PRÉCISION ROYAL BTP
"Monsieur le Directeur, c’est avec une grande surprise que nous avons découvert sur votre site un article dont le titre “Sénégal- Universités de Tamba et Matam: Le « sulfureux » homme d’affaires malien, Ibrahim KARAGNARA au coeur d’un gros scandale de 140 milliards de FCFA. EXCLUSIF” met en cause notre société.
C’est donc avec beaucoup de respect que je viens vous apporter les précisions suivantes :
D’abord, Royal BTP est une entreprise qui jouit d’une très bonne réputation dans son secteur d’activité avec la confiance de l’ensemble de nos clients, partenaires et collaborateurs. Partout où nous travaillons nous jouissons d’une image de marque à la haute de notre renommée, de l’efficacité et du sérieux dans l’exécution de notre contrat.
Je voudrais vous signaler que concernant les chantiers de construction des universités de Tambacounda et de Matam, nous avons exécuté les travaux à hauteur de souhait et le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Dr Abdourahmane DIOUF, qui s’est rendu jeudi 05 septembre 2024 à Matam et Tambacounda pour visiter les chantiers en compagnie de son cabinet et des services techniques, s’est réjoui de l’avancée des travaux exécutés à hauteur de 25% là où d’autres n’en seraient qu’à la moitié.
Je vous cite ici le journal « LE QUOTIDIEN » dans sa parution du 7 septembre 2024 qui ecrit : “Le niveau d’exécution des travaux de construction de l’Université du Sénégal oriental s’élève à 25%, a indiqué, jeudi, le ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, Abdourhamane Diouf, espérant que les enseignements pourront débuter, au plus tard, à partir d’octobre 2026. «On est à 25% de taux d’exécution des travaux, là où on aurait pu s’attendre à 12 ou 15%», a-t-il déclaré lors d’une visite des chantiers de l’Université du Sénégal Oriental en compagnie du Gouverneur de la région de Tambacounda, Guedj Diouf, et des autorités locales.
Selon le ministre, «le chantier est en avance par rapport aux prévisions (…)». Il a relevé que sur les 27 bâtiments de l’université, il y en a déjà 21 qui sont sortis de terre avec une qualité «remarquable et au-delà nos prévisions». A ce rythme, le ministre dit espérer qu’au plus tard «en octobre 2026, les cours pourront commencer ici à l’Université du Sénégal oriental. Et si l’entrepreneur fait des efforts supplémentaires, nous pourrons réceptionner l’université bien avant».
Toutes les surenchères autour des travaux sont orchestrées par nos concurrents dans le funeste dessein de ternir l’image d’une entreprise soucieuse de la qualité de ses travaux. Notre environnement très concurrentiel abrite encore des entreprises aux méthodes peu orthodoxes.
Enfin, Monsieur le Directeur, je vous saurais gré de bien vouloir publier ces précisions, pour éclairer vos lecteurs sur les tenants et aboutissants de ce dossier dans le respect de l’usage de notre droit de réponse conformément à l’orthodoxie de votre métier.
M. Dramane KONE
Directeur de la communication et des relations publiques
Royal BTP
"Monsieur le Directeur, c’est avec une grande surprise que nous avons découvert sur votre site un article dont le titre “Sénégal- Universités de Tamba et Matam: Le « sulfureux » homme d’affaires malien, Ibrahim KARAGNARA au coeur d’un gros scandale de 140 milliards de FCFA. EXCLUSIF” met en cause notre société.
C’est donc avec beaucoup de respect que je viens vous apporter les précisions suivantes :
D’abord, Royal BTP est une entreprise qui jouit d’une très bonne réputation dans son secteur d’activité avec la confiance de l’ensemble de nos clients, partenaires et collaborateurs. Partout où nous travaillons nous jouissons d’une image de marque à la haute de notre renommée, de l’efficacité et du sérieux dans l’exécution de notre contrat.
Je voudrais vous signaler que concernant les chantiers de construction des universités de Tambacounda et de Matam, nous avons exécuté les travaux à hauteur de souhait et le ministre de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, Dr Abdourahmane DIOUF, qui s’est rendu jeudi 05 septembre 2024 à Matam et Tambacounda pour visiter les chantiers en compagnie de son cabinet et des services techniques, s’est réjoui de l’avancée des travaux exécutés à hauteur de 25% là où d’autres n’en seraient qu’à la moitié.
Je vous cite ici le journal « LE QUOTIDIEN » dans sa parution du 7 septembre 2024 qui ecrit : “Le niveau d’exécution des travaux de construction de l’Université du Sénégal oriental s’élève à 25%, a indiqué, jeudi, le ministre de l’Enseignement supérieur, de la recherche et de l’innovation, Abdourhamane Diouf, espérant que les enseignements pourront débuter, au plus tard, à partir d’octobre 2026. «On est à 25% de taux d’exécution des travaux, là où on aurait pu s’attendre à 12 ou 15%», a-t-il déclaré lors d’une visite des chantiers de l’Université du Sénégal Oriental en compagnie du Gouverneur de la région de Tambacounda, Guedj Diouf, et des autorités locales.
Selon le ministre, «le chantier est en avance par rapport aux prévisions (…)». Il a relevé que sur les 27 bâtiments de l’université, il y en a déjà 21 qui sont sortis de terre avec une qualité «remarquable et au-delà nos prévisions». A ce rythme, le ministre dit espérer qu’au plus tard «en octobre 2026, les cours pourront commencer ici à l’Université du Sénégal oriental. Et si l’entrepreneur fait des efforts supplémentaires, nous pourrons réceptionner l’université bien avant».
Toutes les surenchères autour des travaux sont orchestrées par nos concurrents dans le funeste dessein de ternir l’image d’une entreprise soucieuse de la qualité de ses travaux. Notre environnement très concurrentiel abrite encore des entreprises aux méthodes peu orthodoxes.
Enfin, Monsieur le Directeur, je vous saurais gré de bien vouloir publier ces précisions, pour éclairer vos lecteurs sur les tenants et aboutissants de ce dossier dans le respect de l’usage de notre droit de réponse conformément à l’orthodoxie de votre métier.
M. Dramane KONE
Directeur de la communication et des relations publiques
Royal BTP