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Sénégal: Me Wade Juge Inutile La FAO

Présidant la deuxième édition du forum Dakar agricole, le président sénégalais Me Abdoulaye Wade a jugé inutile la FAO dans la lutte antiacridienne. Le président sénégalais se désole de cette institution qui, d’après lui, n’apporte rien à l’Afrique. Il défie quiconque.


Rédigé par leral.net le Jeudi 21 Avril 2011 à 04:30 | | 10 commentaire(s)|

Sénégal: Me Wade Juge Inutile La FAO
La deuxième édition du forum international Dakar agricole s’est terminée hier dans la capitale sénégalaise ; pendant trois jours, des experts se sont penchés sur plusieurs questions concernant l’agriculture ; 500 participants ont assisté à cette importante rencontre de Dakar ; ils viennent de divers horizons. Présidant la cérémonie d’ouverture, le chef de l’Etat sénégalais, Me Abdoulaye Wade, a jugé ‘’inutile’’ l’existence de la FAO qui est, selon lui, ‘’une grosse machine qui emploie énormément de travailleurs’’.

« La FAO aujourd’hui est inutile sauf dans la lutte antiacridienne’’, a-fait savoir Me Wade lors de l’ouverture des travaux de la deuxième édition du forum international Dakar Agricole qui vient de s’achever au méridien président de Dakar. Le président sénégalais se demande sur ce que la FAO a fait dans GOANA (la Grande offensive agricole pour la nourriture et l’abondance).

Qu’est ce qu’elle a fait ?’’, s’est interrogé le chef de l’Etat Sénégalais.
Avant d’ajouter:‘’ Je dis qu’on peut s’en passer. C’est une grosse machine qui est à Rome (Italie) qui emploie énormément de travailleurs dont la plupart d’ailleurs ne sont pas des Africains. Il faut dire aussi les choses’’. Me wade se plaint de cette situation, en soulignant que les gens avaient levé les boucliers, lorsqu’il avait demandé le transfert du siège de la FAO en Afrique.‘
‘’Il n’y a pas une organisation internationale (de l’agriculture) qui a son siège en Afrique. Depuis, on parle beaucoup, mais toutes on leur siège en Europe ou aux Etats-Unis, même celles qui nous concernent directement’’, s’indigne Me Wade.

En tout cas, il est nécessaire d’apporter à ce secteur agricole et à ces acteurs la « protection institutionnelle » nécessaire. Il faut développer une agriculture à deux vitesses dont l’une peut être assimilée à des entreprises qui doivent fonctionner, comme celle des autres secteurs et une autre, constituée par les paysans, qui, elle , a besoin d’appui.


(Plus d'informations demain sur leral .net)


1.Posté par samba le 21/04/2011 06:33 | Alerter
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TOUS LES AFRICAINS INTELLIGENTS ET DE BONNE FOI SUPPORTENT VOTRE PROPOSITION. SI LA FAO EST INCOMPÉTENTE, ELLE DOIT CÉDER LA PLACE À UNE NOUVELLE ORGANISATION QUI SUPPORTE NOS INTÊRETS.

2.Posté par samba le 21/04/2011 06:33 | Alerter
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LETTRE OUVERTE AU PRÉSIDENT WADE

Monsieur le président, encore une fois de plus le peuple fait appel à vous !

Il y a une occupation illégale à la plage de Hann Marinas dans un domaine public

M. Oumar Massassy Coulibaly, un gendarme et colonel établi à la Présidence compte construire une maison sur 248 mètres carrés de cette petite portion de plage.


3.Posté par omar seck le 21/04/2011 08:31 (depuis mobile) | Alerter
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je crois que la FA0 n'est un moyen pour encore coloniser les pays africains.comment cette institution s'installe en eur

4.Posté par fama le 21/04/2011 08:39 | Alerter
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ce voyou ne vise pas la FAO...mais son directeur général.................c est un ingrat..........parceque JACQUE DIOUF est a la commande...........seulement..............

5.Posté par LAYE le 21/04/2011 09:25 | Alerter
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Ok la FAO est inutile mais Ablaye lui est tout simplement nuisible et néfaste.

