Santé
Accident vasculaire cérébral : Connaitre les signes pour sauver des vies
L’accident vasculaire cérébral (l’AVC) ou attaque cérébrale est une défaillance de la circulation du sang qui affecte une région plus ou moins importante du cerveau. L’AVC survient après une obstruction ou une rupture d’un vaisseau sanguin provoquant la mort de cellules nerveuses.
L’AVC comme la plupart des maladies, a des symptômes avant-coureurs qui lorsqu’ils sont vite détectés, évite la mort du patient ou des séquelles physiques. Un patient apparemment sain et en bonne santé peut faire un AVC car l’hypertension et l’hypercholestérolémie en sont les facteurs principaux. Pour sauver des vies, certains comportements sont à adopter en face d’une personne qui se sent mal. Premièrement, lui demander de sourire. Deuxièmement, lui demander de dire une phrase simple (ex : je vais manger du …). Ensuite, de lever les deux bras en même temps. Enfin, lui demander de tirer la langue. Si une ou plusieurs de ces actions lui sont difficiles ou impossibles, il faudra conduire la personne à l’hôpital pour une prise en charge. Ces symptômes sont ceux d’un potentiel AVC.
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C’est une maladie qui avance lentement et s’infiltre assez facilement dans la bouche. Quand elle n’est pas soignée rapidement, elle se transforme en parodontite. Cette transformation mène à la perte de chacune de vos dents.
Santé: Découvrez la gingivite la maladie qui détruit silencieusement la bouche
C’est le tartre composé par le dépôt des bactéries sur les dents quotidiennement qui provoque la gingivite quand les règles élémentaires d’hygiène ne sont pas respectées. C’est-à-dire se brosser les dents tous les jours. Il est recommandé de consulter également au moins une fois par an un dentiste.
Notez que les femmes enceintes sont particulièrement exposées à la gingivite. Les changements hormonaux entraînent parfois la production d’une importante quantité de tissu gingival. Les inflammations des gencives sont plus présentes au cours de la grossesse. Elles doivent, par précaution, se rendre régulièrement chez leur dentiste au cours du processus de la grossesse, et quelques mois après l’accouchement. Selon l’OMS, plus de la moitié des personnes âgées de 15 à 45 ans sont concernés par cette maladie.Il faut donc faire attention pour éviter des problèmes dentaires. Les malades du diabète, du sida ou de la leucémie sont disposés à avoir plus facilement et de manière chronique, la gingivite. LARISSA K. AFRK.MAG
Le Moringa est connu depuis la nuit des temps dans les pharmacopées indiennes et africaines pour les bienfaits de ses racines, ses graines, mais aussi son écorce, ses fleurs, ses fruits et ses feuilles !
Le Moringa que les Sénégalais appellent "Nébédaye" et les Français "Neverdier", de l’anglais "never die" c’est-à-dire "qui ne meurt jamais", est un alicament tout à fait surprenant. Il est connu depuis la nuit des temps dans les pharmacopées indiennes et africaines pour les bienfaits de ses racines, ses graines, mais aussi son écorce, ses fleurs, ses fruits et ses feuilles. Quelles sont ses vertus ? Comment l’utiliser ? Pour quoi l’employer ? Originaire du nord de l’Inde et du Sri Lanka, le Moringa oleifera a été progressivement implanté partout où cela était possible, c’est-à-dire dans les zones équatoriales et tropicales. Cet arbre à la vivacité surprenante qui peut atteindre plus de 10 mètres de haut en s’enracinant solidement sur les sols fertiles comme les plus pauvres, est si résistant à la sécheresse qu’il peut s’adapter aux régions les plus arides. Et c’est tant mieux, parce que tout en lui est une bénédiction pour la santé : → ses fruits verts au goût sucré et épicé que l’on cuisine comme des légumes sont extrêmement nutritifs, → ses graines aux multiples vertus, produisent notamment une huile réputée pour être adoucissante et soulager les agressions du soleil ainsi que la sécheresse cutanée, → ses fleurs blanches à la saveur de champignon, ont une action tonique, → son écorce est traditionnellement mâchée ou ajoutée à la soupe pour soigner la toux, → ses racines sont utilisées comme condiment, en infusion ou cataplasme pour lutter contre le paludisme, l’asthme ou les douleurs articulaires, → quant à ses feuilles couleur émeraude, dont les usages sont gigantesques, elles ont de fabuleuses propriétés. Elles présentent d’ailleurs un spectre thérapeutique si vaste que chaque culture les utilisant dans sa pharmacopée traditionnelle, en aura fait un usage différent. Quelques exemples parmi tant d’autres : → remédier aux morsures de serpent, → désinfecter les plaies, → stimuler l’appétit, → réduire les inflammations, → ou encore débarrasser des parasites intestinaux… Le pouvoir purificateur des graines de Moringa Quand on a faim, quand on digère, quand on stresse, notre ventre fait des gargouillis, d’où cela provient-il ? Et quelle en est la raison exacte ?Ces bruits effectués par l’appareil digestif ou borborygmes sont totalement naturels. Quand le ventre est vide, il se remplit d’air ce qui justifie l’augmentation des bruits du ventre. En fait, les bruits du ventre sont la conséquence de l’air situé dans ce ventre. L’appareil digestif se contracte et quand il est vide, cela fait de l’air. Ensuite, c’est l’intestin qui joue un rôle important quand il se contracte : Cet intestin est une sorte de long organe comprimé dans le ventre humain. Quand la digestion démarre, l’estomac vide son air dans l’intestin ce qui provoque des bruits. En effet, il ne faut pas oublier que l’intestin est un organe long de 6 m, d’où des contractions qui ont lieu régulièrement. Les nombreux mouvements de l’intestin ont pour conséquence des bruits dans le ventre. Les bruits du ventre sont un phénomène naturel et le souci serait justement de ne pas en avoir. De la même manière que le cœur bat, que les muscles permettent de nous déplacer, les intestins et les bruits qu’ils émettent sont un phénomène naturel. Pour diminuer ces bruits, il faut éviter les boissons gazeuses ou les aliments qui provoquent une fermentation dans les intestins comme le chou par exemple et se masser un peu le ventre. Aussi insolite que cela puisse paraître, les premiers préservatifs inventés étaient faits à partir d’intestins d’animaux.
