Les relations entre le Sénégal et l’Algérie, a-t-il souligné, sont basées sur le respect mutuel et se sont beaucoup renforcées ces dernières années, se traduisant par des visites de personnalités politiques, économiques et culturelles.
Mustapha Ben Bada, qui procédait à l’ouverture de la journée économique de son pays, souligne que le fait que l’Algérie est l’invité d’honneur de la 19-ème édition de la Foire internationale de Dakar (FIDAK) en est une illustration supplémentaire.
La présence de la République algérienne à la FIDAK s’inscrit dans le cadre du renforcement de la dynamique des échanges commerciaux avec le Sénégal, avec la participation de quelque 36 entreprises algériennes, a-t-il indiqué.
L’exposition algérienne à cette présente FIDAK couvre des domaines très variés, qui vont de l’industrie chimique à l’agroalimentaire, en passant par l’électroménager, l’industrie électronique, le textile, les matériaux de construction, les médicaments, etc.
A ce sujet, il a invité les hommes d’affaires sénégalais à exploiter toutes les opportunités d’affaires et de partenariat qui s’offrent à eux, rappelant le rôle ‘’important’’ des opérateurs économiques dans le développement de la coopération entre les deux pays.
Pour son homologue sénégalais, Amadou Niang, il est important de réfléchir sur des canevas qui permettront dans les mois et années à venir, d’asseoir une coopération basée sur une analyse claire des potentialités et des forces et faiblesses de part et d’autre.
A l’en croire, une telle analyse permettra, dans un monde devenu un gros village, de réussir le pari lancé par les deux chefs d’Etat, Abdelaziz Boutéflika et Abdoulaye Wade, de renforcer les liens entre ces deux parties inséparables de l’Afrique que sont le Maghreb et l’Afrique subsaharienne.
De l’avis d’Amadou Niang, si ces deux chefs d’Etat ont été la cheville ouvrière du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD), c’est parce qu’ils ont tenu à ce que ces deux régions restent inséparables.
Pour que cette volonté se concrétise, a-t-il affirmé, il faut des engagements politiques forts, mais aussi des engagements économiques forts.
Selon lui, c’est cet engagement politique que les autorités sénégalaises ont voulu traduire en acte, en mettant l’Alégrie au devant de la scène, à Dakar et en Afrique subsaharienne, pour qu’elle tienne le haut du pavée.
LTF/ASG
Mustapha Ben Bada, qui procédait à l’ouverture de la journée économique de son pays, souligne que le fait que l’Algérie est l’invité d’honneur de la 19-ème édition de la Foire internationale de Dakar (FIDAK) en est une illustration supplémentaire.
La présence de la République algérienne à la FIDAK s’inscrit dans le cadre du renforcement de la dynamique des échanges commerciaux avec le Sénégal, avec la participation de quelque 36 entreprises algériennes, a-t-il indiqué.
L’exposition algérienne à cette présente FIDAK couvre des domaines très variés, qui vont de l’industrie chimique à l’agroalimentaire, en passant par l’électroménager, l’industrie électronique, le textile, les matériaux de construction, les médicaments, etc.
A ce sujet, il a invité les hommes d’affaires sénégalais à exploiter toutes les opportunités d’affaires et de partenariat qui s’offrent à eux, rappelant le rôle ‘’important’’ des opérateurs économiques dans le développement de la coopération entre les deux pays.
Pour son homologue sénégalais, Amadou Niang, il est important de réfléchir sur des canevas qui permettront dans les mois et années à venir, d’asseoir une coopération basée sur une analyse claire des potentialités et des forces et faiblesses de part et d’autre.
A l’en croire, une telle analyse permettra, dans un monde devenu un gros village, de réussir le pari lancé par les deux chefs d’Etat, Abdelaziz Boutéflika et Abdoulaye Wade, de renforcer les liens entre ces deux parties inséparables de l’Afrique que sont le Maghreb et l’Afrique subsaharienne.
De l’avis d’Amadou Niang, si ces deux chefs d’Etat ont été la cheville ouvrière du Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD), c’est parce qu’ils ont tenu à ce que ces deux régions restent inséparables.
Pour que cette volonté se concrétise, a-t-il affirmé, il faut des engagements politiques forts, mais aussi des engagements économiques forts.
Selon lui, c’est cet engagement politique que les autorités sénégalaises ont voulu traduire en acte, en mettant l’Alégrie au devant de la scène, à Dakar et en Afrique subsaharienne, pour qu’elle tienne le haut du pavée.
LTF/ASG