. Et de se réjouir que jusque-là, « Me Wade a catégoriquement refusé d’accéder à la demande de ces groupes de pervers ». Toutefois, poursuit-il, « ces mêmes personnes ont juré de lui faire payer ce refus, et la plupart de ces lobbies ont aujourd’hui infiltré le M23 pour faire tomber Wade », avant de marteler : « nous en avons les preuves ». Dans tous les cas, le patron de la Raddho, Alioune Tine, qui a été d’ailleurs désavoué par une bonne partie de la société civile sénégalaise, a pris à bras le corps le combat du M23 qu’il dirige. Mais, prévient Mame Mactar, « ces personnes sans scrupules, nous trouverons sur leur chemin. Car ce pays où reposent Serigne Ahmadou Bamba, Limamoulaye, ou encore El Hadji Malick Sy, ne sera jamais une terre de libertinage et de débauche, à la solde d’organisations lugubres, perverses et immorales ».
Bassirou Seck
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