Après avoir participé à l’appel de manifester, initié par Idrissa Seck, à la place de l’indépendance, Ibrahima Fall a invité la presse à son siège pour faire une déclaration pour réitérer sa proposition de report du scrutin du 26 février. Expliquant les raisons qui sous-tendent cette position, il a indiqué que ce report offre deux avantages.
La première, dit-il, va permettre aux acteurs politiques de pacifier le climat quasi-incontrôlable, à trois jours de la tenue de l’échéance présidentielle. Ce faisant, à en croire Ibrahima Fall, les candidats de l’opposition et le sortant peuvent ensemble, et de manière consensuelle, concocter un processus électoral devant permettre d’avoir des élections transparentes et fiables. Selon lui, tous les acteurs proposeront des autorités compétentes, neutres et crédibles devant garantir le processus électoral.
Pour le second avantage, l’ex-haut fonctionnaire des nations unies a rappelé que la paix doit être l’intérêt général du peuple à préserver. »Tout ce qui prévaut actuellement dans le pays devrait amener les acteurs politiques à s’entendre sur le report », insistera-t-il lors de cette déclaration. Considérant sa proposition de report comme un « sursaut national », Ibrahima Fall a rappelé qu’il est prêt à aller à la présidentielle du 26 février mais, dit-il « je soutiens le report ».
La première, dit-il, va permettre aux acteurs politiques de pacifier le climat quasi-incontrôlable, à trois jours de la tenue de l’échéance présidentielle. Ce faisant, à en croire Ibrahima Fall, les candidats de l’opposition et le sortant peuvent ensemble, et de manière consensuelle, concocter un processus électoral devant permettre d’avoir des élections transparentes et fiables. Selon lui, tous les acteurs proposeront des autorités compétentes, neutres et crédibles devant garantir le processus électoral.
Pour le second avantage, l’ex-haut fonctionnaire des nations unies a rappelé que la paix doit être l’intérêt général du peuple à préserver. »Tout ce qui prévaut actuellement dans le pays devrait amener les acteurs politiques à s’entendre sur le report », insistera-t-il lors de cette déclaration. Considérant sa proposition de report comme un « sursaut national », Ibrahima Fall a rappelé qu’il est prêt à aller à la présidentielle du 26 février mais, dit-il « je soutiens le report ».