Il faut noter qu'au moment où tout le peuple sénégalais s'attend à un message du chef de l'Etat suite aux événements des 23 et 27 juin derniers, les libéraux déroulent leur programme dans le but d’engranger des voix en faveur de leur mentor qu'ils acclament.
C'EST LA FIN DE L'ÉVENEMENT ET DE CE LIVE. En résumé, Wade est prêt à une élection présidentielle anticipée. Il a dit qu'il se présentera à la prochaine présidentielle.
23H 10 : Aliou Dia fait les prières, Wade tend les bras vers le ciel comme de coutume.
23H 09 : Wade demande à Aliou de faire des prières
23H 08 : Wade est en train de finir son discours
23H 06 : "Au plan international, notre côte de confiance a un peu baissé, mais on doit se resaisir"
23H 04 : "Mais si le pays n'est pas stable, personne ne nous prêtera plus de l'argent"
23H 03 : "Nous avions mobilisé 2 milliards de dollars sur les marchés financiers alors qu'on cherchait 500 millions de dollars", dit Wade.
23H 01 : "Je veux bien ouvrir le gouvernement à l'opposition", dit Wade qui rappelle sa cohabitation avec Diouf.
23H 00 : L'opposition perd son temps, selon Wade car il ne va pas renoncer à sa candidature
22H 59 : Wade demande aux libéraux de répondre qu'il n'a jamais dit qu'il ne se présenterai pas aux présidentielles.
22H 54 : "Je ne veux plus entendre parler de dévolution monarchique"
22H 53 : "Y a certains qui répètent la dévolution monarchique comme des perroquets"
22H 47 : "Le PS a laissé la Sotrac avec 34 milliards de dettes"", il annonce l'arrivée de 200 nouveaux bus.
22H 46 : "Nous n'allons plus rien tolérer. Qui s'y frottera s'y piquera", dit Wade.
22H 45 : "Je ne démissionnerai pas"...
22H 41 : "Même moi à la Présidence, c'est ce que je fais, j'économise l'électricité"
22H 41 : "Je demande aux populations de faire une bonne économie d'énergie"
22H 40 : "Les délestages sont difficiles, je le comprends"
22H 39 : "Karim m'a dit qu'à partir du mois septembre, les délestages vont finir..."
22H 38 : "Même moi, j'ai des délestages. J'ai demandé à Karim quand est-ce que les délestages vont finir"
22H 36 : Wade raille les problèmes de Sénélec et parle d'un malade
22H 34 : Résumé du discours de Wade en français avec pressafrik
"Je devine aisément que tous vous attendez avec anxiété pour certains avec joie pour d’autres les mots que je vais prononcer. Surpris par les violences des 23 et 27 juin, vous allez m’entendre et vous aurez des explications sur ce qui est arrivé et vous exposez des raisons, des mécontentements qui ont poussé certains sur le chemin de la violence.
Je n’ai pas voulu réagir à chaud mais prendre le temps d’écouter, de m’informer sur les tenants et les aboutissements, de recueillir les avis de la société civile, de la jeunesse et des chefs religieux. C’est pourquoi j’aborderai les journées du 23 et du 23 et arriver à d’autres considérations.
Le 23 juin après avoir murement réfléchi, j’ai retiré ce projet de loi. Il est probablement vrai qu’on n’a pas pris le temps d’expliquer cette proposition. En vérité, nous étions animés d’intention sincère de renforcer les bases institutionnelles et démocratiques de notre Etat. Le vice président est nommé par le président qui peut le destituer à tout moment, en le faisant élire au suffrage universel, il partage le pouvoir et ne peut plus être destitué.
Je n’ai jamais pensé qu’une idée aussi généreuse pourrait générer des contestations. Les 25% existaient au Sénégal depuis l’époque de Senghor dans toutes les Constitutions. L’une des conditions ne peut en aucune manière favoriser l’un des candidats. Senghor l’avait instauré pour qu’un fort taux d’abstention ne compromette pas le scrutin. Même avec un taux aussi bas, que le pays puisse disposer d’un dirigeant.
Le projet a fait l’objet de plusieurs amendements des députés de notre majorité à tel point que qu’il ne restait plus que la notion de ticket. Malgré tout cela des populations ont manifesté leur hostilité à cette réforme. L’opposition a profité de la confusion générale pour amener une partie de la population à la contestation générale.
