Le problème des taxis dits iraniens n’est plus un secret au niveau du pays. Des chauffeurs sont montés au créneau depuis quelques temps allant jusqu’à garer leurs véhicules à la place de l’Obélisque pour demander une renégociation de contrat. Tous les matins depuis le 17 juillet ces derniers viennent sur cette place espérant qu’une solution va être trouvée à leur problème. Il en de même à Thiès où les véhicules sont garés à la promenade des thiessois.
Babacar Niang faisant partie du groupe des chauffeurs grévistes a soutenu «depuis le 17 juillet nous sommes en mouvement, les autorités sont venues nous rencontrer mais jusqu’à maintenant nous n’avons obtenu aucun résultat. Ils nous ont vendu les voitures taxis jaunes sans pour autant nous dire tout ce qu’il en est et on s’est rendu compte aujourd’hui qu’ils nous ont trompé gravement». La Banque Régionale du Sénégal (BRS) a donné en prêt ces voitures à 9 600 000F avec un versement mensuel de 264000F sur une durée de trois ans. A l’en croire «le Président de la République avait dit qu’il y aura un renouvellement du parc automobile mais nous assistons à une augmentation du parc car leur politique à été un échec».
Selon Cheikh Ndour le vice Président de la gare routière de Colobane «cet échec est dû au fait qu’au moment où ils changeaient les cars rapides et les - ndiaga Ndiaye- contre les bus de marque tata ce ne sont pas les véhicules en circulation qu’ils ont changés mais plutôt de vielles voitures qui étaient garées et complètement abandonnées». Il a confié que « dans certains cas ils avaient même remorqué certaines voitures pour aller les changer ce qui veut dire qu’ils n’ont pas fait ce qu’il fallait faire».
Quant à Ma Abdou Sarr chauffeur de bus Tata à la gare routière de Petersen «les voitures de marque Tata n’ont aucun problème car ceux qui en ont bénéficié remboursent régulièrement donc l’Etat peut poursuivre l’initiative». Cependant il a soutenu qu’ «il y a certains qui refusent de payer pour saboter le travail des autorités».
Un avis qui n’est pas partagé par cet opérateur économique dans le transport sous couvert de l’anonymat «je voulais m’engager pour ces voitures bus qu’ils donnent en prêt mais j’ai reculé car j’ai trouvé les prix très élevés». Mais néanmoins il trouve que c’est une bonne initiative qu’il faut revoir pour améliorer les faiblesses.
Ibrahima Diaby
pressafrik.com
Babacar Niang faisant partie du groupe des chauffeurs grévistes a soutenu «depuis le 17 juillet nous sommes en mouvement, les autorités sont venues nous rencontrer mais jusqu’à maintenant nous n’avons obtenu aucun résultat. Ils nous ont vendu les voitures taxis jaunes sans pour autant nous dire tout ce qu’il en est et on s’est rendu compte aujourd’hui qu’ils nous ont trompé gravement». La Banque Régionale du Sénégal (BRS) a donné en prêt ces voitures à 9 600 000F avec un versement mensuel de 264000F sur une durée de trois ans. A l’en croire «le Président de la République avait dit qu’il y aura un renouvellement du parc automobile mais nous assistons à une augmentation du parc car leur politique à été un échec».
Selon Cheikh Ndour le vice Président de la gare routière de Colobane «cet échec est dû au fait qu’au moment où ils changeaient les cars rapides et les - ndiaga Ndiaye- contre les bus de marque tata ce ne sont pas les véhicules en circulation qu’ils ont changés mais plutôt de vielles voitures qui étaient garées et complètement abandonnées». Il a confié que « dans certains cas ils avaient même remorqué certaines voitures pour aller les changer ce qui veut dire qu’ils n’ont pas fait ce qu’il fallait faire».
Quant à Ma Abdou Sarr chauffeur de bus Tata à la gare routière de Petersen «les voitures de marque Tata n’ont aucun problème car ceux qui en ont bénéficié remboursent régulièrement donc l’Etat peut poursuivre l’initiative». Cependant il a soutenu qu’ «il y a certains qui refusent de payer pour saboter le travail des autorités».
Un avis qui n’est pas partagé par cet opérateur économique dans le transport sous couvert de l’anonymat «je voulais m’engager pour ces voitures bus qu’ils donnent en prêt mais j’ai reculé car j’ai trouvé les prix très élevés». Mais néanmoins il trouve que c’est une bonne initiative qu’il faut revoir pour améliorer les faiblesses.
Ibrahima Diaby
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