Demain, tous les organes sensuels seront braqués sur l’Assemblée nationale. Où les représentants du peuple vont demander des explications aux membres du gouvernement sur les deux questions qui font l’actualité au Sénégal. Il s’agit des inondations et des délestages. C’est tous les Sénégalais qui soufrent, aujourd’hui, de ces fléaux. Mais les habitants de la banlieue dakaroise restent les plus concernés par ces phénomènes, parce qu’ils font face à ces deux fléaux en même temps. D’ailleurs, ils attendent beaucoup de cette rencontre d’explication. Interpellés sur la question, la majorité des responsables d’association de la banlieue parlent le même langage : ils souhaitent que cette rencontre débouche sur des solutions pérennes.
Imam Youssoupha Sarr, coordonnateur du Comité des résidents des quartiers de Guédiawaye, a préféré interpeller directement les représentants du peuple. Pour leur demander de faire preuve de beaucoup de volonté pour que ces problèmes soient définitivement réglés. Il pense qu’aujourd’hui, il est établi que «la politique énergétique du gouvernement sénégalais n’est pas opérationnelle». Raison pour laquelle, le problème est récurrent. Pour lui, il ne s’agit pas, aujourd’hui, de surfer sur des explications ou des concepts, mais plutôt de trouver des solutions pérennes.
Babacar Mbaye Ngaraf, président de la Synergie des acteurs pour l’assainissement de la banlieue (Saaba), refuse une politisation des opérations qui seront mises en place. Il explique que les personnes qui vivent dans les zones inondées n’attendent que des solutions, mais des solutions concertées avec les populations. Pour ce qui est du relogement des sinistrés à Sangalkam, M. Mbaye explique que l’expérience de 2005 continue de traumatiser les populations. Une raison de plus pour que le gouvernement communique avec les populations pour les rassurer. Pour finir, il a tenu à préciser à l’endroit des autorités que les populations n’ont envoyé personne parler en leur nom
Latir MANE
Source L'Observateurcode
Imam Youssoupha Sarr, coordonnateur du Comité des résidents des quartiers de Guédiawaye, a préféré interpeller directement les représentants du peuple. Pour leur demander de faire preuve de beaucoup de volonté pour que ces problèmes soient définitivement réglés. Il pense qu’aujourd’hui, il est établi que «la politique énergétique du gouvernement sénégalais n’est pas opérationnelle». Raison pour laquelle, le problème est récurrent. Pour lui, il ne s’agit pas, aujourd’hui, de surfer sur des explications ou des concepts, mais plutôt de trouver des solutions pérennes.
Babacar Mbaye Ngaraf, président de la Synergie des acteurs pour l’assainissement de la banlieue (Saaba), refuse une politisation des opérations qui seront mises en place. Il explique que les personnes qui vivent dans les zones inondées n’attendent que des solutions, mais des solutions concertées avec les populations. Pour ce qui est du relogement des sinistrés à Sangalkam, M. Mbaye explique que l’expérience de 2005 continue de traumatiser les populations. Une raison de plus pour que le gouvernement communique avec les populations pour les rassurer. Pour finir, il a tenu à préciser à l’endroit des autorités que les populations n’ont envoyé personne parler en leur nom
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