Un cocktail insalubre : Eaux et ordures
Ce qui rend la situation encore plus alarmante, c’est la présence de tas d’immondices qui se mêlent aux eaux stagnantes, comme vous pouvez le constater sur ces images. Ces déchets non ramassés forment un bouillon de culture parfait pour la prolifération de maladies. L’odeur pestilentielle qui se dégage de ces zones fait fuir les riverains et affecte leur Zqualité de vie, mais ce sont surtout les risques de maladies comme le paludisme, la diarrhée et d'autres infections qui inquiètent le plus les populations locales. Les eaux stagnantes deviennent des nids à moustiques, amplifiant les risques de contamination.
Des infrastructures insuffisantes
Face à ce constat, les habitants de SONA 10 et de Rufisque en général réclament une action rapide et efficace. Ils demandent non seulement une journée spéciale de nettoiement pour débarrasser la ville de ces immondices, mais surtout l'installation de canalisations adéquates qui permettraient une évacuation rapide des eaux pluviales. La vieille ville de Mame Coumba Lam, forte de son riche héritage historique, mérite de respirer un air pur et de ne plus être noyée sous les eaux stagnantes et les ordures.
Un appel à l'action
Le département de Rufisque, qui fait face à cette crise environnementale et sanitaire, appelle les autorités compétentes à se mobiliser. Les habitants espèrent que le programme "Sétal Sunu Reew" prendra une nouvelle ampleur avec des actions concrètes sur le terrain. Il est impératif que Rufisque, cette vieille ville historique, puisse enfin tourner la page de l’insalubrité pour offrir à ses citoyens des conditions de vie dignes.
La population réclame des canalisations dignes de ce nom, une gestion des déchets efficace et surtout une véritable politique environnementale pour prévenir les risques sanitaires. Les efforts pour un Sénégal propre doivent passer par une meilleure prise en compte des réalités locales, car seule une mobilisation collective permettra de résoudre cette situation qui menace la santé publique à SONA 10.
Birame Khary Ndaw
Ce qui rend la situation encore plus alarmante, c’est la présence de tas d’immondices qui se mêlent aux eaux stagnantes, comme vous pouvez le constater sur ces images. Ces déchets non ramassés forment un bouillon de culture parfait pour la prolifération de maladies. L’odeur pestilentielle qui se dégage de ces zones fait fuir les riverains et affecte leur Zqualité de vie, mais ce sont surtout les risques de maladies comme le paludisme, la diarrhée et d'autres infections qui inquiètent le plus les populations locales. Les eaux stagnantes deviennent des nids à moustiques, amplifiant les risques de contamination.
Des infrastructures insuffisantes
Face à ce constat, les habitants de SONA 10 et de Rufisque en général réclament une action rapide et efficace. Ils demandent non seulement une journée spéciale de nettoiement pour débarrasser la ville de ces immondices, mais surtout l'installation de canalisations adéquates qui permettraient une évacuation rapide des eaux pluviales. La vieille ville de Mame Coumba Lam, forte de son riche héritage historique, mérite de respirer un air pur et de ne plus être noyée sous les eaux stagnantes et les ordures.
Un appel à l'action
Le département de Rufisque, qui fait face à cette crise environnementale et sanitaire, appelle les autorités compétentes à se mobiliser. Les habitants espèrent que le programme "Sétal Sunu Reew" prendra une nouvelle ampleur avec des actions concrètes sur le terrain. Il est impératif que Rufisque, cette vieille ville historique, puisse enfin tourner la page de l’insalubrité pour offrir à ses citoyens des conditions de vie dignes.
La population réclame des canalisations dignes de ce nom, une gestion des déchets efficace et surtout une véritable politique environnementale pour prévenir les risques sanitaires. Les efforts pour un Sénégal propre doivent passer par une meilleure prise en compte des réalités locales, car seule une mobilisation collective permettra de résoudre cette situation qui menace la santé publique à SONA 10.
Birame Khary Ndaw