Ce qui est regrettable, c’est la violence qui s’est invitée dans les débats occasionnant des blessés dans les forces de l’ordre et des citoyens. Nous n’avions pas pensé que les manifs puissent déboucher sur la violence. Nous avons commis une erreur d’appréciation. Nous pensions que cela sera une simple manifestation pacifique des deux camps comme c’était le cas le 19 mars. C’est la raison pour laquelle, j’ai demandé au ministre de l’Intérieur de ne pas interdire les manifs. Le régime libéral a supprimé l’obligation de demander une autorisation de marche. On peut organiser une réunion ou une marche en informant seulement l’autorité. Il suffit seulement d’une déclaration qui est un minimum nécessaire pour permettre à l’autorité de prendre toutes les dispositions d’encadrement.
Quelqu’en soit les auteurs, ces violences sont totalement inacceptables et indignes d’un peuple qui se respecte. Le pire a été évité parce qu’il n’y a pas eu de perte en vies humaines, ce que des gens ne souhaitaient pas pour virer le pays dans chaos. Je salue le professionnalisme des forces de sécurité. Aujourd’hui la situation est calmée, j’en appelle à la retenue, de savoir raison gardée quelque soit ce qui se passe.
Tenant compte des avis opposés au projet de loi, des guides religieux et des ambassadeurs des pays européens, j’ai décidé de retirer ce texte pour engager des concertations larges.
Je me refuse à croire que des leaders de l’opposition républicaine aient commandité des incendies.
S’agissant des manifestations du 27 liées aux coupures d’électricité, tout laisse croire que c’est le fruit d’une opération froidement planifiée par des gens pour déstabiliser. Je comprends les désagréments occasionnés par les coupures, je déplore fortement que sur fond de mécontentement populaire, des individus mal intentionnés s’adonnent à des saccages d’édifices publics, de lieux de cultes, de vols, de viols, entres autres. Des enquêtes sont en cours et les personnes responsables sont seront sévèrement punies. Force doit rester à la loi. La violence ne peut aucunement régler aucun de leurs problèmes au contraire elle les aggrave. "
22H 32 : Ecoutez la bande sonore d'une partie du discours de Wade avec pressafrik
22H 29 : Wade énumère les questions évoquées sur les licences de pêche ou la hausse des prix.
22H 24 : Le discours se poursuit.
22H 23 : Wade parle des vertus de la parité
22H 22 : Pour les prochaines élections, la loi sur la parité sera validée.
22H 21 : Wade poursuit son discours et fait des promesses aux femmes
22H 18 : Video, Quand Wade se moque de ses opposants
22H 15 : Wade parle d'un riche sudafricain qui veut construire des maisons et offrir des emplois aux jeunes
22H 14 : Wade promet des salaires de 50 à 70 000 pour recruter 100 000 jeunes dans le cadre d'un programme de soutien scolaire.
22H 10 : Wade poursuit son discours et parle de ses ambitions pour les jeunes
22h 05 : "Nous ne sommes plus un pays pauvre, mais un pays intermédiaire"
22H 03 : "Le PS n'a jamais réussi à nous sortir de la pauvreté", dit Wade
22H 02 : "Le Sénégal n'est plus un pays pauvre", dit Wade
21H 58 : "J'ai entendu qu'ils sont allés voir des occidentaux mais ils ont été bien remontés"
21H 57 : "Seul Dieu peut m'empêcher de me présenter"
21H 56 : "L'opposition a peur de moi..."
21H 56 : "Je n'ai jamais dit que je ne me présenterai pas"
21H 55 : "Je n'ai jamais dit que je ne me présenterai pas, même si je l'avais je peux me dédire"
21H 54 : "L'opposition est allée voir les grands chefs religieux pour demander à ce que je me présente pas"
21H 53 : "J'ai demandé à ce qu'on retire la loi sur le ticket jusqu'à nouvel ordre"
21H 48 : "Pour les événements du 27 juin, on a arrêté beaucoup de gens, c'est des spécialistes de la destabilisation. Mais nous allons remonter jusqu'au cerveau de ces actes de banditisme"
21H 47 : "On avait arrêté beaucoup de personnes, mais j'avais demandé à ce qu'on les relâche"
21H 44 : "Les manifestants voulaient s'emparer de l'assemblée nationale pour y mettre le feu"
21H 40 : Il fait le résumé de son discours en français, il revient sur les grandes lignes.