6.Posté par GANE le 21/04/2011 11:37 | Alerter
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MERCI LAYE.UN PRESIDENT QUI NE S'OCCUPE PAS DE SES OIGNONS.reglééle courant bi mo guene ton diarrhée verbale

7.Posté par sedikh le 21/04/2011 11:46 | Alerter
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mais moi je comprends pas pourquoi wade est aussi déterminé à éliminer la FAO
cette institution fait un remarquable travail d'aide au développement de l'agriculture, la FAO est juste une institution qui accompane le development de lagriculture d'un pays avec un programme bien fait pour tout le monde pas pour le sénégal seulement. mais wade veut que la FAO vient financer son projet GOANA mais au non de quoi la FAO doit faire cela et si le Mali demande son GOANA, le niger, le ghana, la nigéria etc..... mais ou la FAO va trouver cette somme pour financer le goana de chaque pays la FAO accompagne et aide le developpement du monde agricole wade est un manipulateur il faut faire attention, si na pas ce qu'il veut ou wade n'arrive à te manipuler il te casse, LA FAO n'est pas manipulable. En plus cher senegalais si tu vois un expert et un luteur ou un ouvrier ils n'ont pas les capacité de réflexion et d'apport sur le plan économique et scientifique, donc l'ouvrier il est sous le soleil et l'expert est sous le clim c'est normal donc les experts qui sont à Rome à la FAO et les experts locaux sont des gens qui doivent une tres bonnes condition de travail pour réfléchir et creer de l'emploi et le meilleur approche pour aider à améliorer la qualité devie du cultivateur tout s'appuyant des donnée réel que lui fourni le cultivateur ou bien l-ouvrier qui est sous le soleil mais cela la vie c'est ainsi.
mais regarde et dite moi cher Senegalais dite juste dans le monde ou nous sommes avec tous les inlectuelle que existent dans tous les paye du monde dit moi qui est le toubap ou le chinois , ou l'américain ou l'arabe qui gére 04 Ministéres aulieu de parler la disparition de la FAO pourquoi ne parle de son fils qui unique au mode pour gérer 04 Ministéres avant de cririquer un compatriote Sénégal qui dirrige la FAO depuis des années.comment pouvez vous accepter de critiquer la FAO sans vous renseigner du role de la FAO et l'aide qu'elle apporte dans le monde et des millions d"emploi.
pourquoi il y a que wade seul dans le monde qui demande de supprimer la FAO
pourquoi vous n'avez rien dit sur les milliard qu'il à mis dans ses statue, ses pont aulieu de la mettre dans le developpement de l'agriculture et du monde rural, comment pouvez vous dire que la FAO est unite et il ya que les Sénégalis qui disent cela uniquement les Sénégalais car il suit un idiot de président qui ne pense qu'a lui ou ses projet personnel. c'est dommage, trop domage pour un tel pays, c'est plus le pays de Kéba Mbaye ou de Maitre Seye ou de LAITY KAMA

8.Posté par Bozz le 21/04/2011 15:34 | Alerter
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C'est une Position;et chacun à ce droit.

9.Posté par Sunugal le 22/04/2011 01:05 | Alerter
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Wade may gnou Afia way. La FAO n'est pas un opérateur mais une institution. Tu n'as qu'à avoir la volonté de changer l'agriculture via ton ministère

Sinon tu retires le Sénégal de la FAO c'est tout.

Beugoulou kou tecki, Jacques Diouf est mieux que toi sur tout. Tu ne l'as pas aidé pour avoir ce poste, c'est son 3ième mandat. Il était à la FAO au temps de Abdou DIOUF

Mack mou sokhat gua yaw

10.Posté par gun le 22/04/2011 18:13 | Alerter
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Wade est un aigri. il veut seulement humilier Jacques Diouf. L'objectif de Wade ce n'est pas la Fao mais Jacques Diouf. Jetez un coup d'oeil sur le Cv du DG de la FAO, notre compatriote Jacques Diouf :

DONNÉES PERSONNELLES
Date de naissance :1er août 1938
Lieu de naissance :Saint-Louis, Sénégal
Nationalité :Sénégalais
Situation de famille :Marié avec Aïssatou Seye en 1963 et père de cinq enfants


