"Aujourd'hui les Africains sont submergés par des images qu'ils n'ont pas réalisées eux-mêmes. Les médias diffusent des images qui abordent la réalité d'un angle de vue très étroit", a expliqué le président de l'APC, Oumar Ndiaye, lors de la cérémonie d'ouverture.
"La mondialisation rétrécit notre conception de la réalité. Plus il y aura d'opinion sur la réalité, plus l'image sera nuancée", a-t-il ajouté, non sans souligner la nécessité de "disposer de notre industrie audiovisuelle et avoir l'occasion de diffuser ces productions dans notre propre pays et ailleurs".
M. Ndiaye a aussi déploré le manque de structures et d'espace pour diffuser les films, faire connaître les cinéastes, les techniciens et les acteurs africains.
Prévu jusqu'au 6 décembre, le festival parrainé par l'artiste Samba Félix Ndiaye va mettre en compétition plusieurs productions du Sénégal, d'Afrique et d'ailleurs.
"La mondialisation rétrécit notre conception de la réalité. Plus il y aura d'opinion sur la réalité, plus l'image sera nuancée", a-t-il ajouté, non sans souligner la nécessité de "disposer de notre industrie audiovisuelle et avoir l'occasion de diffuser ces productions dans notre propre pays et ailleurs".
M. Ndiaye a aussi déploré le manque de structures et d'espace pour diffuser les films, faire connaître les cinéastes, les techniciens et les acteurs africains.
Prévu jusqu'au 6 décembre, le festival parrainé par l'artiste Samba Félix Ndiaye va mettre en compétition plusieurs productions du Sénégal, d'Afrique et d'ailleurs.