Dans un contexte ressemblant à une accélération de l’histoire, tout concourt à montrer que nous vivons au Sénégal, une période de fin de règne. Ces scandales qui se succèdent en s’accélérant, en sont la meilleure preuve :
• Deux (2) dignitaires d’un parti que l’on fait vivre au-dessus de la patrie et de la loi, se crêpent le chignon en présence d’un guide religieux. Ils montrent le manque de respect désormais accordé aux dignitaires religieux de notre pays, qui devraient être des symboles de la foi.
• La sauvage répression d’une marche pacifique d’enseignants à Ziguinchor avec le recours à des milices (agents de l’ASP) équipées et demain, armées.
• Nous savions notre justice transformée à 2 vitesses et donc, devenue injustice.
• Nous apprenons maintenant qu’il en est de même pour la manière dont ils traitent les contrats pétroliers, dont les clauses varient selon la partie avec laquelle ils signent.
• Le peuple sénégalais doit sanctionner en 2019, un chef (de notre peuple, de notre armée et de notre magistrature) dont le passe-temps favori consiste à se dédire et dont nous avons désormais honte. Il n’a alors aucune gêne à changer les règles du jeu qui lui ont permis de gagner les élections présidentielles en 2012.
Pour ce faire, il invente une exception constitutionnelle mondiale en réclamant les signatures de 1% du corps électoral par candidat, souhaitant le devenir, et crée ainsi l’impossible à vérifier en même temps qu’il change la date du scrutin en l’avançant (vote avant la date officielle).
Mais le contexte scabreux qu’ils ont créé et continueront d’entretenir, ne doit surtout pas nous empêcher de poursuivre la dénonciation du vol des ressources de notre pays qu’ils organisent de manière inlassable, en toute impunité et avec une violence inouïe, alors que la pauvreté progresse au Sénégal.
Exigeons que l’un des chefs de ce qui ressemble maintenant à une organisation mafieuse, qu’il s’agisse de l’Exécutif ou du parti-état, daigne donner au peuple du Sénégal, des éclaircissements sur ce qui pourrait être l’un des plus gros scandales de leur règne (après bien entendu celui de Timis Corp-Aliou Sall) et concernant un contrat de 400 milliards fcfa passé par la Société Africaine de Raffinage (SAR) en violation des règles de la société d’une part, des pertes masquées de 40 milliards d’autre part.
Sénégalaises et Sénégalais de tous bords, membres de l’APR, de l’AFP de M. Niasse, du PS de T. Dieng, ou recevant les ordres qui détruisent chaque jour un peu plus notre cher pays, jusqu’à quand allez-vous être acteurs, complices ou spectateurs de la chute du Sénégal?
Sénégalais debout pour sauver ce qui reste du Sénégal et son futur !
Abdoul Mbaye – Alliance pour la Citoyenneté et le Travail
Dakar le 15 avril 2018"
• Deux (2) dignitaires d’un parti que l’on fait vivre au-dessus de la patrie et de la loi, se crêpent le chignon en présence d’un guide religieux. Ils montrent le manque de respect désormais accordé aux dignitaires religieux de notre pays, qui devraient être des symboles de la foi.
• La sauvage répression d’une marche pacifique d’enseignants à Ziguinchor avec le recours à des milices (agents de l’ASP) équipées et demain, armées.
• Nous savions notre justice transformée à 2 vitesses et donc, devenue injustice.
• Nous apprenons maintenant qu’il en est de même pour la manière dont ils traitent les contrats pétroliers, dont les clauses varient selon la partie avec laquelle ils signent.
• Le peuple sénégalais doit sanctionner en 2019, un chef (de notre peuple, de notre armée et de notre magistrature) dont le passe-temps favori consiste à se dédire et dont nous avons désormais honte. Il n’a alors aucune gêne à changer les règles du jeu qui lui ont permis de gagner les élections présidentielles en 2012.
Pour ce faire, il invente une exception constitutionnelle mondiale en réclamant les signatures de 1% du corps électoral par candidat, souhaitant le devenir, et crée ainsi l’impossible à vérifier en même temps qu’il change la date du scrutin en l’avançant (vote avant la date officielle).
Mais le contexte scabreux qu’ils ont créé et continueront d’entretenir, ne doit surtout pas nous empêcher de poursuivre la dénonciation du vol des ressources de notre pays qu’ils organisent de manière inlassable, en toute impunité et avec une violence inouïe, alors que la pauvreté progresse au Sénégal.
Exigeons que l’un des chefs de ce qui ressemble maintenant à une organisation mafieuse, qu’il s’agisse de l’Exécutif ou du parti-état, daigne donner au peuple du Sénégal, des éclaircissements sur ce qui pourrait être l’un des plus gros scandales de leur règne (après bien entendu celui de Timis Corp-Aliou Sall) et concernant un contrat de 400 milliards fcfa passé par la Société Africaine de Raffinage (SAR) en violation des règles de la société d’une part, des pertes masquées de 40 milliards d’autre part.
Sénégalaises et Sénégalais de tous bords, membres de l’APR, de l’AFP de M. Niasse, du PS de T. Dieng, ou recevant les ordres qui détruisent chaque jour un peu plus notre cher pays, jusqu’à quand allez-vous être acteurs, complices ou spectateurs de la chute du Sénégal?
Sénégalais debout pour sauver ce qui reste du Sénégal et son futur !
Abdoul Mbaye – Alliance pour la Citoyenneté et le Travail
Dakar le 15 avril 2018"