FORMATION
Primaire
Certificat d'études primaires à l'École Duval, Saint-Louis (Sénégal)

Secondaire
Baccalauréat, sciences expérimentales, Lycée Faidherbe, Saint-Louis (Sénégal)

Universitaire
Diplôme d'ingénieur en agronomie de l'École nationale d'agriculture de Grignon-Paris (France)
Diplôme d'ingénieur en agronomie tropicale de l'École nationale d'application d'agronomie tropicale de Nogent - Paris (France)
Doctorat ès Sciences sociales du monde rural (Économie rurale) de la Faculté de droit et de sciences économiques - Panthéon - Sorbonne, Paris (France)



FORMATION PRATIQUE
Certificat en gestion des entreprises de l'American Management Association, New York (États-Unis);

Certificat supérieur en gestion des entreprises de l'American Management Association, New York (États-Unis).

LANGUES
Wolof, français, anglais, espagnol
CARRIÈRE
8 novembre 1993
Élu Directeur général de la FAO le 8 novembre 1993 (prise de fonctions 1er janvier 1994), Rome (Italie);

mai 1991 - décembre 1993
Ambassadeur, Mission permanente du Sénégal aux Nations Unies, New York (États-Unis);

1990 - 1991
Conseiller spécial du Gouverneur de la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest, Dakar (Sénégal);
1985 - 1990
Secrétaire général de la Banque centrale des Etats de l'Afrique de l'Ouest, Dakar (Sénégal);
1984 - 1985
Conseiller du Président et Directeur régional du Centre de recherche pour le développement international, Ottawa (Canada);
1983 - 1984
Député à l'Assemblée nationale du Sénégal ;
Président de la Commission parlementaire des affaires étrangères et Secrétaire élu;
Président du groupe d'amitié parlementaire Sénégal-Royaume-Uni;
Député confédéral sénégambien, Dakar-Banjul (Sénégal-Gambie);

1978 - 1983
Secrétaire d'État à la recherche scientifique et technique du Sénégal, Dakar (Sénégal);
1971 - 1977
Secrétaire exécutif de l'Association pour le développement de la riziculture en Afrique de l'Ouest, Monrovia (Libéria);
1965 - 1971
Secrétaire exécutif du Conseil africain de l'arachide, Lagos (Nigéria);
1963 - 1964
Directeur européen et du Programme agricole de l'Office de commercialisation agricole, Paris-Dakar (France-Sénégal)
AUTRES FONCTIONS
M. Diouf a également assumé, au cours de sa carrière, d'autres responsabilités importantes. Il a été notamment:
Représentant de l'Afrique au Groupe consultatif de la recherche agricole internationale, Washington D.C. (États-Unis);
Membre du Conseil d'administration des centres internationaux de recherche agricole: CIRAF, Nairobi (Kenya), SIRAN, La Haye (Pays-Bas), IITA, Lagos (Nigéria), ainsi que de l'Institut international de recherche scientifique pour le développement en Afrique, Adiopodoumé (Côte d'Ivoire), et de la Fondation internationale pour la Science, Stockholm (Suède);
Membre du Conseil de la Fondation islamique de la science et la technologie pour le développement, Djeddah (Arabie saoudite);
Membre du Comité consultatif de la recherche médicale et du Comité de transfert de la technologie. Inscrit au tableau d'experts pour l'administration de la santé publique et la recherche médicale, OMS, Genève (Suisse);
Membre du Comité des conseillers africains de la Banque mondiale, Washington D.C. (États-Unis);
Conseiller du projet de financement international de la conservation de la nature, Institut mondial des ressources naturelles, Washington D.C. (États-Unis);
Membre du Conseil de l'Institut mondial de recherche pour le développement économique de l'Université des Nations Unies, Helsinki (Finlande);
Membre du Conseil exécutif de la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique, Harare (Zimbabwe);
Président du Conseil d'administration du Centre régional africain de technologie - CRAT, Dakar (Sénégal), de la Société industrielle pour les applications de l'énergie solaire, Dakar (Sénégal) et de la Fondation pour le développement de la science et de la technologie, Dakar (Sénégal).


