Ousmane Ngom, Abdoulaye Diop, Omar Sarr, Assane Diagne, la liste est loin d’être close certainement. Tout ce beau monde sera-t-il « immolé » sur l’autel de la réconciliation entre le « père » et « « le fils » ? D’aucuns le pensent et affirment que le braquage des « spots » sur eux avec l’exhumation de vieux dossiers ou la révélation de cartons aux contenus inédits n’est pas gratuit. On chercherait à justifier leur « liquidation » que l’on ne s’en prendrait point autrement. D’autres, par contre, assurent qu’il s’agit simplement « d’affaires » que l’on a cherchées coûte que coûte à étouffer et que la presse tente vaille que vaille à révéler ou à remettre au goût du jour.
On se souvient cependant que l’ancien rédacteur en chef d’un journal de la place avait été condamné à une peine de trois mois avec sursis et à une amende de 5 millions de FCfa pour une affaire qui l’opposait à l’ancien directeur de la Société immobilière du Cap-Vert (Sicap), Assane Diagne pour ne pas le nommer. Dans une de ses livraisons, le journal avait laissé entendre que celui qui était devenu par la suite ministre de la République, était coupable d’une malversation financière dans sa boîte d’alors, estimée à 1 milliard FCfa. Le confrère avait éprouvé quelques difficultés à prouver ses accusations devant la barre du tribunal.
Le même dossier est resservi ces jours-ci sans que quelque chose de nouveau ne soit révélé, surtout que les « affaires » en question portent sur une gestion qui remonte à dizaine d’années. Le rapport de la Cour des comptes n’avait, de toute façon, pas convaincu l’Exécutif sur ce qui avait été qualifié de fautes de gestion et le dossier n’a jamais été transmis à la Justice.
Dans le même registre, Me Ousmane Ngom est « épinglé », ses collègues Abdoulaye Diop, Omar Sarr sont fournis également. Ils ont, chacun, sa dose de « scandale ». Pendant ce temps, on apprend que l’ancien n° 2 du Parti démocratique sénégalais (Pds), Idrissa Seck, président du rassemblement « Rewmi », était en pourparlers avancés avec le patron du Pds et non moins président de la République pour son retour au bercail. Pour ce retour de l’enfant prodige va-t-on immoler sur l’autel, des agneaux ou liquider, retour de bâton, de véritables liquidateurs ?
Certains parmi ceux qui sont avertis des questions « libéralo-libérales » en sont persuadés d’autant plus, avancent-ils, « tous ceux qui sont cités ont eu d’une manière ou d’une autre à contrarier l’ancien tout puissant n°2, ou à participer au « complot » de sa mise à l’écart voire de son emprisonnement. Ou bien encore occupent une position dans l’échiquier susceptible de gêner son retour ou encore, auraient refusé de choisir son camp ». Pour ces observateurs, sur l’autel de la réconciliation, plusieurs têtes tomberont.
D’autres observateurs se gardent eux, d’une telle lecture. Ils avancent plutôt, qu’il ne s’agit là que des révélations dont les Sénégalais sont même devenus blasés à cause de leur récurrence. L’opinion quant elle, sera forcément édifiée.
On se souvient cependant que l’ancien rédacteur en chef d’un journal de la place avait été condamné à une peine de trois mois avec sursis et à une amende de 5 millions de FCfa pour une affaire qui l’opposait à l’ancien directeur de la Société immobilière du Cap-Vert (Sicap), Assane Diagne pour ne pas le nommer. Dans une de ses livraisons, le journal avait laissé entendre que celui qui était devenu par la suite ministre de la République, était coupable d’une malversation financière dans sa boîte d’alors, estimée à 1 milliard FCfa. Le confrère avait éprouvé quelques difficultés à prouver ses accusations devant la barre du tribunal.
Le même dossier est resservi ces jours-ci sans que quelque chose de nouveau ne soit révélé, surtout que les « affaires » en question portent sur une gestion qui remonte à dizaine d’années. Le rapport de la Cour des comptes n’avait, de toute façon, pas convaincu l’Exécutif sur ce qui avait été qualifié de fautes de gestion et le dossier n’a jamais été transmis à la Justice.
Dans le même registre, Me Ousmane Ngom est « épinglé », ses collègues Abdoulaye Diop, Omar Sarr sont fournis également. Ils ont, chacun, sa dose de « scandale ». Pendant ce temps, on apprend que l’ancien n° 2 du Parti démocratique sénégalais (Pds), Idrissa Seck, président du rassemblement « Rewmi », était en pourparlers avancés avec le patron du Pds et non moins président de la République pour son retour au bercail. Pour ce retour de l’enfant prodige va-t-on immoler sur l’autel, des agneaux ou liquider, retour de bâton, de véritables liquidateurs ?
Certains parmi ceux qui sont avertis des questions « libéralo-libérales » en sont persuadés d’autant plus, avancent-ils, « tous ceux qui sont cités ont eu d’une manière ou d’une autre à contrarier l’ancien tout puissant n°2, ou à participer au « complot » de sa mise à l’écart voire de son emprisonnement. Ou bien encore occupent une position dans l’échiquier susceptible de gêner son retour ou encore, auraient refusé de choisir son camp ». Pour ces observateurs, sur l’autel de la réconciliation, plusieurs têtes tomberont.
D’autres observateurs se gardent eux, d’une telle lecture. Ils avancent plutôt, qu’il ne s’agit là que des révélations dont les Sénégalais sont même devenus blasés à cause de leur récurrence. L’opinion quant elle, sera forcément édifiée.