Nous nous étions habitués au traditionnel duel Messi-Ronaldo, rythmant chaque nouvelle saison de Liga, il faudra pourtant changer notre routine. Car, depuis le départ de la star planétaire du Real vers l’Italie et la Juventus de Turin, c’est une Liga affaiblie (sur le papier) qui va débuter ce vendredi. Avec en ouverture, un Girona-Valladolid, suivi d’un Betis Séville-Levante (20h15), c’est vers de nouveaux visages que vont se tourner cette saison les observateurs assidus du championnat ibérique.
Souvent relégués au second plan derrière le Real, l’Atlético pourrait bien profiter de la saison de transition qui s’annonce chez son voisin madrilène, pour jouer les concurrents directs du Barça. Deuxièmes derrière les Catalans la saison dernière, les Colchoneros se sont donné cet été les moyens d‘inverser la hiérarchie établie, et ainsi prendre le pouvoir en Espagne. Si le Real apparaît amoindri (à une douzaine de jours de la clôture du mercato), le FC Barcelone a, lui, gardé une ossature très solide, complétée par les arrivées de Malcom, Arthur, Vidal et Lenglet.
La course à l’Europe
Très ambitieux sur le marché des transferts, Valence pourrait bien être le poil à gratter de la Liga cette saison. Avec les arrivées de Gameiro, Batshuayi et le retour de Cheryshev, le club de la côte Sud-Est de l’Espagne a affiché ses ambitions : une place en Ligue des Champions… Comme la saison dernière, où les Valenciens avaient accroché la 4e place, à 3 points (seulement) du Real.
De son côté, Séville tentera d’effacer une saison 2017-2018 en demi-teinte, en terminant septièmes. Avec l’arrivée d’un nouvel entraîneur à suivre de près – Pablo Machín –, Séville prétend également à une place en européenne. Invité surprise la saison dernière (6e), le Bétis, l’autre club de Séville, pourrait lui aussi décrocher un nouveau ticket pour la C3 l’an prochain. L’ambitieux club de Girona tentera à nouveau de s’accrocher au wagon de tête, en poursuivant son apprentissage en Liga. Enfin, avec le départ de nombreux joueurs majeurs, Villareal devra s'accrocher pour s'offrir un ticket pour l'une des deux coupes d'Europe.
Les revanchards
Décevants la saison dernière, trois clubs tenteront cette saison de retrouver de leur superbe. Seizième l’an dernier, Bilbao est reparti sur de bonnes bases en signant six succès en amical cet été. Le club basque, qui a notamment enregistré l’arrivée du parisien Yuri Berchiche, risque fort de faire son retour dans la première moitié de tableau, s’il parvient à trouver un remplaçant de taille à son gardien Kepa Arrizabalaga, parti à Chelsea.
Autres revanchards, la Real Sociedad et le Celta Vigo aimeraient retrouver la première moitié de tableau cette année. Et pourquoi pas, une place européenne, dans un championnat tout aussi compétitif et ouvert qu’à son habitude.
La lutte pour le maintien
Outre les trois promus (Huesca, Valladolid, Rayo Vallecano) forcément en danger, d’autres clubs pourraient être en difficulté. Sauvé l’an dernier, Leganés (17e) luttera sauf grande surprise, pour son maintien, tout comme Levante et Alavés. Eibar, jolie surprise la saison dernière, pourrait avoir un contrecoup cette année, avec plusieurs départs importants (Inui, Alejo, Capa).
Pour le Rayo Vallecano et Valladolid, il s’agira de s’offrir un autre scénario en Liga qu’il y a deux et quatre ans, où les deux clubs étaient descendus en ne comptant qu’un (2015-2016) et quatre points (2013-2014) de retard sur le 17e.
Sport24
Souvent relégués au second plan derrière le Real, l’Atlético pourrait bien profiter de la saison de transition qui s’annonce chez son voisin madrilène, pour jouer les concurrents directs du Barça. Deuxièmes derrière les Catalans la saison dernière, les Colchoneros se sont donné cet été les moyens d‘inverser la hiérarchie établie, et ainsi prendre le pouvoir en Espagne. Si le Real apparaît amoindri (à une douzaine de jours de la clôture du mercato), le FC Barcelone a, lui, gardé une ossature très solide, complétée par les arrivées de Malcom, Arthur, Vidal et Lenglet.
La course à l’Europe
Très ambitieux sur le marché des transferts, Valence pourrait bien être le poil à gratter de la Liga cette saison. Avec les arrivées de Gameiro, Batshuayi et le retour de Cheryshev, le club de la côte Sud-Est de l’Espagne a affiché ses ambitions : une place en Ligue des Champions… Comme la saison dernière, où les Valenciens avaient accroché la 4e place, à 3 points (seulement) du Real.
De son côté, Séville tentera d’effacer une saison 2017-2018 en demi-teinte, en terminant septièmes. Avec l’arrivée d’un nouvel entraîneur à suivre de près – Pablo Machín –, Séville prétend également à une place en européenne. Invité surprise la saison dernière (6e), le Bétis, l’autre club de Séville, pourrait lui aussi décrocher un nouveau ticket pour la C3 l’an prochain. L’ambitieux club de Girona tentera à nouveau de s’accrocher au wagon de tête, en poursuivant son apprentissage en Liga. Enfin, avec le départ de nombreux joueurs majeurs, Villareal devra s'accrocher pour s'offrir un ticket pour l'une des deux coupes d'Europe.
Les revanchards
Décevants la saison dernière, trois clubs tenteront cette saison de retrouver de leur superbe. Seizième l’an dernier, Bilbao est reparti sur de bonnes bases en signant six succès en amical cet été. Le club basque, qui a notamment enregistré l’arrivée du parisien Yuri Berchiche, risque fort de faire son retour dans la première moitié de tableau, s’il parvient à trouver un remplaçant de taille à son gardien Kepa Arrizabalaga, parti à Chelsea.
Autres revanchards, la Real Sociedad et le Celta Vigo aimeraient retrouver la première moitié de tableau cette année. Et pourquoi pas, une place européenne, dans un championnat tout aussi compétitif et ouvert qu’à son habitude.
La lutte pour le maintien
Outre les trois promus (Huesca, Valladolid, Rayo Vallecano) forcément en danger, d’autres clubs pourraient être en difficulté. Sauvé l’an dernier, Leganés (17e) luttera sauf grande surprise, pour son maintien, tout comme Levante et Alavés. Eibar, jolie surprise la saison dernière, pourrait avoir un contrecoup cette année, avec plusieurs départs importants (Inui, Alejo, Capa).
Pour le Rayo Vallecano et Valladolid, il s’agira de s’offrir un autre scénario en Liga qu’il y a deux et quatre ans, où les deux clubs étaient descendus en ne comptant qu’un (2015-2016) et quatre points (2013-2014) de retard sur le 17e.
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