AUTRES FONCTIONS
M. Diouf a également assumé, au cours de sa carrière, d'autres responsabilités importantes. Il a été notamment:
Représentant de l'Afrique au Groupe consultatif de la recherche agricole internationale, Washington D.C. (États-Unis);
Membre du Conseil d'administration des centres internationaux de recherche agricole: CIRAF, Nairobi (Kenya), SIRAN, La Haye (Pays-Bas), IITA, Lagos (Nigéria), ainsi que de l'Institut international de recherche scientifique pour le développement en Afrique, Adiopodoumé (Côte d'Ivoire), et de la Fondation internationale pour la Science, Stockholm (Suède);
Membre du Conseil de la Fondation islamique de la science et la technologie pour le développement, Djeddah (Arabie saoudite);
Membre du Comité consultatif de la recherche médicale et du Comité de transfert de la technologie. Inscrit au tableau d'experts pour l'administration de la santé publique et la recherche médicale, OMS, Genève (Suisse);
Membre du Comité des conseillers africains de la Banque mondiale, Washington D.C. (États-Unis);
Conseiller du projet de financement international de la conservation de la nature, Institut mondial des ressources naturelles, Washington D.C. (États-Unis);
Membre du Conseil de l'Institut mondial de recherche pour le développement économique de l'Université des Nations Unies, Helsinki (Finlande);
Membre du Conseil exécutif de la Fondation pour le renforcement des capacités en Afrique, Harare (Zimbabwe);
Président du Conseil d'administration du Centre régional africain de technologie - CRAT, Dakar (Sénégal), de la Société industrielle pour les applications de l'énergie solaire, Dakar (Sénégal) et de la Fondation pour le développement de la science et de la technologie, Dakar (Sénégal).



DÉCORATIONS
2007 – Invité d’honneur, Santiago del Estero (Argentine)

2007 - Croix de Commandeur de l’Ordre du mérite de la République de Hongrie

2006 - Grand-Croix «Pro Merito Melitensi» (Ordre de Malte)

2006 - Grand-Croix de l'Ordre national de la Croix du Sud (Brésil)

2005 - Ordre de l’indépendance jordanienne, première catégorie

2005 - Commandeur de l’Ordre National du Mali

2005 - Décoration Hilal (Pakistan)

2005 - Grand Maître de l'Ordre National (République de Madagascar)

2004 - Grand-Croix de l’Ordre du Cœur d’or (Philippines)

2004 - Ordre d’Ulises Rojas (Guatemala)

2004 - Décoration nationale de l’Ordre «Vasco Núñez de Balboa» (Panama)

2004 - Médaille d’honneur du Congrès (Philippines)

2003 - Médaille de commandeur de l’Ordre du mérite national (Mauritanie)

2003 - Médaille de Saint-Georges (première catégorie), Honneur, grandeur, travail, Institut «Golden Fortune» (Ukraine)

2003 - Ordre de la Toison d'or (République de Géorgie)

2003 - Chevalier Grand-Croix (première classe) de l'Ordre de l'Éléphant blanc (Thaïlande)

2002 - Grande Croix (Pérou)

2002 - Commandeur de l’Ordre de Saint Charles (Monaco)

2001 - Grande Croix de l'Ordre du Quetzal (Guatemala)

2001 - Décoration de l'Ordre national du mérite de coopération et de développement (Guinée-Bissau)

2000 - Décoration des deux Nils (première catégorie) (Soudan)

2000 - Premier degré de l'Ordre du «Dragoeiro» (Cap-Vert)

1999 - Médaille d'Honneur, Ministère de l'Agriculture et de l'Alimentaton (Géorgie)

1998 - Grande Croix de l'Ordre de Mai au Mérite (Argentine)

1998 - Commandeur de la Légion d'honneur (France)

1998 - Ordre de la Solidarité (Cuba)

1998 - Décoration de première classe «Henri Pittier» (Venezuela)

1998 - Grand Maître de l'Ordre National de la Grande Étoile (Djibouti)

1998 - Grand Maître de l'Ordre de l'Étoile Jaune (Suriname)

1997 - Commandeur de l'Ordre de l'Étoile d'Anjouan (Comores)

1997 - Commandeur de l'Ordre National (Madagascar)

