Mais diable, qu’est ce qui s’est passé ?
Pour répondre à cette question, il faudra remonter aux premières heures de l’alternance. D’abord, sur la façon dont Pape Diop a poussé Idrissa Seck vers des choix suicidaires. Idrissa Seck, était un libéral de lait. Convaincu des idéaux du Président Wade qui, rapidement, a été détourné par Pape Diop de l’axe présidentiel pour des connexions financières. Un raccourci qui va couter cher au Maire de Thiès. Idrissa Seck s’est vite emballé et comme l’appétit vient en mangeant, il a révélé sans le vouloir, son agenda politique caché. Maintenant qu’il est revenu à de meilleurs sentiments, l’espoir pourrait renaitre de voir Me Wade retrouver autour de lui ses véritables « fils ». Et loin s’en faut, Idrissa Seck croit encore et toujours au Président Wade. Après le Maire de Thiès, c’est autour de Macky Sall de subir les mêmes travers politiques. L’histoire d’une audition pour humilier Karim Wade, dont le leader de l’Apr était loin l’initiateur a porté ses fruits. Très proche à l’époque, de la famille Wade, Pape Diop a joué dans la consciente du leader de la GC, amenant ce dernier dans ses derniers retranchements. Triste destin d’un Macky Sall dont le seul tort a été de porter le choix d’un homme (Wade) pour se hisser à la troisième place sur l’ordre protocolaire. Et, la machine s’est vite emballée et le Président Wade, saupoudré aux yeux, s’est fait encore avoir. Il est clair maintenant qu’aucune équivoque ne peut être entretenue sur « l’agenda caché » du Président du Sénat. Et pire, aux dernières locales, les responsables de Dakar ont subi le Plan B de Pape Diop mis en œuvre depuis les locales de 2002 en laminant tous les responsables de Dakar. Au regard de la configuration actuelle de la direction libérale du Pds dans la capitale, il semble régner en maître absolu car ayant orchestré un vide. Nul besoin de revenir sur le diagnostic qui nous a fait perdre Dakar.. Et c’est le lieu de comprendre la bataille de Modibo Diop de l’Aser qui a senti le danger. Conviction qu’il partagerait naturellement avec un responsable libéral de lait comme Lamine Bâ, qui a vécu toutes les formes d’humiliation, de brimades mais étonnement, comme un « vampire », vit encore. Et dans cette perspective, pour la reconquête de la capitale, un jeune cadre comme Habib Mbaye compléterait un trio crédible pour faire face à l’opposition qui gère la capitale.
Wade dans le collimateur de Pape Diop
Un constat suffirait à comprendre le danger imminent que coure la République. Loin de tout extrémisme, il urge d’analyser les actes posés par Pape Diop depuis un certain temps. Et trois exemples serviraient de laboratoire d’analyses.
- Depuis les attaques répétées de l’opposition contre Me Wade, sa gestion et sa famille à la tête de l’Etat, le Président du Sénat n’a jamais bronché.
- Lorsque les camarades de Dansokho, sans trembler, dans un délire toujours permanent, l’ont interpellé sur une probable saisine pour « constater l’incapacité du Président Wade à diriger ce pays », il n’a pas réagi.
- Et quant Pape Diop s’est senti menacé par la montée en puissances de certains responsables de Dakar, il a orchestré des structures libérales de Dakar pour menacer et faire du chantage sur l’Etat.
Un paquet d’exemples qui démontre à suffisance que Pape Diop n’est pas dans le collimateur de Wade, mis c’est plutôt, le Président Wade qui est dans le collimateur de Pape Diop. Prière, DIEU nous épargner de ce vent chaud et sec de la Tunisie appelée « BOURGUIBA » Alors, si Me Wade ne prend pas illico-presto ses responsabilités, c’est l’Etat qui risque d’atterrir entre des mains qui imploseraient notre patrimoine politique, le Parti Démocratique Sénégalais. Et, au nom de l’amour que nous portons pour ce parti, le PDS, dont nous avons offert notre JEUNESSE, nous disons non à toute forme de trahison et de prise du pouvoir outre des moyens politiques. Nous n’accepterons jamais d’être sacrifiés par des gens qui, s’il nous arrivait de perdre le pouvoir, vivraient encore, loin de la déchéance, pour cinquante ans encore. Et, au nom de la devise du Pds Dignité –justice –fraternité, je n’ai pas les moyens financiers en tant qu’adversaires face aux détracteurs de notre leader Me Abdoulaye Wade, je prends ma plume. Une plume libre. Libérale.
