Sur la situation en Casamance, le leader du Parti de la vérité pour le développement Modou Kara Mbacké, à travers son porte-parole Mohamed Gningue a réitéré son souhait d'être impliqué dans la résolution du conflit en Casamance. « C'est un problème qui est douloureux et qui persiste jusqu'à nos jours.
Nous rappelons au passage, la philosophie que le guide à l'époque, Cheikh Ahmadou Kara Mbacké avait eu à mettre sur la table. Parce qu'à un moment donné, il avait écrit personnellement à son excellence Me Abdoulaye Wade pour lui demander en tant que citoyen, de respecter la hiérarchie et la procédure républicaine en l'impliquant personnellement dans le problème de la Casamance ».
Et de poursuivre dans la même lignée : « En son temps, il avait même demandé au Président de la République Me Abdoulaye Wade de se rendre avec lui en à Ziguinchor s'il est d'accord ». Et, il disait à l'époque que le Président de la République pourrait rester à Ziguinchor et lui, il descendra personnellement dans le maquis pour rencontrer ces gens et discuter avec eux, ensuite revenir dans la capitale ».
« Et à partir de ce moment, il y aura une réunion qui devra se tenir et le Général Kara pourrait constituer une sorte de garantie entre l'Etat du Sénégal et la rébellion » a-t-il soutenu. Toutefois, le Parti de la vérité pour le développement ne semble pas apprécier l'idée d'un référendum en Casamance. Et pour cause !: « Nous le déplorons parce qu'aujourd'hui, si demain le Nord fait la même chose etc., on aura l'éclatement pratiquement de ce pays. Le Sénégal n'en a pas besoin ».
Selon les partisans de la vérité, le problème que la Casamance posé en ce moment est celui de la « dignité », de son «implication » et préconise à l'Etat du Sénégal de se rapprocher davantage des Casamançais. « Il est temps vraiment que l'Etat puisse investir au niveau de la Casamance. Mais au préalable, il faut qu'il rencontre les différents acteurs sans qu'il ait d'intermédiaire.
Lavé le linge sale en famille avant de préconiser un quelconque développement » à confié le deuxième porte-parole du jour avant d'inviter le président de République à tendre la main à leur leader pour résoudre le problème de la Casamance.
«C'est cette démarche du Général Kara que nous réactualisons en lançant un appel au président de la République pour qu'il puisse donc tendre la main au Général pour qu'ensemble, ils essayent de régler le problème définitif de la Casamance » a conclu M. Mohamed Gningue.
Nous rappelons au passage, la philosophie que le guide à l'époque, Cheikh Ahmadou Kara Mbacké avait eu à mettre sur la table. Parce qu'à un moment donné, il avait écrit personnellement à son excellence Me Abdoulaye Wade pour lui demander en tant que citoyen, de respecter la hiérarchie et la procédure républicaine en l'impliquant personnellement dans le problème de la Casamance ».
Et de poursuivre dans la même lignée : « En son temps, il avait même demandé au Président de la République Me Abdoulaye Wade de se rendre avec lui en à Ziguinchor s'il est d'accord ». Et, il disait à l'époque que le Président de la République pourrait rester à Ziguinchor et lui, il descendra personnellement dans le maquis pour rencontrer ces gens et discuter avec eux, ensuite revenir dans la capitale ».
« Et à partir de ce moment, il y aura une réunion qui devra se tenir et le Général Kara pourrait constituer une sorte de garantie entre l'Etat du Sénégal et la rébellion » a-t-il soutenu. Toutefois, le Parti de la vérité pour le développement ne semble pas apprécier l'idée d'un référendum en Casamance. Et pour cause !: « Nous le déplorons parce qu'aujourd'hui, si demain le Nord fait la même chose etc., on aura l'éclatement pratiquement de ce pays. Le Sénégal n'en a pas besoin ».
Selon les partisans de la vérité, le problème que la Casamance posé en ce moment est celui de la « dignité », de son «implication » et préconise à l'Etat du Sénégal de se rapprocher davantage des Casamançais. « Il est temps vraiment que l'Etat puisse investir au niveau de la Casamance. Mais au préalable, il faut qu'il rencontre les différents acteurs sans qu'il ait d'intermédiaire.
Lavé le linge sale en famille avant de préconiser un quelconque développement » à confié le deuxième porte-parole du jour avant d'inviter le président de République à tendre la main à leur leader pour résoudre le problème de la Casamance.
«C'est cette démarche du Général Kara que nous réactualisons en lançant un appel au président de la République pour qu'il puisse donc tendre la main au Général pour qu'ensemble, ils essayent de régler le problème définitif de la Casamance » a conclu M. Mohamed Gningue.