1996 - Grande Croix de l'Ordre du Mérite de l'agriculture, de la pêche et de l'alimentation (Espagne)

1996 - Ordre de Gedimin (Lituanie)

1996 - Commandeur de la République de l'Uruguay (Uruguay)

1996 - Ordre du Mérite «Mère Theresa», Tirana (Albanie)

1995 - Commandeur avec la mention de Très Grand Mérite Spécial de l'Ordre du Mérite Agricole, Québec (Canada)

1995 - Grand Officier de l'Ordre de la Valeur (Cameroun)

1995 - Commandeur de l'Ordre National (Côte d'Ivoire)

1995 - Commandeur de l'Ordre du mérite centrafricain (République centrafricaine)

1994 - Condecoración de Samán de Aragua en su Primera Clase, État d'Aragua (Venezuela)

1979 - Officier des Palmes académiques (France)

1978 - Officier de la Légion d'honneur (France)

1977 - Grand Commandeur de l'Ordre de l'Étoile de l'Afrique (Libéria)
DISTINCTIONS ACADÉMIQUES
2007 – Licence honoris causa en sciences des systèmes de cultures et du milieu agricole de l’Université de Pérouse

2005 – Docteur honoris causa, Conseil scientifique de l'Académie d'agronomie (Azerbaïdjan)

2004 – Docteur honoris causa, Université Szent István (Hongrie)

2004 – Docteur honoris causa, Académie agricole arménienne (Arménie)

2004 – Docteur honoris causa, Faculté d’agronomie et de médecine vétérinaire de l’Université de Buenos Aires (Argentine)

2003 – Docteur honoris causa, Université nationale d'agriculture (Ukraine)

2002 – Docteur honoris causa, Université de Saint-Dominique (République dominicaine)

2002 – Docteur honoris causa, Université nationale agricole «La Molina» (Pérou)

2000 - Membre étranger de l'Académie d'agriculture de France, Paris (France)

2000 - Docteur honoris causa, Université tchèque d'agriculture, Prague, (République tchèque)

2000 - Membre fondateur et membre d'honneur, Académie des Sciences et Techniques du Sénégal, Dakar

1999 - Docteur honoris causa, Université agricole d'État (Géorgie)

1998 - Docteur honoris causa, Université polytechnique de Madrid (Espagne)

1998 - Membre de l'Académie des sciences agricoles (Inde)

1996 - Médaille d'Honneur, Université de Tartu (Estonie)

1996 - Doctorat honoris causa ès science, Université Laval, Québec (Canada)

1996 - Docteur ad honorem en sciences agricoles de l'Université de Tuscia (Italie)

1995 - Professeur honoraire, Université agricole de Chine, Beijing (Chine)

1995 - Diplôme honoris causa en sciences agricoles de l'Université de Nitra (République slovaque)

1994 - Diplôme de "Membre honoraire" de l'Academia de Stünte Agricole si Silvice Gheorghe Ionescu Sisesti (Roumanie)
PUBLICATIONS
«Ethique scientifique et problématique alimentaire» - Communication à l’Académie des Sciences de France, Discours et notices biographiques de l’Académie des Sciences, Première Edition, Paris, 1998
«Eloges de Senghor» - Discours à la cérémonie solennelle en hommage à Monsieur Léopold Sedar Senghor à l’occasion de son quatre-vingt-dixième anniversaire, Présence Senghor, Unesco, Paris, 1996
«The Challenge of Agricultural Development in Africa» - Groupe consultatif de la recherche agricole internationale, Banque mondiale, Conférence commémorative Sir John Crawford, 1989, Washington D.C., Etats-Unis
«Intérêts et objectifs de l'Afrique dans les Sommets francophones, nouvel instrument des relations internationales» - Centre québécois des relations internationales, Collection Choix, 1988, Québec, Canada
«Le fondement du dialogue scientifique entre les civilisations euro-occidentales et négro-africaines» - Dialogue Westeuropa Schwarzafrica, Verlag Fritz Molden, 1979, Vienne, Autriche
«La détérioration du pouvoir d'achat de l'arachide» - Club Nation et Développement, Présence africaine, 1972, Paris, France.






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