21H 38 : "Certains ont préparé les événements pour tout détruire avec des armes"
21H 38 : Il revient sur les événements du 23 et 27 juin
21H 37 : Wade commence son discours en wolof.
21H 36 : Wade harange ses militants. Il dit : "Qui a peur des élections ?" et la salle répond : "L'opposition". Une grosse ambiance règne dans la salle.
Pour résumé le discours de Wade en français : Le président Wade s'est dit favorable à une élection présidentielle si l'opposition est pressé de prendre le pouvoir. Il ne s'est pas encore prononcé sur sa candidature.
21H 33 : Wade va faire un speech en wolof à présent.
21H 32 : "Je suis favorable à des élections anticipées", Wade vient de finir son discours en français
21H 31 : "Ce n'est pas un excès d'optimisme"
21H 31 : "Je crains que le vainqueur des élections soit moi"
21H 30 : "La constitution me donne l'autorisation de faire une élection présidentielle anticipée"
21H 28 : "Je peux envisager une élection présidentielle anticipée"
21H 28 : "Je suis prêt à associer l'opposition à l'exercice du pouvoir"
21H 27 : "Je suis dans les mêmes dispositions pour ouvrir un dialogue"
21H 25 : "Sur le découpage administratif, je recommande la voie républicaine"
21H 24 : "Je ne saurai envisager un autre mode de dévolution du pouvoir y compris le leg à mon fils"
21H 23 : "Le 23 juin nous avons été surpris, mais désormais nous ferons face"
21H 22 : "Je continuerai à être solide au gouvernail, jusqu'aux élections"
21H 21 : "'400 villages seront electrifiés"
21H 20 : "Déjà, vous constatez une large amélioration avec des journées sans délestage, au mois de septembre, les coupures de courant ne seront plus qu'un mauvais souvenir"
21H 19 : "La Sénélec est malade"
21H 18 : Wade évoque la situation de l'électricité. Il indexe les mauvaises installations.
21H 16 : Wade fait une pluie de promesses, il parle de tous les secteurs économiques.
21H 12 : "Ceux qui vous conseillent de tout casser, vous condamnent fatalement à tout reconstruire"
21H 10 : "Je lance un appel à tous les jeunes (.) pour leurs inscriptions sur les listes électorales"
21H 08 : Wade énumère ses projets pour les jeunes.
21H 06 : "Ces jeune seront recrutés comme aides dans les écoles primaires pour renforcer le programme scolaire"
21H 05 : "Nous allons créer 100 000 emplois pour les jeunes qui ne sont pas allés jusqu'au bout de leurs formations"
21H 03 : "Nous allons résolver le chômage des jeunes"
21H 02 : Wade continue de faire le bilan de ses deux mandats.
21H 00 : Wade fait les éloges de ses réalisations et parle de la hausse du PIB par habitant de 500 à 1300 dollars.
20H 58 : "Rien ne saurait justifier une telle violence, malgré les coupures"
20H 57 : "Des enquêtes sont en cours, des personnes ont été interpellées pour les besoins de l'enquête"
20H 56 : "Pour les émeutes du 27 juin, c'est une affaire de vandales et des spécialistes de la destabilisation"
20H 54 : "S'agissant des violences du 23 juin, je me refuses à croire que les leaders de l'opposition aient pu organiser des actes de pillages et d'incendies"
20H 54 : "J'en appelle à la retenue..."
20H 53 : "Fort heureusement, il n'y a pas eu de pertes en vies humaines"
20H 52 : "Une manifestation s'est transformée en actes de violence"
20H 51 : "Nous n'avions jamais pensé que les manifestations allaient déboucher sur la violence"
20H 51 : "Nous avions commis une erreur d'appréciation"
20H 50 : "Ce qui est regretable, c'est la violence qui s'est invitée au débat"
20H 49 : "L'opposition a profité pour entraîner les populations"
20H 48 : "Malgré tout des citoyens se sont rendus à l'assemblée pour manifester leur hostilité"
20H 47 : "C'est en 1998, que c'est 25% ont été supprimés"
20H 46 : "Les 25%, Senghor l'avait institué"
20H 46 : "Je n'avais jamais pu penser qu'une idée aussi généreuse puisse soulever autant de polémique"
20H 45 : "Je voulais un véritable partage du pouvoir..."
