Il a toutefois indiqué au cours d'un point de presse qu'une journée de pluies suffit quelquefois à réduire à zéro le travail d'une semaine accompli par les équipes techniques chargées du pompage et de l'évacuation des eaux de pluies des zones inondées.
Un plan national ORSEC a été lancé jeudi dernier par le Premier ministre Cheikh Hadjibou Soumaré qui avait annoncé auparavant que 300 millions de francs CFA seront mobilisés par le gouvernement pour lutter contre les inondations. Ce budget, destiné aux sapeurs pompiers, devait servir à la mobilisation et à la mise en fonction de motopompes pour évacuer les eaux.
Depuis, le Groupement national des sapeurs pompiers (GNSP) procède au pompage des eaux pluviales, pour des milliers de personnes touchées par les inondations.
Mais les dernières précipitations ont rendu plus difficile l'évacuation des eaux, alors que les bassins de rétention de la banlieue font le plein, au point de déborder dans les habitations.
Le gouverneur de Dakar, qui faisait le point de situation à la presse, a précisé que la capitale est "la plus touchée en raison de l'imperméabilité du sol due à la forte urbanisation".
Cette situation, a-t-il poursuivi, "a entraîné le débordement des nappes permanentes des bassins de rétention et le remplissage de la nappe phréatique qui affleure à certains endroits".
Dans le détail, le GNSP a mobilisé 97 motopompes de débit et de capacités variables pour ses interventions au niveau de 74 sites de pompage dont 39 à Dakar, 16 dans les régions de Thiès et Diourbel, 9 dans les régions de Kaolack et Fatick.
Treize sites de pompage existent dans les régions de Saint-Louis et Louga, deux dans les régions de Ziguinchor et Kolda, contre un site dans la ville de Touba.
Un plan national ORSEC a été lancé jeudi dernier par le Premier ministre Cheikh Hadjibou Soumaré qui avait annoncé auparavant que 300 millions de francs CFA seront mobilisés par le gouvernement pour lutter contre les inondations. Ce budget, destiné aux sapeurs pompiers, devait servir à la mobilisation et à la mise en fonction de motopompes pour évacuer les eaux.
Depuis, le Groupement national des sapeurs pompiers (GNSP) procède au pompage des eaux pluviales, pour des milliers de personnes touchées par les inondations.
Mais les dernières précipitations ont rendu plus difficile l'évacuation des eaux, alors que les bassins de rétention de la banlieue font le plein, au point de déborder dans les habitations.
Le gouverneur de Dakar, qui faisait le point de situation à la presse, a précisé que la capitale est "la plus touchée en raison de l'imperméabilité du sol due à la forte urbanisation".
Cette situation, a-t-il poursuivi, "a entraîné le débordement des nappes permanentes des bassins de rétention et le remplissage de la nappe phréatique qui affleure à certains endroits".
Dans le détail, le GNSP a mobilisé 97 motopompes de débit et de capacités variables pour ses interventions au niveau de 74 sites de pompage dont 39 à Dakar, 16 dans les régions de Thiès et Diourbel, 9 dans les régions de Kaolack et Fatick.
Treize sites de pompage existent dans les régions de Saint-Louis et Louga, deux dans les régions de Ziguinchor et Kolda, contre un site dans la ville de Touba.