Mais si Donald Trump fait une croix sur son salaire, il pourrait également se passer de plusieurs autres gratifications. Les textes prévoient en effet, comme l'indique le Business Insider, que le président des Etats-Unis à droit à une allocation non-imposable de 45.861 euros par an, ainsi qu'à 91.171 euros pour les voyages et 17.424 euros pour ses divertissements. Mais le tout doit être dépensé exclusivement dans le cadre de ses fonctions.
À ce salaire, s'ajoute une myriade d'avantages : la limousine présidentielle avec chauffeur, l'hélicoptère Marine One, l'avion Air Force One, la protection permanente des services secrets (un avantage conservé à vie), les vacances dans la résidence officielle de Camp David et le logement à la Maison-Blanche, avec tout son personnel.
Sauf surprise, ces charges devraient, elles, continuer à être supportées par l'Etat américain. La famille présidentielle doit, en revanche, payer ses courses et assurer les frais des événements privés. À la fin d'un mandat, chaque président reçoit normalement une pension annuelle de 187.000 euros. Ses frais de santé sont pris en charge, ainsi que ses voyages officiels.
Il bénéficie toujours d'un bureau, d'un service administratif et de la protection des services secrets. Son salaire, lorsqu'il est en poste, n'augmente ni ne diminue en fonction de l'inflation, comme inscrit dans la Constitution. Seul le Congrès peut le changer. La dernière augmentation a été signée en 1999, et appliquée en 2001, et c'est Bill Clinton qui a bénéficié d'un salaire multiplié par deux. Enfin, il faut distinguer les revenus des rémunérations.
Par exemple, Barack Obama reçoit au total 725.000 euros par an, le double de son salaire. Car il touche des droits d'auteur sur ses ventes de livres et des sommes issues de ses investissements. Et il est loin d'avoir été le président américain le plus riche. À titre de comparaison, Donald Trump est à la tête d'une fortune évaluée entre 2,66 et 4,1 milliards d'euros.
Source directmatin.fr
À ce salaire, s'ajoute une myriade d'avantages : la limousine présidentielle avec chauffeur, l'hélicoptère Marine One, l'avion Air Force One, la protection permanente des services secrets (un avantage conservé à vie), les vacances dans la résidence officielle de Camp David et le logement à la Maison-Blanche, avec tout son personnel.
Sauf surprise, ces charges devraient, elles, continuer à être supportées par l'Etat américain. La famille présidentielle doit, en revanche, payer ses courses et assurer les frais des événements privés. À la fin d'un mandat, chaque président reçoit normalement une pension annuelle de 187.000 euros. Ses frais de santé sont pris en charge, ainsi que ses voyages officiels.
Il bénéficie toujours d'un bureau, d'un service administratif et de la protection des services secrets. Son salaire, lorsqu'il est en poste, n'augmente ni ne diminue en fonction de l'inflation, comme inscrit dans la Constitution. Seul le Congrès peut le changer. La dernière augmentation a été signée en 1999, et appliquée en 2001, et c'est Bill Clinton qui a bénéficié d'un salaire multiplié par deux. Enfin, il faut distinguer les revenus des rémunérations.
Par exemple, Barack Obama reçoit au total 725.000 euros par an, le double de son salaire. Car il touche des droits d'auteur sur ses ventes de livres et des sommes issues de ses investissements. Et il est loin d'avoir été le président américain le plus riche. À titre de comparaison, Donald Trump est à la tête d'une fortune évaluée entre 2,66 et 4,1 milliards d'euros.
Source directmatin.fr