20H 45 : "je voulais renforcer les bases de notre démocratie"
20H 44 : "J'avais après avoir murement réflechi soumi à l'assemblée nationale la loi sur le ticket"
20H 43 : "Recueillir les avis de large segments, au lieu de réagir à chaud".
20H 42 : "Surpris par les violences du 23 et 27juin, les solutions que j'entends apporter pour résoudre les problèmes qui ont poussé certains, je n'ai pas voulu réagir à chaud".
20H 41 : "Je devine aisément que tous vous attendez avec anxiété pour certains, les mots que je vais prononcés"
20H 40 : "J'ai le devoir de parler en français car beaucoup de gens à travers le monde voudrait entendre le discours que je vais tenir"
20H 39 : Salutations officielles de Wade
20H 39 : Le lutteur Yawou Dial est parmi les agitateurs
20H 38 : Wade fait ses salutations, ambiance dans la salle
20H 37 : La parole est maintenant au président de la République. Tout son discours sera retranscrit, actualisez toutes les minutes.
20H 34 : Les problèmes de Sénélec, le premier ministre renvoie aux socialistes.
20H 30 : "Il faut faire la paix entre nous", dit le PM
20H 29 : Une partie de la salle a hué le premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye le public (du moins une partie) n'a pas apprécié que le premier ministre indique que les "ministres ne peuvent pas passer leur temps à recevoir les militants".
20H 28 : "Les ministres ne peuvent pas passer leur temps à recevoir", dit le PM. Il est hué par une partie de la salle.
20H 27 : "Le gouvernement a bien décrypté le message du 23 juin...", dit PM
20H 25 : Le premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye a la parole.
20H 23 : Voici le seul orateur qui a dit à Wade les difficultés qu'il y a au Sénégal
20H 18 : "Cela n'a pas plu...", cette phrase revient dans les propos de Iba Der qui présente Wade comme un grand homme du refus face à la puissance occidentale et les forces occultes.
20H 15 : Il présente Wade comme un "homme du refus" de la puissance occidentale.
20H 14 : Iba Der a huit minutes de parole.
20H 11 : Le réseau social sénégalais très en colère contre Wade et ses hommes. Une petite revue de twitter et facebook.
19 h 12 - Le représentant des pêcheurs de Guet-Ndar, Abdoulaye Fall met la salle sens dessus sens dessous. "Ce n'est pas vous qui allez élire Me Wade en 2012, mais c'est la population qui est dehors dont il faudra chercher les voix. Ne soyons pas emportés par l'euphorie et disons-nous la vérité. Il y a des secteurs où ça ne va pas du tout", déclare-t-il sous les acclamations du public.
18 h 28 - "Votre candidature ne souffre d'aucune illégalité", assure Doudou Wade.
18 h 23 - Doudou Wade magnifie le rôle joué par les autorités religieuses et les forces de sécurité pour l'apaiser les cœurs lors des journées des 23 et 27 juin. Le président Doudou Wade laisse entendre que l'Etat ne doit pas se laisser faire.
18 h 15 - Doudou Wade, président du groupe parlementaire libéral et démocratique prend la parole et ne tarit pas d’éloges pour Me Wade, son oncle. Du "samba mbayaan" (griottisme) à la pelle à l’hôtel des Almadies où Wade reçoit les élus du Pds.
18 h 08 - Le Sénat fait acte d'allégeance au président de la République, à sa tête l'ancien maire de Dakar Pape Diop.
18 h 02 - Le chapelet des réalisations de Wade égrené comme un trophée de guerre.
17 h 56 - Le président "investi comme Candidat de toutes les régions du Sénégal".
17 h 52 - Le président de la République invité par El Hadji Malick Diop, député maire de Tivaouane à revoir à la baisse le prix du transport et d’améliorer la fournir d’électricité qui cause d’énormes préjudices aux sénégalais.
17 h 50 - Les premiers à prendre la parole, des élus locaux appartenant au camp de la majorité, dans une logique de campagne électorale ont encensé le président de la République qui selon Alé Lô est leur candidat. Ce, malgré les tentatives de diabolisation faites de sa personne.
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