Au 31 septembre 2010, la Banque Mondiale recommandait la mise en place d'un fonds de 60 milliards. Dans ce financement, la BM était d'accord pour apporter une contribution de 14 milliards. Le reste dvrait provenir du ministère des finances (paiement des dettes de l'Etat et des collectivités locales). La manne financière devrait permettre à Sénélec d'être autonome en combustible. Selon des informations parvenues à politicosn.com, sur les 120 mégawatts de déficit, 80 sont dus à un manque de combustible. "En réalité l'audit du cabinet Mc Kenzie n'a fait que reprendre les grandes lignes du document de la Banque Mondiale sur la situation de la Sénélec au 30 septembre', dit la même source.
POLITICOSN.COM.
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