Concrètement, l’histoire atteste de l’utilisation des préservatifs depuis plusieurs millénaires. En effet, on sait que 3000 ans av. J.-C, les Égyptiens notamment ne voulaient pas contracter des maladies vénériennes lors des rapports sexuels. Pour ce faire, ils utilisaient des boyaux de mouton et des morceaux de vessies de porcs. Ensuite, le préservatif se transforma petit à petit avec le recours à des matières telles que le velours, la soie et autres tissus.
Les objectifs de l’utilisation de ces préservatifs étaient similaires à ceux d’aujourd’hui: ne pas avoir de maladies et comme moyen de contraception. À partir de 1844, un certain Charles Goodyear développa la production de masse des préservatifs en caoutchouc avec les mêmes procédés que pour la production des pneus. Ce préservatif en caoutchouc initial était réutilisable et lavable. C’est à partir des années 1880 que le préservatif fut produit en latex, un modèle qui se démocratisa lentement. Dès la 1re Guerre mondiale, le développement des préservatifs augmenta en production, car les soldats avaient contracté de nombreuses maladies vénériennes en fréquentant notamment les péripatéticiennes durant leur périple. Sinon, avant le XIXe siècle et la production de masse, les préservatifs étaient fabriqués à base d’intestins d’animaux de ferme. On peut trouver cela dérangeant, sale, malvenu, mais toujours est-il que cela fait partie de notre patrimoine culturel et historique. Il faut faire un lien entre l’apparition des préservatifs en caoutchouc avec les recherches en sciences physiques et chimiques durant le XIXe siècle. Auparavant, les recherches dans ces domaines existaient déjà, mais étaient encore balbutiantes, d’où l’apparition de ces inventions en même temps que l’intensification des progrès en sciences dites «dures». Le préservatif est à ce jour le meilleur moyen pour prévenir les maladies sexuellement transmissibles, par conséquent, n’hésitez surtout pas à les utiliser. Vous pourriez penser que vous vous faites du bien, mais prendre une douche tous les jours est mauvais pour vous, affirment les chercheurs.
Selon des chercheurs, ayant réalisé deux études distinctes, l’apparition d’une épidémie de l’acné pourrait nuire à notre microbiome c’est-à-dire la communauté des microbes qui vivent sur notre corps, rapporte le site anglais Daily Mail.
Des études ont montré que prendre une douche tous les jours en utilisant des shampooings et du savon dépouillent des cheveux d’une personne et sa peau de son éventail de microbes. Le microbiome d’une personne est important parce que sans cela, le système immunitaire, la digestion et le cœur pourraient être entravés dans leur bon fonctionnement. Ce serait naturel de penser que si quelqu’un arrête de se doucher, il commencerait à se sentir mal dans sa peau ou même dégager parfois des odeurs gênantes. Mais cette odeur n’est que le résultat de la douche en premier lieu, disent certains. L’ingénieur chimiste Dave Whitlock ne s’est pas douché depuis une dizaine d’années pour sauver ses bactéries. En juin de l’année dernière, James Hamblin, de The Atlantique, a écrit sur la façon dont il a cessé de se doucher pendant deux ans pour voir ce qui s’est passé. « Au début, j’étais une bête huileuse et odorante. L’odeur des corps est le produit de bactéries qui vivent sur notre peau et se nourrissent des sécrétions huileuses de la sueur et des glandes sébacées à la base de nos follicules pileux », a-t-il dit. Mais M. Hamblin a déclaré après une longue période sans prendre de bain, « votre écosystème atteint un état stable, et vous arrêtez de sentir mauvais ». « Je veux dire, vous ne sentez pas comme l’eau de rose ou Axe Body Spray, mais vous n’avez pas l’odeur de B.O. Tu sens juste comme une personne ». Dans l’étude menée par la firme de Cleveland AOBiome, les volontaires humains utilisant les bactéries ont rapporté un meilleur état de leur peau et une meilleure apparence que le groupe qui prend sa douche tous les jours. Thierno Malick Ndiaye avec Afrikmag
Si la plupart des cancers de l’estomac sont dus à la bactérie Helicobacter pylori et à des facteurs génétiques, certaines pratiques quotidiennes peuvent aussi jouer un rôle dans le développement de cette maladie. Aliments, boissons, hygiène de vie… Découvrez les mauvaises habitudes qui malmènent votre estomac, avec les explications du Dr Alain Landivier, gastro-entérologue.
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