Pape Amadou Gaye journaliste
Pour répondre à cette question, il faudra remonter aux premières heures de l’alternance. D’abord, sur la façon dont Pape Diop a poussé Idrissa Seck vers des choix suicidaires. Idrissa Seck, était un libéral de lait. Convaincu des idéaux du Président Wade qui, rapidement, a été détourné par Pape Diop de l’axe présidentiel pour des connexions financières. Un raccourci qui va couter cher au Maire de Thiès. Idrissa Seck s’est vite emballé et comme l’appétit vient en mangeant, il a révélé sans le vouloir, son agenda politique caché. Maintenant qu’il est revenu à de meilleurs sentiments, l’espoir pourrait renaitre de voir Me Wade retrouver autour de lui ses véritables « fils ». Et loin s’en faut, Idrissa Seck croit encore et toujours au Président Wade. Après le Maire de Thiès, c’est autour de Macky Sall de subir les mêmes travers politiques. L’histoire d’une audition pour humilier Karim Wade, dont le leader de l’Apr était loin l’initiateur a porté ses fruits. Très proche à l’époque, de la famille Wade, Pape Diop a joué dans la consciente du leader de la GC, amenant ce dernier dans ses derniers retranchements. Triste destin d’un Macky Sall dont le seul tort a été de porter le choix d’un homme (Wade) pour se hisser à la troisième place sur l’ordre protocolaire. Et, la machine s’est vite emballée et le Président Wade, saupoudré aux yeux, s’est fait encore avoir. Il est clair maintenant qu’aucune équivoque ne peut être entretenue sur « l’agenda caché » du Président du Sénat. Et pire, aux dernières locales, les responsables de Dakar ont subi le Plan B de Pape Diop mis en œuvre depuis les locales de 2002 en laminant tous les responsables de Dakar. Au regard de la configuration actuelle de la direction libérale du Pds dans la capitale, il semble régner en maître absolu car ayant orchestré un vide. Nul besoin de revenir sur le diagnostic qui nous a fait perdre Dakar.. Et c’est le lieu de comprendre la bataille de Modibo Diop de l’Aser qui a senti le danger. Conviction qu’il partagerait naturellement avec un responsable libéral de lait comme Lamine Bâ, qui a vécu toutes les formes d’humiliation, de brimades mais étonnement, comme un « vampire », vit encore. Et dans cette perspective, pour la reconquête de la capitale, un jeune cadre comme Habib Mbaye compléterait un trio crédible pour faire face à l’opposition qui gère la capitale.
Wade dans le collimateur de Pape Diop
Un constat suffirait à comprendre le danger imminent que coure la République. Loin de tout extrémisme, il urge d’analyser les actes posés par Pape Diop depuis un certain temps. Et trois exemples serviraient de laboratoire d’analyses.
- Depuis les attaques répétées de l’opposition contre Me Wade, sa gestion et sa famille à la tête de l’Etat, le Président du Sénat n’a jamais bronché.
- Lorsque les camarades de Dansokho, sans trembler, dans un délire toujours permanent, l’ont interpellé sur une probable saisine pour « constater l’incapacité du Président Wade à diriger ce pays », il n’a pas réagi.
- Et quant Pape Diop s’est senti menacé par la montée en puissances de certains responsables de Dakar, il a orchestré des structures libérales de Dakar pour menacer et faire du chantage sur l’Etat.
Un paquet d’exemples qui démontre à suffisance que Pape Diop n’est pas dans le collimateur de Wade, mis c’est plutôt, le Président Wade qui est dans le collimateur de Pape Diop. Prière, DIEU nous épargner de ce vent chaud et sec de la Tunisie appelée « BOURGUIBA » Alors, si Me Wade ne prend pas illico-presto ses responsabilités, c’est l’Etat qui risque d’atterrir entre des mains qui imploseraient notre patrimoine politique, le Parti Démocratique Sénégalais. Et, au nom de l’amour que nous portons pour ce parti, le PDS, dont nous avons offert notre JEUNESSE, nous disons non à toute forme de trahison et de prise du pouvoir outre des moyens politiques. Nous n’accepterons jamais d’être sacrifiés par des gens qui, s’il nous arrivait de perdre le pouvoir, vivraient encore, loin de la déchéance, pour cinquante ans encore. Et, au nom de la devise du Pds Dignité –justice –fraternité, je n’ai pas les moyens financiers en tant qu’adversaires face aux détracteurs de notre leader Me Abdoulaye Wade, je prends ma plume. Une plume libre. Libérale.
Pape Amadou Gaye journaliste
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